(MILES) And this is how you remind me... Of what I really am.

❝ Once upon a time…
(TW : Abandon, stérilité, racisme) Tout démarre avec les Redfield. Famille assez aisée puisque la mère est connue pour être l’une des actrices les plus connues de New-York. Le côté atypique du couple, c’est que le père est une personne dite lambda. Homme à tout faire sur divers plateaux de tournages, c’est ainsi que Lisa et Mark se sont rencontrés. Elle en était à son huitième film, le genre historique où l’on joue soit une servante ou alors le personnage principal. Et ça a tout de suite été le coup de foudre des deux, tellement qu’ils se sont revus au fil des mois qui ont passés pour emménager deux ans après et décider de monter une famille quelques mois après. Du côté de Lisa, tout va bien, mais Mark se révèle stérile. Âgés de vingt-huit, ils se demandent quoi faire : insémination ? Adoption ? C’est le second choix qu’ils vont alors choisir. C’est là que t’as débarqué. Abandonné à la naissance, tes parents biologiques ne pouvant/voulant pas s’occuper de toi, c’est chez les Redfield que tu as donc eu la joie de grandir. Si au début, tu as été seul, Mark et Lisa ont une nouvelle fois adopté et c’est avec une immense joie que tu es devenu grand-frère. S’il n’a pas été facile de subir les remarques sur vos différences, étant donné que vous n’étiez pas du même sang, vous avez réussi à passer outre les critiques et insultes racistes et t’en passes pour la couver du mieux que tu le pouvais. Qu’importe qu’elle a la peau plus claire que la tienne, les cheveux différents, toi, tu l’aimais comme elle était et elle était ta famille.

(TW : Drogues, gang, violence, stérilité) Ton enfance à New-York s’est plutôt bien passée. T’as commencé par t’intéresser au football américain, sport assez typique de là où t’as grandi et rien que pour voir le visage de ton père s’émerveiller à chaque fois que ton équipe remportait un match, ça t’a poussé à continuer encore et encore… Du moins jusqu’à tes dix-huit ans. Si au début tu ne faisais attention qu’au plaisir que tu ressentais en faisant du football américain, t’as vite vu que certains joueurs étaient privilégiés par rapport à d’autres mais qu’aussi certains d’entre eux traînés avec des types assez louches. C’est là que t’as découvert (et toucher) à la drogue. Quoi de mieux que de sentir ton corps décupler sa puissance après t’être fait un petit joint ou un rail de coke hein ? Sauf qu’une fois que tu y a goûté, t’as pas su t’arrêter. Et même si tes parents sont loin d’être pauvres, t’as pas eu envie de leur soutirer de l’argent pour faire des trucs illégaux alors t’as simplement proposé tes services à un type. Le deal était simple : tu revendais la drogue qu’il te refourguait et tu pouvais en avoir pour toi (puisqu’il prenait une part de ton salaire pour te « l’offrir »). Sauf que t’as pas trop compris dans quoi tu t’embarquait, surtout quand un soir, après un entraînement, t’es rentré et t’es tombé sur ta mère. « Salut ‘man, c’est trop cool que tu sois déjà rentré de ton tourn… » T’as pas trop eu le temps de terminer ta phrase que ton père était là aussi, derrière ta mère, bras croisés. « Miles, peux-tu nous expliquer ce que c’est que ça ? » Un regard vers sa main et tu t’es senti blanchir d’un coup. Ce que ta mère tenait n’était rien d’autre qu’un sachet de drogues, vous savez, ce que tu vends pour pouvoir doper ta force et ton jeu. « Je peux tout vous expliquer… » « On espère bien fiston. Ta mère et moi ne t’avons pas élevé pour que tu fasses ce genre de choix, si ? Tu n’es pas heureux Miles ? » Le regard que tes parents t’ont lancés t’a fait mal au cœur. Tellement que tu t’es approché d’eux en venant récupérer le sachet des mains de ta mère pour aller le jeter dans ta corbeille à papier. « J’vous promets que je n’y toucherais plus, que j’arrête tout ça… C’était pour faire comme les copains, pour être le meilleur quoi. » Et tout aurait pu bien se terminer, ça aurait pu s’arrêter là, avec tes parents qui te confisquent ton téléphone le temps d’une semaine mais c’était sans compter sur ta compétition, quelques jours après la fin de ta punition.

