Paint on me > Kélix [HOT]

L'amusement du moment te fait sourire. Parfois, tu peux être très joueur, parfois assez timide. Tu as toujours été un paradoxe difficile à comprendre et à suivre, dépendant de tes émotions qui dictent entièrement ta conduite. Il n'y a qu'avec tes parents que tu es stoïque comme un rocher parce que tu as appris à fermer ton esprit et ton visage face à eux, eux qui ne te voyaient que comme une monnaie d'échange afin de reprendre le cours de leur vie déjantée, d'acheter ce qu'ils voulaient - ou presque - puisque leurs fonds restent quand même limités. La toile vivante que représente Kai te fait sourire dans un coin de tes lèvres alors que tu t'es éclipsé dans ta cuisine afin de lui proposer quelque chose à boire. Les bonnes manières d'hôte ne te quittent presque jamais, ton éducation à la carapace très dure lorsque c'est toi qui reçois les gens. Tu pouffes d'un petit rire par les narines lorsqu'il te demande de le prendre en photo dans son naturel lorsque ce sera complété et un "- pourquoi pas ?" a traversé tes lèvres alors que tu as haussé les épaules en toute simplicité de réponse et tu as commencé à lever les bras pour venir ramasser la théière afin de mettre de l'eau à faire bouillir sur le feu que tu ouvres et déposes le récipient afin de laisser la chimie faire son oeuvre. "- Je ne suis pas pressé..." que tu as maladroitement essayé de répliquer. La différence est que ça ne te dérange absolument pas qu'il se met à l'aise chez toi et que pour ce que vous avez prévu qu'il retire le plus tôt possible ses vêtements. Tu rougis un peu, parce que tu ne peux pas t'en empêcher. Le thé qui crie te ramène à la réalité et tu pivotes pour venir le verser sur la poche retenant les herbes dans les deux tasses. Tu laisses infuser trois minutes avant de les retirer. Aucune caféine. Tu ne peux pas. Tu as du café, ici, pour Dallas quand il passe ou encore tes invités, mais c'est tout. Tu n'en bois pas, toi. Tu sais ce que ça goûte et franchement... Pour toi, tu ne manques rien de spécial. "- Hein?" Mot de réflexe alors que tu fronces les sourcils. Strip-tease !? Soudain, tu comprends lorsque Kai commence à bouger et tes yeux glissent sur ses hanches. Tes sourcils font le chemin opposé : ils se haussent et tu tends lentement la main vers le comptoir pour poser ta tasse avant qu'il n'arrive un bordel. Tu le vois défaire un bouton à la fois et tu tends la main sur ta poche arrière pour ton téléphone et tu lui mets de la musique d'ambiance puisque c'est ce qu'il t'a demandé. Il plie. Avec le temps, t'as bien deviné que Kai est maniaque du rangement et tu le laisses faire. Tu as un mari qui est plus ou moins semblable, donc ce n'est pas un toc qui te dérange. Tu te poses contre le comptoir en l'observant. Tu as les joues un peu rouges, mais tes yeux tilleuls eux, se sont un peu assombris alors que le photographe se dévoile à toi dans une danse sensuelle et tu portes ton pouce à tes lèvres pour le mordiller. C'est un toc chez toi. Si Kai possède celui du rangement ou de la propreté, toi... Tu as de toc lorsque tu ressens de l'envie ou de l'anxiété. Tu penches un peu la tête sur le côté alors que tu l'observes et tu sens que ton corps débute le processus d'avoir envie et tu inspires avant de bouger un peu. Tu lui fais un signe de continuer alors que tu disparais de son champ de vision pour aller dans la salle de l'atelier et ça ne te prend pas longtemps avant de revenir. Dans tes mains, tu as quelques tubes et tu les poses sur la table. Amusé, tu ouvres le premier et tu t'approches de lui pendant qu'il danse. Tu as de le peinture sur l'index et tu commences à poser tes doigts sur sa peau, étalant le premier jet de peinture pour le rendre comme une peinture vivante. Tu te doutes fortement qu'il n'y ait pas de la peinture un peu partout. Entre vous, chez toi... Mais tu vas nettoyer, ou faire nettoyer, ce n'est pas ça qui t'intéresse en premier lieu. "- Tu commences déjà à devenir une œuvre vivante.." Tu te mordilles la lèvre, alors que tu plisses légèrement le nez, un peu plus concentré, même si l'envie se lit dans tes yeux. Tu n'as jamais été le genre à pouvoir cacher tes émotions : sauf à tes parents. Eux... Tu as eu toute ta vie. En arrivant ici, c'est... Devenu autre chose.

