#44 ⋆ as we crush the empty skies ft. loan
Rewrite the Stars :: Seattle :: Belltown :: Habitations
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#44 ⋆ as we crush the empty skies ft. loan
Feat. @Loan E. Doyle
as we crush the empty skies
les yeux rivés sur l’écran,
aux météores qui écoulent le long de tes joues.
inspire, expire.
l’écran s’éteint et un soupir échappe tes lippes. tu ne t’attendais pas vraiment à cette discussion, non, ni même à le croiser sur cette application. tu as pu sentir le myocarde presque imploser dans ta poitrine lorsqu’il a initialement répondu à ton message… cette rupture a explosé par ta faute, car, comme d’habitude, tu es monté sur tes grands chevaux. lui hurlant dessus, l’insultant et donnant l’ordre de quitter ton logement que vous partagiez à l’époque… sans même vouloir écouter ses explications, croyant aveuglément ces photos qui se sont avérées trafiquées. et t’as essayé d’être mesquin dans tes messages et pourtant, tu sais très bien que t’as interagi avec son profil parce que t’avais besoin de lui parler… de te rassurer qu’il est sain et sauf. Sage, t’essayes souvent de te voiler la face et de faire comme si ce n’était pas le cas, mais – il te manque. sa voix, ses mains sur ta carcasse et ses lèvres contre les tiennes, ça te manque. bordélique, t’es un déchet complet. Pedro est venu se glisser sur tes jambes, cherchant à réconforter l’humain qu’il considère comme son propre papa, ronronnant et collant sa tête contre ton torse… mais, cette fois-ci, tu pleures encore plus. tu t’effondres complètement. et pourquoi ? n’as-tu donc pas encore fait le deuil de cette relation ? pourquoi est-ce que Loan est si spécial à tes yeux ? toi, qui pensais qu’il était comme les autres avant ces échanges. reprends-toi, il arrive.
tic, toc.
le temps s’écoule.
tu te lèves de ton lit, le visage humide, afin d’aller te cacher dans la salle de bain. où tu observes une minime seconde le reflet de ta carcasse errante, t’en claques la langue contre ton palais. fronce des sourcils, détourne le regard. ne te regarde surtout pas. t’attrapes un élastique pour mettre tes cheveux en queue-de-cheval mal-faite, venant mouiller ton visage avec de l’eau fraîche par la suite. tu n’aimes pas te voir vulnérable, savoir que tu ne contrôles pas entièrement la situation… mais, au moins… tu peux contrôler la façon dont tu ressembles, pas vrai ? tu sèches ta peau, ouvrant ensuite la cabinet pour choper ton parfum préféré – senteur florale, c’est l’odeur que tu portes depuis plus de quatre ans désormais. t’appliques le parfum à peu près partout, tu dois sentir bon. les pas se font lents, quittant la pièce. tu fermes la porte derrière toi, soupirant un coup tandis que Pedro se faufile entre tes jambes pour demander plus de câlins. l’adopter a été une bonne idée, tu te sens moins seul lorsque tu rentres chez toi et sa compagnie est bien plus appréciable que celle de certains humains. tu te baisses pour le caresser, venant lui gratter le menton avant qu’il ne vienne quémander des papouilles sur le ventre – non ! c’est un piège, il va te mordre.
ça sonne.
dépêche-toi.
tu te redresses presque immédiatement lorsque tu entends la sonnette, t’empressant de traverser ton appartement pour finir devant la porte d’entrée. t’hésites, tout d’un coup, à ouvrir. au cœur qui bat la chamade à cette idée de revoir le visage de celui qu’il aimait – et qu’il aime toujours. au fond de toi, t’as peur de disjoncter à nouveau… de ne pas supporter ces retrouvailles et de détruire les miettes de vous deux. toutefois, la main se dépose sur la poignée et la tourne. la porte s’ouvre, aux yeux qui se déposent sur lui et là, t’en ravales tes émotions presque immédiatement.
– Salut, Loan…
le néant de tes bourgeons observe l’océan des siens, c’est comme si le temps s’était arrêté, rien que pour un petit instant. tu aimerais tant pouvoir l’accueillir dans une enlace et de le noyer dans une rivière de baisers, sauf que tu clignes frénétiquement des yeux, secouant ta tête. les pieds reviennent sur terre, ce sera pour une prochaine fois, Sage, ou pas.
– Entre.
doucement, tu viens te glisser sur le côté avant de fermer derrière vous, après qu’il ait dépassé l’encadrement de la porte. tu ne sais plus comment te comporter, tu as fais ton grand garçon derrière l’écran de ton téléphone, mais est-ce que tu vas l’assumer jusqu’au bout ? tu n’en sais rien, dans le fond, tu as bien peur que non.
- Sage Presley
- Pseudo : nao.
Date d'inscription : 06/08/2024
Date de naissance : 15/08/1999
Faceclaim : Conan Gray
Crédit : me. (av.) alcara (sign.)
Messages : 2128
RPs : 61
Âge : les numéros défilent, un à un, chaque anniversaires ont une allure monotone. les vingt-cinq ans sur les traits de son visage et pourtant, jamais l'enfant aurait imaginé atteindre un tel âge.
Côté coeur : what is love ? oh baby don't hurt me — il essaye d'oublier les sentiments qu'il porte pour Charlie. l'idylle n'était qu'une illusion, au final. les regards et le toucher ne sont plus les mêmes et ça fait plus de mal que de bien. les pensées restent accrochées à lui, l'empêchant d'avancer et d'accepter la fin de leur aventure.
Job : tout récemment licencié de son job au McDonald's, il est désormais au chômage en recherche de travail. toutefois, il se lance dans le projet de devenir un artiste indépendant, à voir s'il tient la route.
Adresse : hébergé par son meilleur ami, dans un duplex qui diffère de la boîte à sardines qui lui servait d'appartement. au n°46 à Magnolia
Famille : il est l'enfant d'une femme qui a tout perdu avec sa passion pour la drogue et d'un père qui a fini en taule parce qu'il aimait jouer avec la vie des gens. enfant unique ou plutôt, il le pensait. le père l'a caché, ce demi-frère. Chad, c'est son prénom. c'est en fouillant les papiers du paternel qu'il a découvert tout ça, un soir de dispute. sa mère ne voulait pas le croire, malgré que ce soit écrit noir sur blanc, à croire qu'elle voulait se persuader elle-même que le daron était un bon gars. illusion, illusion.
Trigger warning : me; drogues, relation à écart d'âge (+ de 10 ans.), quelconques agressions (décrites.) lgbtophobie, sexe explicite, inceste et violence sur animaux/enfants.
sage; consommation d'alcool, tabagisme, sexualité, pensées noires, mention possible d'une agression, blessure, accident & bipolarité non diagnostiquée.
Bonus :
what's having a limit ?