Le match s’est déroulé à merveille, vous avez même remporté ce dernier et si l’effet de manque se faisait ressentir, t’as tout de même eu cette fierté d’avoir gagné par tes propres moyens. Par contre, tu ne t’attendais pas à ce qu’un petit groupe t’attende dans les vestiaires. La seule personne que tu connaissais c’était celui que tu considérais comme ton meilleur ami. « Alors c’est toi le fameux Miles Redfield hein ? » Un regard vers la personne qui venait de parler et t’as tout de suite su que tu étais dans la merde. Ton corps tremblait légèrement mais t’as réussi à faire comme si de rien était. « Heu oui, c’est moi. Qu’est-ce qu’il se passe Johnny ? » Johnny n’a pas répondu et s’est simplement contenté de baisser les yeux alors que le plus vieux, celui qui te connaissait, s’est approché de toi. « Tu vois, t’es peut-être un fils de riche et t’as une belle gueule mais Johnny nous a dit que tu « arrêtais », comme ça, sans préavis ? » « Ouais, il m’a dit que c’était OK, que… » Tu ne comprends pas ce qu’il se trame, Johnny qui ne te regarde pas, deux des gars qui accompagnent le vieux qui viennent faire craquer leurs os. « Quand je parle, tu fermes ta gueule, pigé ? » Déglutissant, tu te retrouves collé contre les casiers alors que tu viens simplement hocher la tête. « Bon garçon, tu vois quand tu veux. Maintenant, donne-nous la came restante et peut-être que je pourrais te laisser partir… » La came restante ? Mais tu l’avais jeté toi ! « Je-Heu je ne l’ai plus, monsieur. » T’as sursauté quand son poing est venu s’abattre sur le métal bleu et froid du casier à côté de ta tête. « Pardon ?! Mais t’en a foutu quoi p’tit merdeux ?! » Il venait de te saisir par le col et t’as cru apercevoir Johnny se bouger les fesses alors que tu lui a dit la vérité, pris de panique. «
Mes parents m’ont chopé avec alors j’ai tout jeté à la poubelle… Je suis désolé Monsieur, je… » Un coup de poing dans le ventre après et te voilà en train de tenir ton estomac, sentant que tu serais prêt à dégobiller d’une minute à l’autre. « Putain mais il est con lui, non ? Johnny, tu sais qu’on est pas un gang de pacotilles. Tu pouvais pas trouver mieux ? » Après qu’il t’ai mis une bonne branlée, t’as juste compris que tu allais devoir rembourser une bonne somme d’argent et que si tu voulais vraiment acquitté ta dette, il allait falloir raquer, en bossant pour eux.

Mais c’est qui, eux ? Eux, c’est le gang des Bloods. Et même si t’avais envie d’en parler à ta famille, t’as fermé ta gueule comme l’a si « gentiment » demandé le vieux gangster avant de démarrer les diverses missions qu’ils t’ont confiés. Parmi ces dernières t’a dû revendre de la drogue, en veillant à la laisser à l’université pour pas te faire ravoir par tes parents. T’as aussi dû menacer des personnes, qui, comme toi, avaient fait le mauvais choix et y a eu une fois, sans doute celle de trop, où t’as dû les rejoindre dans une « mission secrète ». Comprenez par-là que t’as participé, sans le savoir, à un braquage. T’as tout compris qu’à la fin, quand en face d’un bâtiment, dans un SUV noir, t’as dû enfiler une cagoule et prendre une arme. Une putain d’arme ! T’as carrément pas compris ce qu’il s’est passé, juste que t’as tiré sur un des gars, qu’en prenant la fuite tu t’es pris les pieds tu ne sais où (ou comment) et t’as été attrapé. Alors si tes parents t’ont pardonné tes conneries d’il y a quelques années (car ouais, t’avais dix-huit au début de cette affaire et t’en a eu vingt-et-un y a quelques mois, celle-ci, ça n’a pas été le cas puisque ta mère étant connue, passer une soirée en cellule avec un casier sur le dos… C’est moyen. Surtout quelques jours avant la sortie du futur film de Maman Redfield. T’as pas tenu une minute de plus et quand t’es enfin sorti, t’as tout balancé à tes parents. Sur le coup ils ont compris mais ont quand même continué à t’en vouloir car tu les mettais dans une passe difficile. C’est là qu’on a proposé à ta mère de se faire un peu plus discrète, de voir moins grand et vu que ton père a de la famille sur Seattle, vous avez tous les quatre décidés qu’un nouveau départ là-bas serait ce qu’il vous fallait.

