01. cinema night
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01. cinema night
Feat. @Sage Presley
cinema night
le doigt frôle lentement et tendrement l’anneau qui se trouve à présent sur son annulaire, les yeux se posant sur cette bague que son mari lui a offert il y a peu de temps suite à leur mariage imprévu. rien n’aurait pu prévoir que rhys et swann se diraient oui si rapidement et surtout dans de telles circonstances mais le voilà pourtant marié à l’enfant keller, portant même son nom bien que cela n’ait pas encore été rendu publique. rhys a cependant conscience du fait que cela ne devrait pas tarder et qu’il devra donc faire face aux conséquences de cet acte. mais en attendant que cela devienne public, le voilà en train de préparer tout ce qu’il faut pour passer la soirée avec sage. surtout pour rattraper le temps perdu et se faire pardonner du fait de ne pas avoir été disponible lorsque la ville de seattle a diffusé son film préféré. il avait mal géré la notion du temps et avait dû s’excuser d’une absence imprévue mais justifiée par le fait qu’il était à las vegas à ce moment-là. le sourire aux lèvres, le jeune homme vient mettre à cuire une pizza qu’il a préparée en amont alors qu’il espère que cela permettra à sage de passer une bonne soirée.
profitant que la pizza est en train de cuire, il file vers la salle de bain pour se doucher rapidement avant d’enfiler des vêtements et d’aller ouvrir lorsqu’il entend qu’on toque à la porte d’entrée de sa maison. de cette demeure qui se fera bientôt secondaire lorsqu’il aura emménagé officiellement chez son époux. venant ouvrir la porte, il pose un regard tendre sur le visage de son ami avant de se pousser pour le laisser entrer. “
- Rhys Keller
- Pseudo : cheryl
Date d'inscription : 27/02/2024
Date de naissance : 21/06/2000
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RPs : 30
Âge : t'es âgé de vingt-quatre ans rhys, un peu un âge perdu entre deux mood : celui de l'adolescence encore récente et de l'âge adulte qui se fait ressentir.
Côté coeur : les événements se sont peut-être déroulées de façon précipité, imprévues aussi, mais tu as pourtant la bague au doigt depuis le vingt-cinq août deux mille vingt-quatre, te retrouvant alors marié à celui qui affole ton cœur depuis votre premier baiser : swann
Job : ayant eu la chance de pouvoir rejoindre le groupe de tes rêves, tu es devenu.e le second guitariste pour le groupe Satan's Crucifix
Adresse : N°46 à Magnolia
Famille : parents divorcés, beau-père violent, sœur par alliance, grande-sœur inexistante.
Trigger warning : violences domestiques, maltraitance, tentative de suicide, divorce
Bonus :
(1/6 disponibles mais c'est négociable !)
rp en cours :
- klaus
- chad
- amadeus
- swann
- sage
rp prévus :
- peut-être toi ?
- Chaos is a friend of mine
Re: 01. cinema night
✻✻✻
(( CINEMA NIGHT ))
w/ ›› @Rhys Keller
bordel de merde.
pourquoi t'as fais ça, Sage ?
tu te le demandes encore une fois, journée mouvementée, t’as faibli comme un idiot dans les bras de celui dont tu t’étais promis de ne plus voir, à ces lèvres entrechoquées, langues qui valsent. là-bas, à l’aquarium où vous avez dérapés langoureusement. et même si tu ressens énormément de bien après ça, tu ne peux t’empêcher d’avoir le mauvais pressentiment que tu as fais une grosse erreur. avec toute les erreurs que tu as fais dans ta vie, tu ne sembles pas retenir la leçon. non. tu continues à t’enfoncer, à détruire tout ce qui se trouve dans ton passage. âme destructive, t’es un être que l’on devrait éviter à tout prix. et tu te hais, Sage, tu ne portes pas d’amour pour toi-même. est-ce là, la raison de tes problèmes – tu cherches à être aimé d’autrui avant d’aimer ta propre personne, c’est insensé de commencer par la fin du tunnel.
