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#44 ⋆ as we crush the empty skies ft. loan

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(#) Message par Sage Presley Lun 19 Aoû 2024 - 21:58


Feat. @Loan E. Doyle

as we crush the empty skies

les yeux rivés sur l’écran,
aux météores qui écoulent le long de tes joues.

inspire, expire.
l’écran s’éteint et un soupir échappe tes lippes. tu ne t’attendais pas vraiment à cette discussion, non, ni même à le croiser sur cette application. tu as pu sentir le myocarde presque imploser dans ta poitrine lorsqu’il a initialement répondu à ton message… cette rupture a explosé par ta faute, car, comme d’habitude, tu es monté sur tes grands chevaux. lui hurlant dessus, l’insultant et donnant l’ordre de quitter ton logement que vous partagiez à l’époque… sans même vouloir écouter ses explications, croyant aveuglément ces photos qui se sont avérées trafiquées. et t’as essayé d’être mesquin dans tes messages et pourtant, tu sais très bien que t’as interagi avec son profil parce que t’avais besoin de lui parler… de te rassurer qu’il est sain et sauf. Sage, t’essayes souvent de te voiler la face et de faire comme si ce n’était pas le cas, mais – il te manque. sa voix, ses mains sur ta carcasse et ses lèvres contre les tiennes, ça te manque. bordélique, t’es un déchet complet. Pedro est venu se glisser sur tes jambes, cherchant à réconforter l’humain qu’il considère comme son propre papa, ronronnant et collant sa tête contre ton torse… mais, cette fois-ci, tu pleures encore plus. tu t’effondres complètement. et pourquoi ? n’as-tu donc pas encore fait le deuil de cette relation ? pourquoi est-ce que Loan est si spécial à tes yeux ? toi, qui pensais qu’il était comme les autres avant ces échanges. reprends-toi, il arrive.

tic, toc.
le temps s’écoule.

tu te lèves de ton lit, le visage humide, afin d’aller te cacher dans la salle de bain. où tu observes une minime seconde le reflet de ta carcasse errante, t’en claques la langue contre ton palais. fronce des sourcils, détourne le regard. ne te regarde surtout pas. t’attrapes un élastique pour mettre tes cheveux en queue-de-cheval mal-faite, venant mouiller ton visage avec de l’eau fraîche par la suite. tu n’aimes pas te voir vulnérable, savoir que tu ne contrôles pas entièrement la situation… mais, au moins… tu peux contrôler la façon dont tu ressembles, pas vrai ? tu sèches ta peau, ouvrant ensuite la cabinet pour choper ton parfum préféré – senteur florale, c’est l’odeur que tu portes depuis plus de quatre ans désormais. t’appliques le parfum à peu près partout, tu dois sentir bon. les pas se font lents, quittant la pièce. tu fermes la porte derrière toi, soupirant un coup tandis que Pedro se faufile entre tes jambes pour demander plus de câlins. l’adopter a été une bonne idée, tu te sens moins seul lorsque tu rentres chez toi et sa compagnie est bien plus appréciable que celle de certains humains. tu te baisses pour le caresser, venant lui gratter le menton avant qu’il ne vienne quémander des papouilles sur le ventre – non ! c’est un piège, il va te mordre.

ça sonne.
dépêche-toi.

tu te redresses presque immédiatement lorsque tu entends la sonnette, t’empressant de traverser ton appartement pour finir devant la porte d’entrée. t’hésites, tout d’un coup, à ouvrir. au cœur qui bat la chamade à cette idée de revoir le visage de celui qu’il aimait – et qu’il aime toujours. au fond de toi, t’as peur de disjoncter à nouveau… de ne pas supporter ces retrouvailles et de détruire les miettes de vous deux. toutefois, la main se dépose sur la poignée et la tourne. la porte s’ouvre, aux yeux qui se déposent sur lui et là, t’en ravales tes émotions presque immédiatement.

Salut, Loan…

le néant de tes bourgeons observe l’océan des siens, c’est comme si le temps s’était arrêté, rien que pour un petit instant. tu aimerais tant pouvoir l’accueillir dans une enlace et de le noyer dans une rivière de baisers, sauf que tu clignes frénétiquement des yeux, secouant ta tête. les pieds reviennent sur terre, ce sera pour une prochaine fois, Sage, ou pas.