Tu ne sais pas comment, mais ta mère a réussi à faire en sorte que ton casier redevienne vierge et tout aurait pu bien démarré, si avant votre départ t’avait pas appris, par une relation d’un soir, que tu allais devenir papa. « Je te demande pardon ? » « Je suis enceinte Miles, tu ne peux pas partir comme ça, c’est toi le père ! » Alors ça vous ne l’aviez pas vu venir. Tes parents n’ont pas cherché midi à quatorze heures et ont exigé que vous fassiez un test. Si la famille de la jeune femme n’a pas voulu au début, ils n’ont pas eu le choix face à la volonté de fer de tes parents et le résultat vous a autant soulagé que perturbé. Il y avait deux nouvelles. La bonne ? Tu n’étais pas le père et le bébé n’était qu’un prétexte pour vous soutirer de l’argent. La mauvaise ? Tu venais d’apprendre que tu étais stérile. Un peu comique quand on sait que ton père adoptif l’est aussi, hein ? Du coup, c’est soulagé mais perdu que vous avez tous les quatre quitté New-York.

Adieu maman actrice et papa homme à tout faire. On a vite fait comprendre à ta mère que pour l’instant, il valait mieux qu’elle se fasse toute petite, qu’à cause de ta mésaventure, sa réputation en avait sacrément pâtie. Elle n’est pas restée sans restes, mais elle n’a pas voulu vivre sur ses lauriers et quelques mois après votre arrivée à Seattle, elle est devenue professeur d’arts dramatiques dans une école spécialisée. Ton père, lui, en a profité pour changer de voie et il s’est fait embaucher comme mécanicien dans un garage pas trop loin de Queen Anne. Il ne reste que toi, le vilain petit canard à cause de qui tout est arrivé. T’as dû arrêter le football américain, n’ayant pas voulu reprendre, car ça te remémorait trop de mauvais souvenirs, et c’est là que t’as squatté les forums d’emplois/sociaux, en quête DU boulot parfait à tes yeux. Et t’as pas mal de fois fait le tour, te trouvant même un boulot dans le garage de ton père en attendant. Mais c’est souvent plus facile à dire qu’à faire et finalement, à la fin de l’été 2015, tu t’es retrouvé à la journée porte ouvertes des forces de police de Seattle. Sur le coup, ça t’a rappelé la fois où t’as eu un flingue entre les mains, la fois où t’as tiré sur une personne (sa jambe, rien de bien grave) et que t’as ressenti une drôle de montée d’adrénaline.

Puis, t’es tombé sur un certain Jackson Drysdale. Et tu t’es dit que ça ne coûterait rien de tenter ta chance, de voir ce que le milieu des forces de l’ordre avait à te proposer. T’as donc démarré une formation à la Seattle Basic Law Enforcement Academy. Et une chose que tu as appréciée là-bas, c’est que vous aviez des sortes de stages d’immersions à faire. T’as donc pu voir l’unité K9, le terrain en lui-même, mais toi ce qui t’a beaucoup plu, c’est l’aspect enquêtes/résoudre des affaires. Alors t’as tout simplement pris le temps de te former à tout ça, cinq mois seront tout ce que ça t’aura coûté pour voir que tes parents redevenaient un peu plus avenants et croyants envers ta personne. Par contre, quand t’as enfin pu rejoindre officiellement l’équipe, en tant que rookie, t’as tout de même tout avoué au chef en question. Que t’avais été plus ou moins impliqués dans des affaires louches en étant encore à New-York, mais que tout était réglé. Sur le coup, t’as même cru que ça t’avait enlevé la chance de rejoindre leurs rangs, mais non. Et c’est donc officiellement que tu étais devenue « Miles Rookie Redfield ».