( 7 / ∞ )
♡ Sagelie#0.5 ⋆ Loan ⋆ Rhys ⋆ Kane ⋆ Narcissa ♡ Sagelie#4 ⋆ Quincy
terminés:
♡ Sagelie#1 ♡ Sagelie#2 ♡ Sagelie#3
- delulu is the solulu
Re: #44 ⋆ as we crush the empty skies ft. loan
Feat. @Sage Presley
as we crush the empty skies
le regard s’est posé sur la notification une première fois avant de se détourner. puis de revenir aussitôt. parce qu’il avait décidé de relire ce qui était écrit, ce qui s’affichait cette fois sur l’écran. ce n’était pas normal, ce n’était pas logique. pourquoi lui ? pourquoi maintenant ? il ne veut pas y croire, refuse d’y croire. pas après tout ce temps. pas lui, pas maintenant.
le souffle est court, le souffle est illogique, alors qu’il décide de reprendre son téléphone. et c’est d’un mouvement rapide et aussitôt regretté que le plongeur vient faire glisser le profil de l’autre vers la droite, faisant apparaître une couleur verte qui n’aurait jamais dû apparaître. parce qu’il n’a pas le droit de revenir ainsi dans sa vie après ce qu’il lui a fait. n’a pas le droit de vouloir une place dans sa vie après avoir préféré croire un autre plutôt que lui. d’avoir préféré croire un inconnu plutôt que celui avec qui il était en couple. le téléphone est aussitôt reposé, mis sur silencieux et même en mode avion. parce qu’il a besoin de souffler, qu’il a besoin de fumer. ce qu’il fait, prenant un cône plutôt qu’une cigarette industrielle. car il ne se sent pas bien, se sent submergé par ses émotions, et qu’il refuse de revivre encore une fois cette rupture brutale et douloureuse. cette soirée qu’il a mis de côté dans sa mémoire, en voulant aussi bien à sage qu’à son ex de lui avoir fait cela.
parce qu’il ne méritait pas tout cela, loan, devenu fidèle pour l’homme aux cheveux bouclés chez qui il vivait et qui s’était fait une place dans son cœur jusqu’à obtenir ce dernier en entièreté en moins de huit mois dont deux de relation. une relation qui s’est arrêtée brutalement quand l’ancien compagnon de loan, ancien fiancé bafoué, a pris la décision de faire croire qu’il n’était qu’un partenaire ignoble. un homme à la vertu si petite qu’il se permettait de tromper celui qui lui offrait toit et nourriture, douceur et passion. et c’est plus léger, surtout mentalement, qu’il revient vers son mobile. il réactive alors données mobiles et notifications, prêt à répondre aux messages du plus jeune. parce que cela ne veut rien dire, non ? ça se trouve, il l’a liké par erreur et va supprimer rapidement leur match. ouais, c’est sûrement ça.
mais les échanges commencent rapidement, continuent et font preuve d’une honnêteté que loan ne pensait pas possible. pourtant il lui dit toute la vérité, parle de cette ancienne relation, des raisons qui l’aurait poussé à faire croire que loan n’était que tromperie et mensonges. ce qu’il n’était pas, du moins avec sage, et qu’il n’aurait jamais été si leur relation avait continué dans le temps. parce qu’il est fidèle quand il aime et qu’il espère qu’on puisse le croire lorsqu’il le dit. et c’est dans un battement manqué qu’il accepte la proposition de venir le voir. de le revoir après ces deux années sans lui. en ce jour où il fête son anniversaire, ce dont loan se souvient bien. milieu du dernier mois de l’été, jour parfait, jour du lion. signe qui lui correspond si bien quand on y réfléchit.
il ne perd pas réellement de temps à se préparer, enfilant simplement un jean et un haut noir avant de prendre la direction de l’adresse indiquée, même s’il la connait encore malgré le temps. ils ne vivent pas si loin l’un de l’autre mais ils ne se sont jamais revus depuis leur séparation, ce qui est tout de même étonnant mais totalement explicable quand on sait que leurs vies n’ont rien de semblable lorsqu’ils ne sont plus ensemble. ses pas le mènent jusqu’à l’immeuble, les doigts viennent sonner une première fois avant de s’appuyer sur la rambarde des escaliers qui viennent le mener au bon étage. et il se manifeste de façon à ce que sage vienne lui ouvrir.
encore peu conscient de ce qu’il fait vraiment ici, ses prunelles se posent sur le visage qui apparaît lorsque la porte s’ouvre, observent même les boucles qu’il a toujours aimé, avant que ses lèvres ne s’ouvrent enfin. “
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- Loan E. Doyle
- Pseudo : cheryl
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Date de naissance : 14/02/1994
Faceclaim : Jeremy Allen White
Crédit : sokosid (a) + pinterest (g & s)
Multicomptes : Aïcha Howards || rachel zegler
Rhys Ackerman || gauge burek
Narcissa E. Marsh || jenna ortega
Kane P. Bradshaw || fabien tietjen
Messages : 747
RPs : 20
Âge : t'as franchi le cap des trente ans depuis huit mois déjà, t'approchant de plus en plus des trente-et-un.
Côté coeur : le cœur n'a jamais cessé d'appartenir à la même personne et ce depuis treize ans, bien que tu aies su en aimer un autre. mais c'est ton amour pour quincy qui est le plus fort, qui te pousse chaque jour à te battre pour que votre avenir soit meilleur même si tu sais que le chemin est encore long et que votre relation n'est pas encore définie pour le moment. mais tu l'aimes comme tu n'as jamais aimé personne.
Job : tu travailles depuis deux ans comme plongeur au O'Sullivan, métier qui est devenu unique dans ta vie depuis quelques semaines déjà. depuis que tu as décidé de ne plus laisser d'autres toucher ton corps.
Adresse : tu vis au n°600 dans belltown depuis deux ans, logement minable mais qui te permets d'avoir un toit sur ta tête.
Famille : la famille doyle, dont l'argent n'a d'égale que la méchanceté et l'homophobie de tes parents, est composé de ces deux personnes ainsi que deux cinq enfants : ronan et toi, blanche, anael et florence. ainsi que d'un oncle que tu n'as pas vu depuis des années, persuadé qu'il est comme tes parents.
Trigger warning : en ce qui concerne loan : prostitution, consommation de drogue, relation abusive
en ce qui me concerne : maltraitance animale
Bonus : (3/6)
rps en cours :
- quincy
- sage
- charlie
rp prévu :
- peut-être toi ?