Entre.

doucement, tu viens te glisser sur le côté avant de fermer derrière vous, après qu’il ait dépassé l’encadrement de la porte. tu ne sais plus comment te comporter, tu as fais ton grand garçon derrière l’écran de ton téléphone, mais est-ce que tu vas l’assumer jusqu’au bout ? tu n’en sais rien, dans le fond, tu as bien peur que non.


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Sage Presley
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Âge : les numéros défilent, un à un, chaque anniversaires ont une allure monotone. les vingt-cinq ans sur les traits de son visage et pourtant, jamais l'enfant aurait imaginé atteindre un tel âge.
Côté coeur : i love you bad, that's the problem occurrin' — les retrouvailles avec Loan qui le déstabilisent, il y a le myocarde qui bat encore pour lui. et pourtant, ses néants se tournent vers Charlie qui le tourmente et ça lui fait mal. il a peur d'être encore trop naïf, mais c'est trop tard. il est trop attaché pour s'éloigner de lui - dans un fin espoir qu'une histoire puisse éclore entre eux.

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Job : il travaille au McDonald's à Queen Anne, parce que sentir la friture est une passion incomprise.
Adresse : un vieux studio qui requiert des réparations au n°44 à Belltown. si on ignore tout ça, il y fait bon vivre…
Famille : il est l'enfant d'une femme qui a tout perdu avec sa passion pour la drogue et d'un père qui a fini en taule parce qu'il aimait jouer avec la vie des gens. enfant unique ou plutôt, il le pensait. le père l'a caché, ce demi-frère. Chad, c'est son prénom. c'est en fouillant les papiers du paternel qu'il a découvert tout ça, un soir de dispute. sa mère ne voulait pas le croire, malgré que ce soit écrit noir sur blanc, à croire qu'elle voulait se persuader elle-même que le daron était un bon gars. délusion, délusion.
Trigger warning : me; drogues, relation à trop grand écart d'âge (+ de 10 ans.), quelconques agressions (décrites.) lgbtophobie, sexe explicite, inceste et violence sur animaux/enfants.

sage; consommation d'alcool, tabagisme, sexualité, pensées noires, mention possible d'une agression, blessure, accident & bipolarité non diagnostiquée.

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(#) Message par Loan E. Doyle Ven 23 Aoû 2024 - 0:10


Feat. @Sage Presley

as we crush the empty skies

le regard s’est posé sur la notification une première fois avant de se détourner. puis de revenir aussitôt. parce qu’il avait décidé de relire ce qui était écrit, ce qui s’affichait cette fois sur l’écran. ce n’était pas normal, ce n’était pas logique. pourquoi lui ? pourquoi maintenant ? il ne veut pas y croire, refuse d’y croire. pas après tout ce temps. pas lui, pas maintenant.

le souffle est court, le souffle est illogique, alors qu’il décide de reprendre son téléphone. et c’est d’un mouvement rapide et aussitôt regretté que le plongeur vient faire glisser le profil de l’autre vers la droite, faisant apparaître une couleur verte qui n’aurait jamais dû apparaître. parce qu’il n’a pas le droit de revenir ainsi dans sa vie après ce qu’il lui a fait. n’a pas le droit de vouloir une place dans sa vie après avoir préféré croire un autre plutôt que lui. d’avoir préféré croire un inconnu plutôt que celui avec qui il était en couple. le téléphone est aussitôt reposé, mis sur silencieux et même en mode avion. parce qu’il a besoin de souffler, qu’il a besoin de fumer. ce qu’il fait, prenant un cône plutôt qu’une cigarette industrielle. car il ne se sent pas bien, se sent submergé par ses émotions, et qu’il refuse de revivre encore une fois cette rupture brutale et douloureuse. cette soirée qu’il a mis de côté dans sa mémoire, en voulant aussi bien à sage qu’à son ex de lui avoir fait cela.

parce qu’il ne méritait pas tout cela, loan, devenu fidèle pour l’homme aux cheveux bouclés chez qui il vivait et qui s’était fait une place dans son cœur jusqu’à obtenir ce dernier en entièreté en moins de huit mois dont deux de relation. une relation qui s’est arrêtée brutalement quand l’ancien compagnon de loan, ancien fiancé bafoué, a pris la décision de faire croire qu’il n’était qu’un partenaire ignoble. un homme à la vertu si petite qu’il se permettait de tromper celui qui lui offrait toit et nourriture, douceur et passion. et c’est plus léger, surtout mentalement, qu’il revient vers son mobile. il réactive alors données mobiles et notifications, prêt à répondre aux messages du plus jeune. parce que cela ne veut rien dire, non ? ça se trouve, il l’a liké par erreur et va supprimer rapidement leur match. ouais, c’est sûrement ça.