Ta mère a voulu retenter le cinéma, étant née telle une diva des années 70, elle se devait de renouer avec son premier amour. Mais les années ayant filé, le plaisir ressenti en jouant n’était plus le même et si elle a tout de même tournée une série, elle a préféré retourner à ses cours d’arts dramatiques, appréciant plutôt la compagnie de son époux, après une journée intense de cours, que celles de comédiens après une journée de tournage. Elle t’a appris à cuisiner ou encore à jardiner quand ton père, lui, t’a enseigné pas mal de choses du quotidien comme le bricolage ou encore l’électricité.

C’est sans doute via cette polyvalence que t’as autant pris ton pied au sein du commissariat. Comme tout nouveau, tu vas avoir le droit à gérer les petits trucs insignifiants (les PV, les « habitués » du poste…) pour ensuite te voir assigner diverses missions plus au moins importantes. Facilement adaptable, t’as vite réussi à trouver ta place dans l’équipe, gardant contact avec certains de tes maîtres de stages tout en nouant de nouvelles amitiés. Parmi ces dernières, on retrouve Calvin. Avec Calvin, le courant a toujours bien passé. Un an de différence, un poil plus grand que toi, il a tout de suite eu le rôle de meilleur ami à tes yeux, et même plus que ça puisque tu l’as souvent considéré comme un frère. Dès que vous pouviez faire équipe ensembles, vous le faisiez. Si toi t’étais les bras, lui était le cerveau. Le protocole ? Il pouvait le réciter par cœur… Limite à en devenir flippant. T’as souvent eu le droit de te faire engueuler, toi, l’impulsif qui agissait souvent avant de réfléchir, mais dans l’ensemble vous avez toujours fait une bonne équipe. Vous avez même vécu une petite partie de votre vie ensemble, le laissant rapidement partir quand il a trouvé l’amour auprès d’un autre collègue, Kleve.

(TW : Mort, deuil) Et leur amour a été beau. Tu les as même souvent enviés car toi, tu n’as jamais réussi à te caser. T’as vraiment cherché et testé des choses, mais sans vraiment trouver LA personne capable de te faire vibrer. Donc t’as enchaîné les conquêtes, tes draps ne restant pas froids longtemps (quand tu n’allais pas en froisser d’autres) mais sans vraiment non plus trouver ça extraordinaire. Puis les choses ont changé. Et lors d'une mission, durant laquelle tu étais en compagnie de Calvin et Kleve, les choses ont mal tournés. Sans doute un mélange de tout, toi qui n’écoutes rien, Kleve, qui comme toi a un côté impulsif et Calvin qui vous avait pourtant demandé d’attendre. Tu entends encore le coup de feu retentir. Les cris et ton regard qui cherche la personne que vous poursuiviez tous les trois. T’as juste eu le temps de tirer, protégeant ainsi Kleve, mais aussi toi-même d’une future balle qu’allait tirer l’agresseur, avant de venir t’accroupir aux côtés de ton meilleur ami. « Hey, reste avec nous, ça va aller hein ?! » « Les urgences arrivent, je… Merde, ne me laisse pas Cal ! » Le voir dans le même état que toi ça t’a tout retourné. T’as tenté de l’aider à stopper l’hémorragie, mais même si t’as quelques connaissances en premiers secours, t’as vite compris que la balle n’avait pas juste effleuré ton meilleur ami. Et quand les secours sont finalement arrivés, il était trop tard. Calvin n’était plus et tu as tout de suite compris ce que ressentait le plus vieux : une partie de ton être venait de t’être arrachée.

T’as posé quelques jours après ce tragique accident. T’as assisté à l’enterrement et tenter d’être présent pour Kleve, mais t’as vite compris que pour lui, c’était « pire » que toi. Il a quitté complètement le métier et toi t’as broyé du noir pendant quelques mois. T’as eu du mal à reprendre le boulot, car mine de rien, venir travailler sans ton partenaire de tous les jours, ça n’avait pas la même saveur. Alors t’as tenté le tout pour le tout et tu as postulé pour devenir détective. Augmentation de salaire, changement de bureau/d’équipe… Bref, un changement total qui pourrait te faire plus de bien que de mal.