- Chaos is a friend of mine
Re: #44 ⋆ as we crush the empty skies ft. loan
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ça sonne,
et tu te relèves.
tes émotions sont frénétiques.
elles vont dans tout les sens sans que tu puisses réellement les contrôler, elles font comme la fois où tu as rompu avec lui. quand elles étaient aux rênes de tes actions et paroles, parce que tu croyais aveuglément des photos retouchées. tu as été vraiment idiot et tu t’en veux, tu ne sais même pas pourquoi tu l’as invité ce soir, pourquoi tu lui as dis que tu voulais le voir – que tu avais besoin. encore une fois, dans la plus belle de tes habitudes, tu n’enterres pas cette histoire, ne la laisses pas dans le passé – non, tu la déterres. parce que t’arrives jamais à accepter que les choses puissent être différentes, parce que tu as peur du futur et de ce que le destin te préserve. tu es un garçon faible, Sage, bien que tu en agis différemment. tu n’es rien d’autre qu’un homme à l’équilibre bancal. et quand tu entends la sonnerie de ton appartement, tu te relèves rapidement en laissant Pedro complètement seul dans ta chambre et il s’y échappe puisque tu laisses la porte ouverte – il se fait curieux, sautant sur le canapé pour observer ce que tu fais.
est-ce une bonne idée, Sage ?
affronter le passé pourrait te faire mal.
tu viens placer une bouclette derrière ton oreille, avant d’attraper les clés qui sont toujours laissées sur la serrure de la porte d’entrée, la tournant deux fois pour ouvrir à cet homme que tu attends depuis quelques minutes. tu inspires longuement et tu te dévoiles, la porte qui s’ouvre grandement. et tes yeux se déposent sur lui, ce bouclé aux yeux bleus, ceux que tu aimais tant. tu ressens une montée d’émotions, ça te serre la gorge et pourtant, tu te donnes le courage de le saluer. la voix incertaine, elle manque de confiance et ça se voit sur ton faciès, t’sais même pas comment te comporter en sa présence. un pas sur le côté, tu lui offres l’autorisation d’entrée dans l’appartement que vous partagiez il y a deux ans. tu fermes la porte, à double-tours avant de te retourner en triturant tes doigts. tu l’observes faire des caresses à ton chat, lui qui ronronne fortement à ces doigts inconnus et tu croises les bras. tu n’oses pas parler, tu ne sais pas quoi dire. à vrai dire, tu avais une grande gueule derrière l’écran, mais maintenant qu’il est là en face de toi, tu veux fuir. tes bourgeons suivent ses gestes jusqu’à ce que ta bulle soit enfin éclatée lorsqu’il demande quelque chose à boire. tu clignes des yeux plusieurs fois avant d’acquiescer et tu te diriges à la cuisine ouverte.
t’ouvres le réfrigérateur plus vieux que ta tante,
t'attrapes deux bières fraîches et tu cherches dans le bordel de tes tiroirs un décapsuleur, avant de faire sauter les capsules. tu te retournes, lui tendant la bouteille humide de fraîcheur.
– ouais… ça fait bizarre.
la bière en main, tu viens boire une gorgée avant de la déposer sur la table qui se trouve à vos côtés. l’appartement n’a jamais été grand, mais il te suffit bien, malgré toutes les affaires que t’empiles dans un coin et qui prennent la poussière. tu viens mouiller tes lèvres, cherchant les mots pour les exprimer dans la meilleure des sincérités.
– écoute, Loan… je… je regrette fermement ce que je t’ai fais, je sais que c’était vraiment idiot de ma part de… de croire un mec que j’connais pas. tu commences, tes yeux qui fuient le bleu de ses océans. mais, sur le coup… c’était comme si j’me prenais une claque dans la gueule et oui, j’aurais pas dû me déchaîner sur toi comme je l’ai fais. tu portes ta main au-dessus du myocarde battant, le regret qui s’esquisse sur les traits de ton visage.
respire, Sage.
respire, reprends ton souffle.
– je suis… désolé.
une phrase que tu ne dis pas souvent, t’as bien souvent l’ego surdimensionné pour t’excuser de tes erreurs – c’est ce qui fait de toi une personne exécrable. et là, tu essayes de montrer à quel point le remord te ronge l’esprit depuis ce jour fatidique.
– je suis désolé pour ce que j’ai fais, pour ce que je t’ai dis… pour t’avoir mis à la porte alors que t'avais nul part où aller.
tu tentes du mieux que tu peux afin de ne pas craquer, de ne pas redevenir un bordel – bien que tu le sois naturellement. ces néants, remplis de regrets fixent les océans de celui que tu nommais ton petit ami autrefois.
- Sage Presley
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Famille : il est l'enfant d'une femme qui a tout perdu avec sa passion pour la drogue et d'un père qui a fini en taule parce qu'il aimait jouer avec la vie des gens. enfant unique ou plutôt, il le pensait. le père l'a caché, ce demi-frère. Chad, c'est son prénom. c'est en fouillant les papiers du paternel qu'il a découvert tout ça, un soir de dispute. sa mère ne voulait pas le croire, malgré que ce soit écrit noir sur blanc, à croire qu'elle voulait se persuader elle-même que le daron était un bon gars. illusion, illusion.
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Re: #44 ⋆ as we crush the empty skies ft. loan
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Il y a l’hésitation qui se lit au sein des pupilles. L’incertitude quant à la décision prise : celle de se rendre chez Sage. Ou même le fait de lui avoir parlé tout simplement sur Tinder; Ou tout simplement d’avoir liké son profil. Sûrement une erreur qu’il pourrait regretter dans le futur. Est-ce vraiment une bonne idée ? Loan en doute sincèrement.
Mais il espère qu’il ne va pas le regretter. Parce que cela l’embêterais réellement de ne pas pouvoir avoir la chance de prouver à Sage qu’il n’a rien fait. Ou du moins, qu’il ne l’a jamais trompé. Parce que le trentenaire n’aurait jamais osé manquer de respect de cette façon à l’homme qu’il appréciait tant à l’époque. Mais maintenant que leur rencontre est programmée, il ne peut plus faire faire chemin arrière. Encore moins maintenant que Loan est déjà à l’intérieur du logement, la porte se fermant à clé derrière lui. C’est même surprenant de voir qu’il ferme à clé derrière eux mais il n’y prête pas plus attention que cela.