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"- Tu sais... Ne pense pas que parce que je te dis que je ne suis pas pressé que je ne suis pas impatient de te voir nu, hmmm? " Ça te fait sourire, mais surtout rougir un peu plus. Tu n'y peux absolument rien quant aux rougissements parce que même si tu tentes de ne pas rougir : ça se produit quand même ! La différence est que tu n'es pas gêné pour tout et n'importe quoi. Dallas parvient encore à te faire rougir par une simple attention, même après cinq ans ensemble et à connaître le corps de l'autre à la perfection. Tu sais qu'est-ce qui plaît à ton époux comme lui il le sait pour toi. Il lui suffit que d'un regard maintenant pour te faire rougir, mais provoquer une envie irrépressible et enflammée chez toi. Entre toi et Kai, rien ne dépasse une amitié fortuite qui s'est construite depuis les cinq dernières années. Il est l'un de tes premiers contacts en ville, l'un de ceux que tu as gardé et avec qui tu es confortable de t'adonner encore pleinement à certaines sessions physiques, que l'art vous passionne tous les deux et vous rassemble. Il est d'ailleurs l'une de ceux sur qui ton époux a fait des recherches puisqu'il est devenu un partenaire plus fréquent. Dallas et lui semblent "bien" s'entendre, dans la mesure où tant que Kai ne pose pas aucun mauvais geste envers toi. Vos débuts ont été chaotiques uniquement dans les moments où tu perdais connaissance parce que le plus vieux ne savait pas comment réagir, mais tu lui a appris à reconnaître les signes de ce qui était "normal" et ce qui ne l'était pas, si tu avais besoin d'aide comme appeler ton mari ou non. En cinq ans, tu crois que c'est arrivé qu'une fois que tu avais vraiment besoin d'aide pendant que Kai était présent, mais c'est un peu flou dans ta mémoire. Et tu es là, à l'observer - ou plutôt l'admirer - te faire un strip-tease et tes yeux ont immédiatement trouvés les formes de son corps. Ses abdos jusqu'aux muscles de son bas du dos quand tu t'es éloigné pour revenir avec la peinture. Il ne te faut pas vraiment de temps pour commencer à venir en étaler sur sa peau. Tu as souris à ses mots, mais alors que le pouce de Kai vient caresser ta mâchoire, c'est surtout son pouce qui remonte vers tes lèvres qui t'arrête dans tes mouvements et tu entrouvres immédiatement la bouche pour laisser passer le bout et tu effectues une petite succion tout en le regardant dans les yeux. Il ne suffit parfois que de simples petits gestes comme ça pour te faire rougir, mais pas de gêne. Cette fois, tu rougis par envie, par désir puisqu'ils commencent à monter tous les deux. Ta peau réagit très rapidement aux émotions qui te traverse. "- Les compliments sont comme le reflet d'un miroir... Tu peux te refléter et obtenir les mêmes." Tu frémis quand il te demande de lui retirer son dernier vêtement et de ta main qui n'a aucune peinture, tes doigts viennent décrire quelques muscles qui n'ont aucune peinture, passant sur son ventre, sur son flanc... Même un peu derrière vers ses reins et ton index vient tirer sur l'élastique que tu fais gentiment claquer en souriant, amusé. Puis, tu t'approches pour poser un baiser contre sa mâchoire avant de poser un genou au sol, puis l'autre. Des doigts roulent sous son boxer et tu viens lentement le lui retirer. Tu souris, en caressant le derrière de sa cuisse, jusqu'à son mollet et son pied, suivant le mouvement sur l'autre afin de le libérer. Tu prends ton temps avant de remonter le visage vers lui. "- Tu veux continuer de danser aussi joliment pour moi ou tu préfères glisser autre chose que ton pouce sur mes lèvres ?" Il t'arrive d'être cru ou vulgaire, tout dépendant avec qui tu es et ce qui se passe. Ton état d'esprit, aussi, joue. Libre à Kai de choisir s'il veut encore s'amuser ou débuter l'entrée du menu. Cela ne veut pas dire que tu vas l'autoriser à tout de suite te retirer tes vêtements par la suite. Tu comptes sûrement t'amuser à le peinturer avant toute chose, mais tu lui donne l'occasion d'avoir une petite... Sucrerie avant le reste.