mais les échanges commencent rapidement, continuent et font preuve d’une honnêteté que loan ne pensait pas possible. pourtant il lui dit toute la vérité, parle de cette ancienne relation, des raisons qui l’aurait poussé à faire croire que loan n’était que tromperie et mensonges. ce qu’il n’était pas, du moins avec sage, et qu’il n’aurait jamais été si leur relation avait continué dans le temps. parce qu’il est fidèle quand il aime et qu’il espère qu’on puisse le croire lorsqu’il le dit. et c’est dans un battement manqué qu’il accepte la proposition de venir le voir. de le revoir après ces deux années sans lui. en ce jour où il fête son anniversaire, ce dont loan se souvient bien. milieu du dernier mois de l’été, jour parfait, jour du lion. signe qui lui correspond si bien quand on y réfléchit.

il ne perd pas réellement de temps à se préparer, enfilant simplement un jean et un haut noir avant de prendre la direction de l’adresse indiquée, même s’il la connait encore malgré le temps. ils ne vivent pas si loin l’un de l’autre mais ils ne se sont jamais revus depuis leur séparation, ce qui est tout de même étonnant mais totalement explicable quand on sait que leurs vies n’ont rien de semblable lorsqu’ils ne sont plus ensemble. ses pas le mènent jusqu’à l’immeuble, les doigts viennent sonner une première fois avant de s’appuyer sur la rambarde des escaliers qui viennent le mener au bon étage. et il se manifeste de façon à ce que sage vienne lui ouvrir.

encore peu conscient de ce qu’il fait vraiment ici, ses prunelles se posent sur le visage qui apparaît lorsque la porte s’ouvre, observent même les boucles qu’il a toujours aimé, avant que ses lèvres ne s’ouvrent enfin. “hey.” un simple mot parce qu’il sent que sa voix pourrait trembler. et surtout qu’il déteste cette impression de se trouver dans une situation étrange qu’il espère pouvoir achever rapidement. autorisation donnée d’entrer, pas le guidant jusque dans le logement, le regard se pose un peu partout même s’il connait bien les lieux après y avoir vécu plusieurs mois. et il s’abaisse rapidement lorsque pedro vient le saluer, ses doigts courant dans ses poils pour lui donner de l’affection alors qu’il ose ouvrir les lèvres pour que sa voix se fasse entendre. “tu aurais quelque chose à boire ? alcool, eau, soda, je m’en fous.” surtout qu’il est venu à pied et qu’il a déjà fumé avant de venir donc il ne conduira pas aujourd’hui. caressant tendrement le chat, il finit par lever et tourner la tête vers sage. “ça fait bizarre.” d’être de nouveau ici après avoir été obligé de fuir il y a près de deux ans.


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Âge : la trentaine est dépassée depuis plusieurs mois, marquant le visage d'un homme qui a connu tant de vie et qui ne sait plus où il en est.
Côté coeur : le cœur est libre, meurtri par tout ce qu'il a vécu ces dernières années et surtout par les traumatismes qui l'empêchent de l'ouvrir de nouveau.
Job : recruté comme plongueur dans le restaurant O'Sullivan depuis deux ans, cet emploi est surtout là pour lui permettre d'avoir un revenu officiel régulier pour payer son loyer alors qu'il continue d''échanger son corps contre quelques billets, ayant gardé cette vilaine habitude malgré lui.
Adresse : c'est au n°600 dans belltown que il a posé ses valises depuis deux ans maintenant. logement très peu intéressant mais qui lui permet d'avoir un toit sur la tête.
Famille : la famille doyle est composée des deux parents et de cinq enfants :
- ronan (jumeau de loan)
- loan
- blanche
- anael
- florence

Trigger warning : en ce qui concerne loan : prostitution, consommation de drogue, relation abusive

en ce qui me concerne : maltraitance animale

Bonus : (3/6)

rps en cours :
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- charlie

rp prévu :
- peut-être toi ?