Parce que si cela peut poser soucis à d’autres, lui se fiche de ne pas pouvoir sortir rapidement de l’espace clos. Notamment parce qu’ils ont beaucoup de discussions à mettre sur la tapis et qu’ils doivent donc discuter de tout ce qu’il ne va pas. La moue est curieuse alors qu’il vient interroger le plus jeune, se demandant s’il a vraiment sa place ici alors qu’il lui demande s’il peut lui offrir un verre à boire. Il se fait alors surprendre quand c’est une bière qui s’installe devant eux, venant attraper la sienne pour la porter à ses lèvres avant de reprendre la parole. “
Silencieusement, il vient sortir son paquet de cigarettes de ses poches et se dirige vers la première fenêtre à portée de main. Il l’ouvre avant d’allumer une cigarette placée soigneusement entre ses lèvres. “
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Feat. @Loan E. Doyle
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t'as l’encéphale qui te souffle ;
pourquoi tu fais ça ? c'est une mauvaise idée, Sage.
mais ce sont toujours des mauvaises idées,
quand tu es impliqué dans ces dernières.
l’incertitude se lit dans tes yeux tel un livre ouvert, parce que c’est la seule partie de ton corps qui n’arrive pas à cacher les émotions qui traversent ton esprit. ils parlent en premier, sans que tu puisses les contrôler, parce qu’ils sont la fenêtre de ton âme. elle carbure, tourne en rond et se remet trop souvent en question – si tu es un monstre, pourquoi as-tu une âme ? les monstres n’ont pas d’âmes, c’est bien connu. fermant la porté à clés, habitude prise suivant les années, tu te retournes et t’hésites. les pas ne sachant où aller, t’observes ton chat qui l’acceuille avec des ronronnements, social et toujours dans les pattes, c’est sa façon d’être affectif et d’avoir ce qu’il veut – peut-être qu’il te reflète, au final. tu pars dans la cuisine ouverte pour lui tendre une bière fraîche, il n’en restait deux, mais peu importe… c’est peut-être mieux ainsi, qu’il n’y ait plus d’alcool dans ton réfrigérateur. tu hésites à plusieurs reprises de t’approcher ou de tout simplement garder une distance criant le froid qu’il y a entre vous. comme une barrière semblant insurmontable. tes yeux échappent son regard, parce que tu sais qu’il peut te lire, tu sais qu’il n’est pas aussi stupide que t’aimerais sur ce coup-là. tu ne réponds pas à ses remerciements, au contraire, tu te contentes d’aller immédiatement sur le sujet. la raison pour laquelle il est là, devant toi, à nouveau.
t’as besoin de t’excuser en personne,
mais est-ce suffisant pour te pardonner ?
tu le sais que ça ne sera jamais suffisant, t’en baisses d’ailleurs la tête tandis qu’il part à la fenêtre pour se mettre à fumer. tu te sens tomber dans une spirale et lorsqu’il commence à te répondre, tu lui tournes le dos pour t’emparer d’un chiffon où tu nettoies le comptoir de ta cuisine machinalement. t’assumes jamais les émotions qui s’emparent de toi et qui te serrent la gorge. tu lâches tout avant de venir frotter ton visage de tes deux mains, aux néants qui lâchent des larmes que tu réprimes depuis longtemps. tu tentes de chasser les sanglots qui humidifient ton faciès et tu renifles pour essayer de tout ravaler en silence. tu es si bordélique, Sage. tes émotions sont un montagne russe que tu ne pourras jamais contrôler, peu importe les efforts que tu fais pour.
– tu as raison. j’aurais pu m’excuser plus tôt que ça et te laisser le temps de me le prouver. tu te retournes pour le regarder à la fenêtre, la fumée s’échappant de son souffle et de la cigarette. m’excuser maintenant ne sert à rien, pas vrai ? le mal est déjà fait. les yeux crient le pardon et pourtant, ton visage tente de garder son calme.
tu balances tes bras dans le vide, t’avance jusqu’à la table où la bière perd de sa fraîcheur et tu l’attrapes, venant en boire une gorgée. tu tapotes le verre de ton index.
– si j’m’étais pas endormi comme une merde sur le carrelage de la cuisine, peut-être que j’aurais pu te retenir avant que tu partes. t’avoues pendant que ton corps s’approche peu à peu de lui. toujours hésitant, tu ne sais pas où te mettre, à faire les cent pas. t’étais pas obligé de me ramasser d’ailleurs, t’aurais pu me laisser me réveiller dans ma connerie. et finalement, tu te stoppes juste devant lui, à sentir la brise froide de la nuit venir caresser ta carcasse, t’en frissonnes.
les néants fixent les diamants, comme si t’essayais de lui faire passer un message inconsciemment. tu n’es jamais doué lorsqu’il s’agit de t’exprimer verbalement, parce que c’est pas facile pour toi de mettre des mots sur ce que tu ressens. t’es perdu, la fin du tunnel n’est pas encore visible et il fait noir, dans ta tête. tu t’en veux réellement d’avoir fait du mal à l’innocent, de t’être pris à celui que t’aimais – et que tu aimes toujours – parce que ta naïveté t’a fait croire des broutilles. te voilà, désormais, dévoilé.
tu fonces droit dans un mur,
mais c’est pas grave, parce que tu te relèveras.
toujours.
– j’ai encore nos photos dans mon téléphone. tu dis en venant appuyer tes coudes sur le rebord de la fenêtre. j’les regardes quand tu me manques et j’finis toujours par chialer et regretter mes choix. j’déteste ce que je t’ai fais… tu méritais pas. tu me méritais pas. tu l’admet en buvant les dernières gorgées de ta bière.
il méritait meilleur, c’est un fait dont tu es persuadé.
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il y a parfois des actes et des paroles qui ne peuvent être expliqués, ne peuvent être justifiés, même quand cela fait des mois, des années, qu’ils ont eu lieu. pourtant, loan avait accepté de venir à la rencontre de sage pour pouvoir lui parler et surtout découvrir la raison de sa venue chez lui. oh, il n’a que très peu d’espoir que cela se passe bien, sachant que la rancune et la tristesse sont encore bien trop présentes dans son esprit et dans son cœur pour qu’il puisse passer outre. mais reste l’espoir qu’ils puissent au moins reconstruire une petite amitié entre eux, même si elle n’est ni solide ni stable. du moment qu’ils puissent se parler au moins sans sembler gênés de la présence de l’autre dans leur vie.
alors il était entré dans le logement de son ancien compagnon sans réussir à cacher le fait qu’il se sentait perdu quand il se trouvait pourtant dans un lieu connu. un endroit dans lequel il avait vécu plusieurs mois et dont il connaît chaque coin et recoin. les doigts viennent caresser tendrement pedro, avec une gentillesse dont il a toujours fait preuve envers le chat, avant de se concentrer sur ce qu’il se passe autour de lui. ayant de quoi boire, il aurait pu se raccrocher à cette boisson, se plonger dans celle-ci pour tenter de ne pas montrer ses émotions. de ne pas dévoiler les tempêtes présentes dans son esprit et son cœur quand il entend les excuses prononcées par sage. mais il préfère s’éloigner, se mettre à la fenêtre pour fumer. pour empoisonner un peu plus ses poumons.