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Les balises TW contiennent des scènes de nudité et de sexualité pouvant être très détaillées.

Parfois tu aimes jouer, parfois moins. Cette fois, le jeu en vaut la peine. Kai s'est déshabillé pour toi, en partie, tout en bougeant ses hanches pour un spectacle qui t'a captivé. Tes doigts ont commencé à le peinturer comme une toile vivante afin d'obtenir ce qu'il désirait. Oh, il est la muse du moment, l'éclat de couleurs qui rend ton regard un peu plus brillant, qui le captive et un sourire apparaît sur tes lèvres. Petit, parce que tes joues prennent aussi une couleur plus foncée dans leur rougeoyante, surtout due au fait que le désir monte en surface de plus en plus. Ce n'est pas de la gêne. Il n'y en a plus entre vous deux depuis toutes ces années, en toute honnêteté. Le coup du pouce est évident, mais ça t'a quand même amusé. "- Même sans peinture, tu en restes une... Ça ne fait que sublimer." Tu es beau parleur, mais tu tires un peu la langue parce que tu ne veux pas que cela passe uniquement comme des paroles en l'air pour le flatter alors qu'elles possèdent bien un fond de vérité. Tu as une réaction positive quand il se met à grogner au baiser sur sa mâchoire avant que tu te retrouves à genoux. Il t'a demandé de lui retirer son sous-vêtement, mais avoir l'appareil masculin sous tes yeux de cette façon... C'est difficile de ne rien faire. De ne pas en avoir envie. La soirée est encore jeune et tu n'as pas terminé de le peinturer. De t'amuser, mais un encas n'est pas de refus. Ça t'amuse aussi cette pensée, tien ! "- C'est pourtant ce que j'ai fais. Je t'ai peinturé. Mon oeuvre est simplement... Inachevé." Comment jouer sur les mots, cette fois. "- C'est vrai que j'en ai envie..." Il faut vraiment que tu ne sois pas en état ou que ton esprit se ferme pour que tu ne parviennes pas à avoir envie. C'est pire avec ton époux. Il suffit que Dallas te frôle pour que tu parviennes à avoir envie, la plupart du temps. C'est dingue. Tu glisses ta main saine de peinture derrière l'un de ses genoux. Ils glissent, ces doigts, contre le derme jusqu'à l'arrière de la cuisse alors que l'aîné glisse les siens dans tes cheveux, forçant naturellement tes paupières à se fermer à demi. Tu as toujours aimé ce genre de contact et tu continues de le peinturer sur son autre jambes avec le peinture qui n'a pas encore séchée sur ta main. Celle claire de tout résidu s'amuse à serpenter jusqu'à l'intérieur de ses cuisses et enfin, les doigts plus fins viennent entourer son sexe afin de serrer gentiment pour commencer des gestes de masturbation lents, le pouce qui vient récupérer la perle translucide qui commençait à perler afin de l'étendre dans tes mouvements. Tu lui donne quelques bons coups de poignet avant d'approcher ton visage pour lécher le gland. C'est lent. Même voir très lent comme premier geste avant de glisser le long de son membre pour t'amuser à laisser la trace de ta salive un peu partout. Jusqu'aux testicules que tu ne manques pas de passer pour aspirer, l'une après l'autre et revenir avec ta langue sur cette longueur qui prend de l'ampleur avec sa dureté jusqu'au gland encore qui se retrouve coincé cette fois entre tes lèvres avant que tu n'exerces une pression pour le suçoter. C'est après t'être amusé que tu viens lentement le faire glisser contre ta langue et l'intérieur de ta bouche, jusqu'à la limite que tu peux endurer.