(TW : Alcool, drogues, cauchemars) Du moins, c’est ce que tu as cru. Si au début apprendre un nouveau métier t’as fait du bien, t’avoues avoir eu quelques coups de mou. Coups de mou qui ont été reboosté avec l’alcool. Même si ta famille (et ton entourage en général) a toujours été présente suite à la perte de ton meilleur ami, ils n’ont pas réussi à ce qu’une fois seul, tu ne sois pas accablé par les souvenirs et la vision de qui te font te réveiller en pleine nuit. Alors t’as opté pour la bibine, mais aussi la drogue. Un joint par-ci, du crack par-là… Et c’est un autre Miles que tu deviens. Le hic ? C’est que ça te fait faire n’importe quoi et que des fois t’es tellement excité par ces dernières qu’il a fallu que tu te trouves une activité externe pour extérioriser ce surplus : c’est là que la boxe a fait son apparition. Tu ne sais pas vraiment quoi faire ou vers qui te tourner pour essayer de redevenir celui que tu étais avant Calvin, mais peut-être qu’une personne faite pour toi t’attends, là, dehors. Wait and see comme on dit.

(UNE) T’as été adopté par les Redfield à peine âgé de quelques mois. T’es donc l’ainé de la famille et t’as aussi une sœur, plus jeune que toi. (DEUX) Longtemps sportif, t’as fait partie d’une équipe de football américain quand tu étais sur New-York mais pour faire comme les autres, t’as goûté à la drogue et tu t’es même mis à en vendre., apprenant par la suite que tu faisais partie du gang des Bloods. (TROIS) T’as participé à un braquage pour eux, sans le savoir, mais ta mère a fait fonctionné ses relations pour que ton casier soit de nouveau vierge à votre arrivée à Seattle. (QUATRE) T’es stérile. Tu l’as tout bêtement appris avant ton départ pour Seattle, quand une fille (coup d’un soir lambda) s’est pointée en annonçant être enceinte de toi. Après divers tests t’as appris que tu n’étais pas père mais que tu ne le seras tout bonnement jamais. (CINQ) T’as décidé de rejoindre les forces de l’ordre suite à stage d’été (en 2015) pour ensuite entreprendre une formation et devenir le nouveau « bleu » de l’équipe. T’as jamais menti à ton supérieur (ni celui qui t’as formé à l’un des aspects du métier, Jackson) sur ton passé. (SIX) T’as eu un meilleur ami mais lors d’une mission, en juin 2022, tu l’as malheureusement perdu et ça a été le début de ta chute. (SEPT) Tu bois trop souvent du whisky ou même du bourbon, tout alcool fort qui te permet de ne penser à rien. Tu fumes aussi, mais pas de drogues, ça t’a arrêté et tu ne reprendras jamais, tu l’as juré à tes parents. (HUIT) Tu fais pas mal de sport pour garder la ligne, le running principalement, un peu de musculation mais aussi de la natation et depuis bientôt un an t’as testé la boxe pour te permettre d’extérioriser tes émotions, tu fais d’ailleurs quelques combats illégaux de temps à autre. (NEUF) Tu sais très bien cuisiner grâce à ta mère, d’ailleurs t’es un peu le cliché du flic car tu raffoles de donuts, grosse préférence pour ceux au chocolat. (DIX) Ton père t’a donné le goût de la mécanique et t’adores faire de la moto quand le temps te le permet. (VRACS) T'es allergique aux venins des : guêpes, abeilles, frelons & bourdons ; T'as appris à lacer tes chaussures très tard (10 ans) ; Tu sais parler anglais mais t'as aussi quelques notions en espagnol ; T'as souvent la flemme de te raser ou même te coiffer ; Tu es un estomac sur pattes, dès qu'une occasion se présente, tu manges ; Tu raffoles des films d'actions mais aussi d'horreurs ; Tu n'aimes pas trop lire en-dehors des mangas & comics ; Tu joues très bien du piano, même si peu de gens sont au courant.