et il est perdu, le plongeur, à ne pas savoir quoi répondre à celui qui vient de faire un acte extraordinaire quand on connaît son caractère et sa façon d’agir. bien entendu, il est heureux de voir que sage lui présente ses excuses et qu’il est assez mature et calme pour accepter ses erreurs. mais était-ce suffisant pour qu’ils puissent repartir de zéro, non ? enfin, si il est même possible de repartir de zéro. c’est pourtant dans cette optique qu’il se décide à dévoiler ses pensées, à accepter de mettre des mots sur ce qu’il pense et ressent. sur ce qu’il se passe dans sa tête, dans son esprit, et surtout sur ses attentes. puis, il se montre honnête, loan. honnête sur les raisons pour lesquelles il en veut encore au plus jeune, lui qui l’a forcé à retourner vivre dans la rue sans même lui laisser le temps de se trouver un plan de secours. sans même lui laisser le temps de trouver un logement qu’il pourrait louer et un boulot qu’il pourrait faire; et, si il ne le dit pas, il lui en veut aussi d’être la raison pour laquelle il a recommencé à vendre son corps quand il s’est retrouvé de nouveau à la rue.
et s’il se concentre sur ses paroles et la cigarette qui se consume entre ses doigts, il poste pourtant son regard sur sage. à observer ses actes, les détailler du regard, avant de se figer lorsqu’il comprend qu’il est en train de pleurer. le remord fait alors son entrée dans son cœur tandis qu’il vient écraser sa cigarette avant même qu’elle ne soit terminée, dans le but de pouvoir venir le serrer dans ses bras. mais il n’a pas le temps d’agir puisque sage se retourne déjà. loan se montre alors silencieux jusqu’au bout, laissant sage parler et agir, avant de finalement soupirer.
“
il lui sourit légèrement avant de se laisser surprendre par la proximité soudaine de sage, se perdant dans ce regard qu’il connaît tellement même après tout ce temps. il faut dire qu’il n’a jamais oublié un seul regard quand cela provenait d’une personne qu’il a aimé ou qui compte pour lui. il est cependant sorti de son observation quand le plus jeune s’installe à ses côtés, sa voix s’élevant déjà. et si loan sourit d’abord, ses lèvres cessent de s’étirer petit à petit avant de souffler. doucement, il vient attirer le plus jeune dans ses bras, sa tête trouvant place sur sa tête.
“
parce que loan n’a jamais aimé le voir agir ainsi, espérant même un jour que cela pourrait permettre au bouclé de s’aimer enfin correctement, d’être aimé comme lui l’a aimé par le passé. fermant les yeux, ses doigts s’immiscent dans les cheveux du cadet, venant les caresser avec tendresse.
“
parce que, contrairement à sage, lui n’a plus le même téléphone qu’à l’époque puisque le sien avait fini éclaté en morceaux peu de jours après qu’il se soit de nouveau retrouvé à la rue. mais il ne veut pas s’attarder sur ce sujet, préférant simplement se concentrer sur la tendresse de leur étreinte alors qu’il ne sait même pas quoi faire de suite. parce qu’il n’était préparé à rien lorsqu’il a débarqué chez sage et qu’il n’est même pas certain de pouvoir fonder quelque chose entre eux. surtout quand il a cette impression vive d’être en train de marcher sur des braises encore brûlantes.
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why would you ever kiss me ? i'm not even half as pretty
- Loan E. Doyle
- Pseudo : cheryl
Date d'inscription : 06/08/2024
Date de naissance : 14/02/1994
Faceclaim : Jeremy Allen White
Crédit : sokosid (a) + pinterest (g & s)
Multicomptes : Aïcha Howards || rachel zegler
Rhys Ackerman || gauge burek
Narcissa E. Marsh || jenna ortega
Kane P. Bradshaw || fabien tietjen
Messages : 747
RPs : 20
Âge : t'as franchi le cap des trente ans depuis huit mois déjà, t'approchant de plus en plus des trente-et-un.
Côté coeur : le cœur n'a jamais cessé d'appartenir à la même personne et ce depuis treize ans, bien que tu aies su en aimer un autre. mais c'est ton amour pour quincy qui est le plus fort, qui te pousse chaque jour à te battre pour que votre avenir soit meilleur même si tu sais que le chemin est encore long et que votre relation n'est pas encore définie pour le moment. mais tu l'aimes comme tu n'as jamais aimé personne.
Job : tu travailles depuis deux ans comme plongeur au O'Sullivan, métier qui est devenu unique dans ta vie depuis quelques semaines déjà. depuis que tu as décidé de ne plus laisser d'autres toucher ton corps.
Adresse : tu vis au n°600 dans belltown depuis deux ans, logement minable mais qui te permets d'avoir un toit sur ta tête.
Famille : la famille doyle, dont l'argent n'a d'égale que la méchanceté et l'homophobie de tes parents, est composé de ces deux personnes ainsi que deux cinq enfants : ronan et toi, blanche, anael et florence. ainsi que d'un oncle que tu n'as pas vu depuis des années, persuadé qu'il est comme tes parents.
Trigger warning : en ce qui concerne loan : prostitution, consommation de drogue, relation abusive
en ce qui me concerne : maltraitance animale
Bonus : (3/6)
rps en cours :
- quincy
- sage
- charlie
rp prévu :
- peut-être toi ?
- Chaos is a friend of mine
Re: #44 ⋆ as we crush the empty skies ft. loan
Feat. @Loan E. Doyle
as we crush the empty skies
de ton point de vue, tu ne mérites pas grand-chose. car lorsque tu te regardes dans le miroir, il est difficile pour toi de discerner la silhouette d'un être humain. tu te trouves monstrueux, à te demander si tu as une âme, si c'est la raison pour laquelle solitude est ton amie. tes relations ne durent jamais, toujours, sont-elles à un sens et elles emportent le restant de ta confiance en autrui. aujourd'hui, tu ne t'attends plus à ce que les autres te considèrent comme l'un des leurs. tu le sais, tu as toujours été un bouche-trou. Sage, fleur que tu es, te laisse piétiner parce que l'attention qu'on t'offre est tout ce que tu veux. c'est en voyant le compte tinder de Loan que tu t'es remémoré les instants passés avec lui – quand bien même ont-ils jamais quitté ton encéphale – bon et mauvais, le profond regret d'une relation perdue par ta faute t'a envahi. aux larmes assaillant tes chocolats alors que les échanges se faisaient premièrement vénéneux, à taper des phrases plus rapidement que tes réflexions. les vérités ont vu la lumière du jour après que des confessions se sont faites. il est vrai, tu ne réfléchis pas vraiment avant de l'ouvrir et tu ne sembles même pas retenir la leçon à chaque fois que tu payes le prix.
les paroles résonnent dans le petit appartement, où tu viens t’appuyer sur le comptoir, dos à lui. parce que – bien que ce soit la vérité – ces mots te font beaucoup trop mal. oh, tu le rêvais toi aussi. qu’il revienne, toque à ta porte et te prendre dans ses bras. qu’il te dise que tout ira bien, te rassure et t’embrasse jusqu’à n’en avoir plus un souffle. mais ça, ce n’était qu’un rêve, Sage. la réalité est moins délicate. tes efforts ne servent finalement à rien, car tes sanglots se font entendre lorsque tes poumons cherchent de l’oxygène. les perles tombent sur tes joues, humidifient ton visage… et tu les ravales assez rapidement, à venir t’essuyer les yeux du revers de la main, parce qu’il est hors de question de pleurer devant lui. le corps se retourne pour lui faire face – deux mondes si différents – tu t’approches finalement, les yeux toujours humides. à t’installer aux côtés du plus vieux, tu bois les dernières gouttes de ta bière avant qu’il ne vienne t’attirer dans ses bras, où tu trouves refuge malgré tout.
tu soupires,
ce n’est pas bien de toujours ressentir des choses pour lui.