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La différence qui se maintient avec tes partenaires et celui qui partage ta vie, à qui tu es marié, c'est la protection. Tu as offert ton corps sans protection à ton époux depuis peu. Même si tu n'apprécie pas tellement l'enveloppe, elle est une proprité absolue chez tes partenaires. Une entente que tu spécifies dès le début. Toutes les excuses ou tentatives de te convaincre d'un autre moyen pour ne pas en mettre se sont avérées complètement inutiles puisque tu ne déloge pas à cette règle. Oh, tu comptes bien l'achever à genoux entre ses cuisses pour ce que tu peux lui faire, parce qu'entre vous ce n'est que Kai qui prend. Tu n'as jamais pris d'homme de ta vie et ça ne t'intéresse pas tant, sauf avec ton propre époux que tu sais qu'un jour ça va se produire quand tu te sentira prêt. Tu préfères nettement te retrouver en-dessous. Lorsque tu t'es mis à lui offrir une fellation, la brutalité ne t'aurai pas dérangée et il le sait, mais vous faites avec votre envie du moment. Tu sens bien ses mains qui glissent dans tes cheveux et les serrent. Tu t'appliques, avec les lèvres comme la langue, l'enfonçant au plus creux que tu peux avant de devoir reculer quand tu sens que c'est trop pour toi. Le réflexe monte, mais ne s'exagère pas. Ta langue se fait joueur autour de son gland quand tu sors et entre, le laissant tranquille lorsque tu l'enfonce plus creux. Plus tes lèvres lui font plaisir, plus il accélère. Lorsqu'il serre encore plus fort tes cheveux en ondulant les hanches de plus en plus vite, tu commences à manquer un peu de souffle jusqu'à l'instant où le sens s'arrêter au fond de ta bouche, jusqu'à ta gorge. Tu manques de t'étouffer sur sa queue en fait et tu serres les doigts contre sa peau jusqu'à sentir les jets chauds, épais, contre le fond de ta langue et tu as un léger réflexe de gag parce qu'il est trop enfoncé. Tu le laisses se libérer avant d'inspirer et tu restes à genoux. Tes joues sont rougies par l'effort. Tu éclates doucement de rire. "- Je suis toujours satisfait de mon avant-goût avec toi." Tu souris avant d'avoir enfin le feu vert de ton propre corps afin de pouvoir te relever. Tu bouges un peu afin de venir ouvrir le bureau pour prendre une autre couleur. Tu la verse dans ta main. Beacouo plus clair, plus lumineuse. Le jaune. Tu approches et cette fois, c'est son front, jusqu'à une partie de son cou jusqu'à son épaule que tu peintures et tes yeux sont concentrés, suivant les lignes que tu décris sur le derme. Tu as de petits tics, quand tu es concentré sur la peinture comme le fait que tu te mordille que le bout de la lèvre inférieure et pas celle-ci au complet. Ou encore le bout de ta langue. "- On s'approche du produit final.. Il ne va me manquer que derrière." Tu pourrais le peindre multicolore, mas ce n'est pas ton objectif premier. Tu finis par pivoter et tu viens dans son dos pour étendre aussi du jaune. C'est lent, appliqué. Ça t'amuse, ça te fascine aussi alors que tu ne fais que très, très rarement ce genre de chose.  

Tu ne t'en fait pas trop lorsqu'on est brusque avec toi. Il peut s'enfoncer comme il veut, tu vas le récupérer, mais tu risques de manquer de souffle. Tu testes certaines limites, parfois. Kai te connaît quand même assez après cinq ans à vous adonner à certaines parties de plaisir ici et là. Heureusement, ton époux a fait ses recherches sur lui et il l'a rencontré, ce qui ne dérange plus rien entre vous de ce côté. Tu éprouves une bonne amitié pour Kai. Il apprécie ce que tu fais comme oeuvre et ça aussi, ça rajoute un petit quelque chose pour toi. Le jaune s'étend sur son front et son commentaire te fait rire, alors que tu viens pincer son épaule en rigolant. "- Tant que tu ne me surnomme pas Rafiki, tout ira bien !" Tu souris presque comme un idiot avant de continuer à venir étendre la peinture sur son joli corps qui l'est encore plus à devenir ainsi une magnifique toile vivante que tu veux immortaliser dans une photo. Il t'arrive de plonger dans un état second pour te concentrer à peinturer ou encore à lire, à écrire. C'est ce qui se passe pour que tu puisses terminer. La peinture s'étend sur la peau de ton canevas humain. Kai fait bien son boulot. Même au-delà puisqu'il y a de petits extras auxquels tu ne dis clairement pas non. Malgré ton apparence plus svelte et ta santé plus fragile : tu restes souvent affamé. Affamé d'un contact humain et lorsque Dallas travaille trop et que tu te sens seul tu trouves ton compte ailleurs avec quelques règles assez strictes. Comme le fait de se protéger, même si la protection peut en faire chier quelques uns. La localisation. Ton téléphone pointe toujours ta localisation, même si ton mari ne regarde pas, sauf en cas de nécessité comme si ta montre se met à sonner pour une alerte. Tu ris quand il exprime la question s'il doit prendre la pose. "- Tu veux poser pour moi, Rose ?" Tu tires la langue avant de te reculer. Tu lui fait un signe d'attendre afin d'aller chercher ton téléphone pour le prendre d'abord en simplicité. "- Tu peux bouger un peu ? Je ne suis pas photographe professionnel... Mais j'aimerais bien quelques poses différentes ?" Il peut s'amuser. Clairement, c'est aussi pour lui que tu le fais puisque tu vas lui envoyer toutes les photos que tu as pris dès que ce sera terminé.