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(#) Message par Sage Presley Jeu 12 Sep 2024 - 11:59


Feat. @Loan E. Doyle

as we crush the empty skies

ça sonne,
et tu te relèves.

tes émotions sont frénétiques.
elles vont dans tout les sens sans que tu puisses réellement les contrôler, elles font comme la fois où tu as rompu avec lui. quand elles étaient aux rênes de tes actions et paroles, parce que tu croyais aveuglément des photos retouchées. tu as été vraiment idiot et tu t’en veux, tu ne sais même pas pourquoi tu l’as invité ce soir, pourquoi tu lui as dis que tu voulais le voir – que tu avais besoin. encore une fois, dans la plus belle de tes habitudes, tu n’enterres pas cette histoire, ne la laisses pas dans le passé – non, tu la déterres. parce que t’arrives jamais à accepter que les choses puissent être différentes, parce que tu as peur du futur et de ce que le destin te préserve. tu es un garçon faible, Sage, bien que tu en agis différemment. tu n’es rien d’autre qu’un homme à l’équilibre bancal. et quand tu entends la sonnerie de ton appartement, tu te relèves rapidement en laissant Pedro complètement seul dans ta chambre et il s’y échappe puisque tu laisses la porte ouverte – il se fait curieux, sautant sur le canapé pour observer ce que tu fais.

est-ce une bonne idée, Sage ?
affronter le passé pourrait te faire mal.

tu viens placer une bouclette derrière ton oreille, avant d’attraper les clés qui sont toujours laissées sur la serrure de la porte d’entrée, la tournant deux fois pour ouvrir à cet homme que tu attends depuis quelques minutes. tu inspires longuement et tu te dévoiles, la porte qui s’ouvre grandement. et tes yeux se déposent sur lui, ce bouclé aux yeux bleus, ceux que tu aimais tant. tu ressens une montée d’émotions, ça te serre la gorge et pourtant, tu te donnes le courage de le saluer. la voix incertaine, elle manque de confiance et ça se voit sur ton faciès, t’sais même pas comment te comporter en sa présence. un pas sur le côté, tu lui offres l’autorisation d’entrée dans l’appartement que vous partagiez il y a deux ans. tu fermes la porte, à double-tours avant de te retourner en triturant tes doigts. tu l’observes faire des caresses à ton chat, lui qui ronronne fortement à ces doigts inconnus et tu croises les bras. tu n’oses pas parler, tu ne sais pas quoi dire. à vrai dire, tu avais une grande gueule derrière l’écran, mais maintenant qu’il est là en face de toi, tu veux fuir. tes bourgeons suivent ses gestes jusqu’à ce que ta bulle soit enfin éclatée lorsqu’il demande quelque chose à boire. tu clignes des yeux plusieurs fois avant d’acquiescer et tu te diriges à la cuisine ouverte.

t’ouvres le réfrigérateur plus vieux que ta tante,
t'attrapes deux bières fraîches et tu cherches dans le bordel de tes tiroirs un décapsuleur, avant de faire sauter les capsules. tu te retournes, lui tendant la bouteille humide de fraîcheur.

ouais… ça fait bizarre.

la bière en main, tu viens boire une gorgée avant de la déposer sur la table qui se trouve à vos côtés. l’appartement n’a jamais été grand, mais il te suffit bien, malgré toutes les affaires que t’empiles dans un coin et qui prennent la poussière. tu viens mouiller tes lèvres, cherchant les mots pour les exprimer dans la meilleure des sincérités.

écoute, Loan… je… je regrette fermement ce que je t’ai fais, je sais que c’était vraiment idiot de ma part de… de croire un mec que j’connais pas. tu commences, tes yeux qui fuient le bleu de ses océans. mais, sur le coup… c’était comme si j’me prenais une claque dans la gueule et oui, j’aurais pas dû me déchaîner sur toi comme je l’ai fais. tu portes ta main au-dessus du myocarde battant, le regret qui s’esquisse sur les traits de ton visage.

respire, Sage.
respire, reprends ton souffle.

je suis… désolé.

une phrase que tu ne dis pas souvent, t’as bien souvent l’ego surdimensionné pour t’excuser de tes erreurs – c’est ce qui fait de toi une personne exécrable. et là, tu essayes de montrer à quel point le remord te ronge l’esprit depuis ce jour fatidique.

je suis désolé pour ce que j’ai fais, pour ce que je t’ai dis… pour t’avoir mis à la porte alors que t'avais nul part où aller.

tu tentes du mieux que tu peux afin de ne pas craquer, de ne pas redevenir un bordel – bien que tu le sois naturellement. ces néants, remplis de regrets fixent les océans de celui que tu nommais ton petit ami autrefois.


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