– ça ne fait pas de sens de respecter quelqu’un qui t’a fait du mal. tu réponds, la tête contre son épaule. dehors, la vie continue. les êtres avancent vers leur destins respectifs. pourtant – oh pourtant – toi, tu es toujours bloqué dans le passé. tu te retournes toujours avec regret, à te demander ce que tu aurais pu faire pour éviter de telles conséquences. épines serrent ton âme et c’est complexe de s’en défaire. ton observation touche à sa fin quand tu sens ses doigts se glisser dans tes cheveux, aux caresses qui se font douces. tu fermes tes yeux, quelques instants, pour apprécier la tendresse qui émane de ses gestes. ce n’est pas bien, Sage, tu ne devrais pas aimer ça. ton souffle se calme, mais l’étreinte se fait plutôt brève par ton initiative. la tête s’enlève de son épaule et tu te tournes pour lui faire face.
aux bourgeons qui plongent dans les siens.
tu te fais statue pour quelques secondes, silence se fait roi sous cette proximité. tu en profites pour détailler son visage du regard, de te souvenir de ces traits que tu appréciais tant. aux bouclettes accueillant la brise froide, tu lèves doucement ta main et tu hésites un instant avant de déposer ta main contre sa joue. c’est avec délicatesse que ton pouce effleure sa peau. tes néants observent ses expressions, chaque muscle en mouvement et remontent sur ses océans.
– je donnerais tout pour retourner dans le passé… pour nous– pour t’éviter ça. tu avoues en continuant de caresser sa joue de ton pouce. mais… je sais que c’est pas possible. tu baisses ton regard, le gorge se serre et devient épineuse. les mots se transforment en maux, tu t’étais promis que tu ne perdrais pas pieds, pas ce soir en tout cas. toi et moi, c’est fini, pas vrai ? que tu questionnes, tandis que les larmes font leur apparition dans tes chocolats. ça devient de plus en plus difficile pour toi de tout réprimer. et c’est pas grave, si tu n’as plus de photos de nous… peut-être que c’est même mieux ainsi… je préfère t’imaginer sourire en regardant des photos qui te rappelle de meilleurs moments que… pleurer dans le regret d’une relation ratée. tu t’arrêtes de parler pour quelques instants, à tenter d’essuyer les perles humides qui tombent en rafale. je veux juste que tu saches que je t’ai aimé… de tout mon cœur.
- Sage Presley
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Date de naissance : 15/08/1999
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RPs : 61
Âge : les numéros défilent, un à un, chaque anniversaires ont une allure monotone. les vingt-cinq ans sur les traits de son visage et pourtant, jamais l'enfant aurait imaginé atteindre un tel âge.
Côté coeur : what is love ? oh baby don't hurt me — il essaye d'oublier les sentiments qu'il porte pour Charlie. l'idylle n'était qu'une illusion, au final. les regards et le toucher ne sont plus les mêmes et ça fait plus de mal que de bien. les pensées restent accrochées à lui, l'empêchant d'avancer et d'accepter la fin de leur aventure.
Job : tout récemment licencié de son job au McDonald's, il est désormais au chômage en recherche de travail. toutefois, il se lance dans le projet de devenir un artiste indépendant, à voir s'il tient la route.
Adresse : hébergé par son meilleur ami, dans un duplex qui diffère de la boîte à sardines qui lui servait d'appartement. au n°46 à Magnolia
Famille : il est l'enfant d'une femme qui a tout perdu avec sa passion pour la drogue et d'un père qui a fini en taule parce qu'il aimait jouer avec la vie des gens. enfant unique ou plutôt, il le pensait. le père l'a caché, ce demi-frère. Chad, c'est son prénom. c'est en fouillant les papiers du paternel qu'il a découvert tout ça, un soir de dispute. sa mère ne voulait pas le croire, malgré que ce soit écrit noir sur blanc, à croire qu'elle voulait se persuader elle-même que le daron était un bon gars. illusion, illusion.
Trigger warning : me; drogues, relation à écart d'âge (+ de 10 ans.), quelconques agressions (décrites.) lgbtophobie, sexe explicite, inceste et violence sur animaux/enfants.
sage; consommation d'alcool, tabagisme, sexualité, pensées noires, mention possible d'une agression, blessure, accident & bipolarité non diagnostiquée.
Bonus :
what's having a limit ?
( 7 / ∞ )
♡ Sagelie#0.5 ⋆ Loan ⋆ Rhys ⋆ Kane ⋆ Narcissa ♡ Sagelie#4 ⋆ Quincy
terminés:
♡ Sagelie#1 ♡ Sagelie#2 ♡ Sagelie#3
- delulu is the solulu
Re: #44 ⋆ as we crush the empty skies ft. loan
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as we crush the empty skies
T’as cette douce et mauvaise impression d’être en train de merder depuis que tu es entré dans ce logement que tu connais tant, Loan. Non pas que tu ne veuilles pas revoir Sage mais tu ressens cette impression de ne pas être à ta place, de ne pas mériter d’être là quand tu es pourtant innocent de toutes les accusations qui t’ont été portées la dernière fois que tu t’étais trouvé ici. Fidélité prouvée des années plus tard, avec la preuve que tu n’aurais jamais mis en danger votre relation quand tu tenais tant à Sage à l’époque. Tu as toujours été honnête, Loan, encore plus dans tes sentiments, quand pourtant tu cachais tout de même quelques informations dont le métier qui t'avait permis de survivre avant ET après votre relation. Métier dont tu n’es pas forcément fier même si tu n’en as pas non plus honte. Mais malgré tout cela, tu te retrouves tout de même perdu dans ce flot d’émotions qui s’affolent dans ton esprit et qui font battre un peu trop fort ton cœur, te rendant presque sourd. Pourtant, lorsqu’il se trouve à tes côtés, tu ne tarde pas à l’attirer contre toi. Dans une simple envie de le rassurer, de le convaincre que ses pensées sont fausses, totalement fausses.