"- Encore heureux que tu me trouves plus sexy que Rafiki, Kai ! Je m'en trouverais vraiment vexé d'être moins attirant qu'un singe... Ou chimpanzé... Peu importe ce que c'est comme race de singe !" Tu souris, amusé, quand même, jusqu'à ce que tu commences à être plus concentré afin de pouvoir terminer ton oeuvre vivante. Tu aimes sentir les frissons sur sa peau lorsque tu as passé tes doigts sur celle-ci pour la couvrir de peinture. Kai ne se plaint point, ce qui fait de lui un excellent canevas humain et que cela ne te dérangerait pas de recommencer. Le blague du Titanic semble le toucher et le faire rire, même discrètement. Ça te fait sourire avant que tu disparaisses pour aller chercher ton téléphone pour le prendre en photo. Tu ne demanderais pas à n'importe qui de poser pour toi après une séance de peinture et surtout pas des poses à nu, mais tu connais Kai depuis cinq ans et tu sais comment il est. Tu sais que ça ne le gênerait pas, donc tu lui a demandé. Il accepte et tu l'observe bouger, lui, ta toile vivante avec un sourire jusqu'à lever ton téléphone afin de commencer à le prendre en photo. Tu ne mets pas le flash, puisque ce n'est pas nécessaire avec la jolie luminosité de la pièce qui est purement naturelle. Au travers de ton téléphone tu observs les diverses poses jusqu'aux plus beaux angles que Kai prend. Tu ne te rends pas compte que tu l'admires aussi au travers de cette lentille avec ton propre talent sur la peau. Au bout de plusieurs poses subjectives, même, sexy, tu abaisses doucement ton téléphone lorsqu'il se rapproche de toi et tes joues prennent un petite teinte rosée quand il te demande si tu es satisfait. Tu hoches la tête. Kai est proche, maintenant. Si proche que ses mains viennent s'emparer de ton pantalon pour commencer à le défaire. Tu vois ses mouvements avant de lever lentement les yeux sur son visage pour capter ses azurs. "- Jaune.." Que tu as répété en souriant légèrement, peut-être un peu bêtement parce que ça fait participer ton cerveau qui surchauffe presque à certaines images. "- Des fringues ça peut se racheter..." Mais tu comprends son sous-entendu donc tu ne prends pas plus de temps pour le frustrer parce que même si tu peux jouer, tu ne fais pas le con donc tu bouges un peu les hanches pour commencer à te libérer de ton pantalon que tu viens poser sur la chaise. Il n'est pas plié, mais il n'est pas dans un tas. Il est bien positionné. Tu sais ce qui s'en vient si tu ne bouges pas donc tu décides de venir attraper son boxer pour faire la même chose, le posant à la même place avant de te retourner vers lui, maintenant nu. Ce n'est pas entièrement ton corps qui te gêne en soit, c'est vraiment ta cicatrice. Tu viens d'ailleurs poser ta paume contre, comme un réflexe. Même si Kai a vu ton corps plus qu'une dizaine de fois durant ces dernières années. Tout ça n'est que ton subconscient qui te fait bouger. "- Satisfait, maintenant ? " Tu tires légèrement la langue, amusé.