c’est idiot,
tu n’aurais pas dû.
mais ses lèvres, aussi douces soit-elles, t’ont manquées. t’as longtemps fais semblant de ne pas être touché par votre séparation, mais pendant combien de jours as-tu pleuré ? tu n’as même pas encore supprimé les photos que vous avez prises ensemble de ton téléphone, elles se retrouvent au tréfond de ta galerie et ça te prenait de les regarder en chialant toute les larmes de ton corps. c’est en marchant dans la direction du rendez-vous avec ton pote, Rhys, que t’observes les clichés que tu as pris à l’aquarium – dont une, où Loan apparaît. ça te fait sourire sur le coup, favorise cette dernière avant d’éteindre l’écran lorsque tu arrives au pallier. et tu toques, à cinq fois, habitude qui signale ta présence – Rhys saura te reconnaître, tu le penses ou plutôt, tu l’espères après tout ce temps. tes néants se posent sur le bleu de son ciel et tu souris, parce que ça te fait du bien de le revoir après des semaines sans pouvoir admirer ses beaux bourgeons. t’entres, frotte tes chaussures un peu salies par la longue journée sur le paillasson avant de venir accueillir le bouclé dans tes bras. le rictus s’agrandit à l’enlace avant de le laisser échapper ton emprise.
tu retires tes chaussures et ta veste,
le regard qui suit les mouvements de ton meilleur copain.
– ça va… meilleure journée que les précédentes, en tout cas. le sourire suit les paroles, s’esquisse sagement sur la toile. tu penses spécialement à ces retrouvailles charnelles. des biscuits français, hein ? j’espère qu’ils sont meilleurs et moins chers que ces foutus escargots dégueulasses que j’ai voulu tester lors d’un brin de folie.
tu l’exprime avec sérieux dégoût, celui qui se dessine facilement sur ton visage alors que tu repenses à cette odeur… horrifique. tu déposes ton blouson sur le crochet, te retournant ensuite pour t’avancer dans la grande maison ; les odeurs se mélangent, à ton corps qui émane un arôme floral, parfum qui te ruine à chaque fois que t’en rachètes.
quelle idée d’acheter du Gucci.
– sincèrement, pour le moment j’vais juste te demander une bière. on va commencer soft. t’arrives dans la cuisine, où tu viens déposer tes coudes sur le comptoir et ta tête contre tes poings. dis-moi… t’as l’air sacrément heureux là… tu te redresses, pour simuler un air surpris. hé… c’est par rapport à ce mariage à l’improviste, hein ?
tu le taquines, parce que dans le fond t’es heureux pour lui. même si tu sais que pour certains, cette soudaine nouvelle pourrait paraître totalement insensé… mais pour toi, Sage, c’est preuve que certains amours n’attendent pas.
pourquoi t'as fais ça, Sage ?
tu te le demandes encore une fois, journée mouvementée, t’as faibli comme un idiot dans les bras de celui dont tu t’étais promis de ne plus voir, à ces lèvres entrechoquées, langues qui valsent. là-bas, à l’aquarium où vous avez dérapés langoureusement. et même si tu ressens énormément de bien après ça, tu ne peux t’empêcher d’avoir le mauvais pressentiment que tu as fais une grosse erreur. avec toute les erreurs que tu as fais dans ta vie, tu ne sembles pas retenir la leçon. non. tu continues à t’enfoncer, à détruire tout ce qui se trouve dans ton passage. âme destructive, t’es un être que l’on devrait éviter à tout prix. et tu te hais, Sage, tu ne portes pas d’amour pour toi-même. est-ce là, la raison de tes problèmes – tu cherches à être aimé d’autrui avant d’aimer ta propre personne, c’est insensé de commencer par la fin du tunnel.
c’est idiot,
tu n’aurais pas dû.