Tu te veux doux, Loan, alors que tu cherches les bons mots, que tu tentes de ne pas blesser le plus jeune dans tes propos et gestes. Alors que rien que l’idée de lui rappeler que tu n’as plus de photos de vous, à l’époque, brise ton propre cœur malheureusement. Tu pourrais réagir à ce qu’il a dit mais tu as cette sensation que cela serait vain de chercher à contredire un homme aussi têtu que Sage. Tu te contentes donc de caresser ses cheveux, de chercher à l’apaiser de tes gestes tandis que tu fermes les yeux. Il t’as manqué et tu le réalises encore plus maintenant qu’il est de nouveau dans tes bras, même si ce n’est que temporaire. Mais le voilà qui s’échappe de nouveau, tel un oiseau qui ne veut rester dans sa cage, et tu viens perdre l'océan de tes yeux dans la douceur chocolatée des siens. Tu te fais silencieux, Loan, quand il vient lever sa main pour la poser contre ta joue.
Tu souris alors, Loan, et ton regard ne quitte pas une seule seconde le sien. Pourtant, tu ne reprends pas la parole de suite, désirant lui laisser le temps de parler, de dire tout ce qui lui pèse sur le cœur quand tu sens toi-même que le tien est en train de se serrer. Oh Loan, tu as toujours eu ce besoin de contrôle mais te voilà dénué de tout pouvoir en cet instant. Comme si tu ne pouvais être rien d’autre qu’un stupide spectateur sans aucune importance face au spectacle que Sage vient t’offrir. Alors, tu le laisses parler. Tu le laisses prononcer tous ses mots dans un silence horrible et pesant à tes yeux. Jusqu’à ce qu’il se termine enfin de parler. Sans un mot, juste avec un regard mêlant tristesse et tendresse, tu viens attraper son visage, caressant ses joues de tes pouces alors que tu l’incites à le redresser. Et tu te penches, toujours en silence, pour venir capturer ses lèvres des tiennes. Baiser tendre, baiser poison dans une haie de souvenirs piquants, qui vient faire taire doutes et pensées noires. Tu le sais, que votre relation est terminée. Mais rien ne t'empêche de vous accorder une nuit de douceur, une nuit de retrouvailles, quand vous avez tant souffert de votre séparation tous les deux.
Sans quitter ses lèvres, tu viens échanger vos positions, le faisant s’asseoir sur le bord de sa fenêtre alors que tes mains glissent le long de ses bras, de son torse avant de trouver refuge sous ses cuisses. Comme pour t’assurer qu’il ne va pas s’enfuir, qu’il ne va pas t’échapper. Et tu mets fin au baiser, ton front trouvant le sien, le souffle haletant. Oh, Loan, tu ne sais même pas si tu as merdé ou si tu as eu raison de faire cela. Pourtant, tu souris légèrement, soudainement plus doux et rassuré. “
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Âge : t'as franchi le cap des trente ans depuis huit mois déjà, t'approchant de plus en plus des trente-et-un.
Côté coeur : le cœur n'a jamais cessé d'appartenir à la même personne et ce depuis treize ans, bien que tu aies su en aimer un autre. mais c'est ton amour pour quincy qui est le plus fort, qui te pousse chaque jour à te battre pour que votre avenir soit meilleur même si tu sais que le chemin est encore long et que votre relation n'est pas encore définie pour le moment. mais tu l'aimes comme tu n'as jamais aimé personne.
Job : tu travailles depuis deux ans comme plongeur au O'Sullivan, métier qui est devenu unique dans ta vie depuis quelques semaines déjà. depuis que tu as décidé de ne plus laisser d'autres toucher ton corps.
Adresse : tu vis au n°600 dans belltown depuis deux ans, logement minable mais qui te permets d'avoir un toit sur ta tête.
Famille : la famille doyle, dont l'argent n'a d'égale que la méchanceté et l'homophobie de tes parents, est composé de ces deux personnes ainsi que deux cinq enfants : ronan et toi, blanche, anael et florence. ainsi que d'un oncle que tu n'as pas vu depuis des années, persuadé qu'il est comme tes parents.
Trigger warning : en ce qui concerne loan : prostitution, consommation de drogue, relation abusive
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Re: #44 ⋆ as we crush the empty skies ft. loan
Feat. @Loan E. Doyle
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is it right,
or is it wrong ?
c’est vrai que tu ne peux pas comprendre comment il peut toujours te respecter après tout ça, tu as une vision différente de la vie. t’es un gamin rancunier, au mauvais caractère qui te rend un peu trop détestable sur les bords. sauf que t’es comme ça, Sage et tu ne le changeras sûrement jamais. face à lui, t’es comme un livre ouvert. ton masque se fissure et les démons s’échappent envahissant l’atmosphère qui t’entoure. tu ne peux rien lui cacher, oh non, il te connaît assez bien pour pouvoir discerner tes faiblesses, ce qui te fait mal et les fausses attitudes. il sait lire dans tes yeux, la fenêtre de ton âme, celle qui cherche à lui supplier le pardon malgré ce que tu affirmes haut et fort. ils te font trahison bien souvent, plus que tu ne veux l’admettre, parce qu’au final t’es un gamin qui ne peut cacher ce qu’il ressent.
chose qui se voit pendant que tu contes tes désirs les plus chers, tu le dis finalement, l’avoir aimé sans pourtant admettre que tu ressens toujours la même chose à l’heure actuelle. tu t’ouvres à lui, te fais vulnérable parce que la sincérité difficile à accepter. il y a le myocarde qui hurle tant tu as mal et pourtant, le cerveau cherche à trouver la raison. c’est un peu le foutoir de ton côté, c’est vrai Sage, ce n’est pas fini à tes yeux. non. tu le sais que dans un monde meilleur, qui n’est pas celui-ci, vous seriez toujours petits amis. ta main caresse tendrement son visage, cessant enfin de parler pour venir essuyer les larmes qui se font rebelles. elles ne s’arrêtent pas, tu es parfaite œuvre morose, malgré ton envie de stopper la tragédie qui se dessine sur ton visage. le silence se fait roi pour quelques instants, tes sanglots se font entendre, il serait presque possible d’entendre les cris de ton âme. tu renifles brièvement en ne t’attendant pas à ce qu’il récupère ton visage entre ses mains, t’incitant à relever ta tête vers lui. le voilà qu’il caresse ton visage et tu fermes tes yeux, ton corps qui se plie face à lui. c’est calme, malgré ces perles qui coulent le long de tes joues rosées. tu soupires légèrement et tu rouvres tes yeux dès l’instant où son visage se rapproche du tien, ton myocarde se serre dans la poitrine en réalisant ce qu’il fait… intérieurement, c’est une bataille.
je t’en supplie, Loan.
non. ne me fait pas ça.
non. ne me fait pas ça.
tu ne le dis pas à voix haute, tes lippes qui accueillent les siennes tandis que tes bourgeons se ferment à nouveau. tu réponds à ses baisers en passant tes bras autour de son cou, le corps qui se colle au sien, ne serait-ce pour qu’un petit instant. tu te fais faible, la raison qui t’abandonne pendant que les lippes valsent, celle qui te répète sans cesse ce que vous faites est mal. diabolique. elle est détrônée par l’illusion qui se forme à chaque pas de danse. tu le sais, Sage, ça va jouer avec tes sentiments et tu tomberas de haut lorsqu’on te rappellera la vérité. sauf que tu t’en fiches, à l’instant, âmes qui s’entrechoquent. tu te fais grand, pieds qui quittent ton parquet pour le laisser te déposer sur le bord de ta fenêtre. le froid vient jouer avec tes cheveux, tu continues de l’embrasser comme s’il n’y avait pas de lendemain, croisant tes jambes pour le coincer entre celles-ci. aussi longuement qu’il dure, ta petite voix se fait légèrement entendre alors que tu prononces son prénom entre deux souffles, mais tu continues à suivre la danse. ça dure, encore, jusqu’à ce que le besoin d’oxygène vous arrête.
il confirme pourtant ce que tu craignais.
entre vous c’est fini et ce, depuis longtemps.
il admet cependant vouloir rester avec toi, ce soir. tes yeux se relèvent vers lui, brillent un peu, comme un petit espoir qui se réveille en toi.
– d’accord. tu réponds en acquiesçant. tu cherches l’air qu’il te manque suite à l’échange. je m’en doutais un peu que c’était fini entre nous… tu ajoutes doucement, les joues qui rougissent faiblement. tes bras se retirent un peu, attrapant son visage entre tes mains, c’est ainsi que tu caresses à nouveau ses joues avec tes pouces. c’est une douceur qui t’a beaucoup manqué, celle qui lui ressemble bel et bien. lorsqu’il te dit qu’il ne t’en veut plus, tu te mets à rire en détournant ton visage, humidifiant tes lèvres.
– t’es beaucoup trop gentil, on te l’a déjà dit ? tu demandes sans vraiment attendre une réponse. tes néants retombent dans ses océans, là, tu continues de caresser ses joues jusqu’à ce qu’une brise te fasse trembler de froid. aux frissons qui parcourent ton échine. j’ai froid… tu dis en attendant à ce qu’il fasse quelque chose de ce fait et qu’il te sauve des mains glacées de la brise.
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Famille : il est l'enfant d'une femme qui a tout perdu avec sa passion pour la drogue et d'un père qui a fini en taule parce qu'il aimait jouer avec la vie des gens. enfant unique ou plutôt, il le pensait. le père l'a caché, ce demi-frère. Chad, c'est son prénom. c'est en fouillant les papiers du paternel qu'il a découvert tout ça, un soir de dispute. sa mère ne voulait pas le croire, malgré que ce soit écrit noir sur blanc, à croire qu'elle voulait se persuader elle-même que le daron était un bon gars. illusion, illusion.
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Re: #44 ⋆ as we crush the empty skies ft. loan
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Relation brisée sur un malentendu, un mensonge commis par une personne extérieure à votre histoire, alors que tu faisais de ton mieux pour être le meilleur compagnon possible, même si, parfois, tu commettais encore des erreurs. Mais l’infidélité n’avait jamais fait partie de ton programme pour votre relation, bien au contraire. Tu n’as même jamais compris comment on pouvait tromper la personne qu’on aime, alors qu’on est justement amoureux d’elle. Pourtant, tu as vu défiler des clients mariés, des hommes qui se disaient heureux en ménage mais qui venaient trouver refuge dans tes bras, à t’embrasser et te promettre monts et merveilles. Certains t’ont même promis de quitter leur femme si tu acceptais d’être exclusif à eux, quitte à te payer pour que tu le sois. Et ça t’a toujours fait sourire, Loan, de les voir prêts à abandonner femme et enfants pour un simple corps, sans même connaître la personne que tu étais vraiment. Mais te faire accuser de tromperie, alors que tu es l’homme le plus fidèle lorsqu’une relation est exclusive, ça te fait bien rire aujourd’hui. Même si, à l’époque, tu n'avais pas daigné poser une seule lèvre sur qui que ce soit, trop blessé par le fait que Sage préfère écouter les paroles d’un inconnu plutôt que celles de l’homme qu’il disait aimer, celui avec qui il vivait. Et tu avais encore moins ri lorsque tu avais dû retourner vivre dans la rue, toi qui t’étais de nouveau habitué au confort d’un logement chauffé.
Pourtant, te voilà dans cet appartement dont tu n’as oublié aucun détail, te souvenant même des problèmes de tuyauterie d’autrefois comme si cela datait d’hier. Te voici, près de Sage, dans une atmosphère bien plus tendue qu’auparavant. Tu l’as aimé, Loan, plus que tout à l’époque. Et tu mentirais si tu disais que tu ne ressens plus rien pour cette âme qui a tant compté pour toi à ce moment-là. Te voilà à agir comme si de rien n’était, alors que tes lèvres se posent sur celles du plus jeune, dans l’espoir de renouer avec le passé. Pourtant, tu as conscience que rien ne sera plus pareil, que rien ne reviendra comme avant. Doux mensonges dans ton esprit qui te poussent à espérer retrouver un semblant de relation sincère avec Sage. Baiser doux, baiser tendre, baiser volé que tu regretteras peut-être plus tard, mais dont tu as tant besoin en cet instant. Ce baiser, tu le partages avec lui, tout en sachant pourtant que tu te dois d’être honnête. Et tu t'empresses de le faire, une fois le baiser rompu, ne quittant pourtant pas ta position, de peur qu’il s’en aille, qu’il t’abandonne de nouveau. Et tu souris, tendrement, lorsque Sage attrape ton visage de ses mains, te faisant frissonner un peu sous ses caresses, bien que tu sois conscient que c’est probablement votre dernière nuit ensemble. Que rien de tout cela ne durera éternellement. C’est simplement la dernière représentation théâtrale de la pièce que vous avez jouée à deux.
Son rire éclate alors, et le tien le rejoint, doucement, alors que tu hoches la tête. “
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Job : tu travailles depuis deux ans comme plongeur au O'Sullivan, métier qui est devenu unique dans ta vie depuis quelques semaines déjà. depuis que tu as décidé de ne plus laisser d'autres toucher ton corps.
Adresse : tu vis au n°600 dans belltown depuis deux ans, logement minable mais qui te permets d'avoir un toit sur ta tête.
Famille : la famille doyle, dont l'argent n'a d'égale que la méchanceté et l'homophobie de tes parents, est composé de ces deux personnes ainsi que deux cinq enfants : ronan et toi, blanche, anael et florence. ainsi que d'un oncle que tu n'as pas vu depuis des années, persuadé qu'il est comme tes parents.
Trigger warning : en ce qui concerne loan : prostitution, consommation de drogue, relation abusive
en ce qui me concerne : maltraitance animale
Bonus : (3/6)
rps en cours :
- quincy
- sage
- charlie
rp prévu :
- peut-être toi ?
- Chaos is a friend of mine
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