mais ses lèvres, aussi douces soit-elles, t’ont manquées. t’as longtemps fais semblant de ne pas être touché par votre séparation, mais pendant combien de jours as-tu pleuré ? tu n’as même pas encore supprimé les photos que vous avez prises ensemble de ton téléphone, elles se retrouvent au tréfond de ta galerie et ça te prenait de les regarder en chialant toute les larmes de ton corps. c’est en marchant dans la direction du rendez-vous avec ton pote, Rhys, que t’observes les clichés que tu as pris à l’aquarium – dont une, où Loan apparaît. ça te fait sourire sur le coup, favorise cette dernière avant d’éteindre l’écran lorsque tu arrives au pallier. et tu toques, à cinq fois, habitude qui signale ta présence – Rhys saura te reconnaître, tu le penses ou plutôt, tu l’espères après tout ce temps. tes néants se posent sur le bleu de son ciel et tu souris, parce que ça te fait du bien de le revoir après des semaines sans pouvoir admirer ses beaux bourgeons. t’entres, frotte tes chaussures un peu salies par la longue journée sur le paillasson avant de venir accueillir le bouclé dans tes bras. le rictus s’agrandit à l’enlace avant de le laisser échapper ton emprise.
tu retires tes chaussures et ta veste,
le regard qui suit les mouvements de ton meilleur copain.
– ça va… meilleure journée que les précédentes, en tout cas. le sourire suit les paroles, s’esquisse sagement sur la toile. tu penses spécialement à ces retrouvailles charnelles. des biscuits français, hein ? j’espère qu’ils sont meilleurs et moins chers que ces foutus escargots dégueulasses que j’ai voulu tester lors d’un brin de folie.
tu l’exprime avec sérieux dégoût, celui qui se dessine facilement sur ton visage alors que tu repenses à cette odeur… horrifique. tu déposes ton blouson sur le crochet, te retournant ensuite pour t’avancer dans la grande maison ; les odeurs se mélangent, à ton corps qui émane un arôme floral, parfum qui te ruine à chaque fois que t’en rachètes.
quelle idée d’acheter du Gucci.
– sincèrement, pour le moment j’vais juste te demander une bière. on va commencer soft. t’arrives dans la cuisine, où tu viens déposer tes coudes sur le comptoir et ta tête contre tes poings. dis-moi… t’as l’air sacrément heureux là… tu te redresses, pour simuler un air surpris. hé… c’est par rapport à ce mariage à l’improviste, hein ?
tu le taquines, parce que dans le fond t’es heureux pour lui. même si tu sais que pour certains, cette soudaine nouvelle pourrait paraître totalement insensé… mais pour toi, Sage, c’est preuve que certains amours n’attendent pas.
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Âge : les numéros défilent, un à un, chaque anniversaires ont une allure monotone. les vingt-cinq ans sur les traits de son visage et pourtant, jamais l'enfant aurait imaginé atteindre un tel âge.
Côté coeur : i love you bad, that's the problem occurrin' — les retrouvailles avec Loan qui le déstabilisent, il y a le myocarde qui bat encore pour lui. et pourtant, ses néants se tournent vers Charlie qui le tourmente et ça lui fait mal. il a peur d'être encore trop naïf, mais c'est trop tard. il est trop attaché pour s'éloigner de lui - dans un fin espoir qu'une histoire puisse éclore entre eux.
Job : il travaille au McDonald's à Queen Anne, parce que sentir la friture est une passion incomprise.
Adresse : un vieux studio qui requiert des réparations au n°44 à Belltown. si on ignore tout ça, il y fait bon vivre…
Famille : il est l'enfant d'une femme qui a tout perdu avec sa passion pour la drogue et d'un père qui a fini en taule parce qu'il aimait jouer avec la vie des gens. enfant unique ou plutôt, il le pensait. le père l'a caché, ce demi-frère. Chad, c'est son prénom. c'est en fouillant les papiers du paternel qu'il a découvert tout ça, un soir de dispute. sa mère ne voulait pas le croire, malgré que ce soit écrit noir sur blanc, à croire qu'elle voulait se persuader elle-même que le daron était un bon gars. délusion, délusion.
Trigger warning : me; drogues, relation à trop grand écart d'âge (+ de 10 ans.), quelconques agressions (décrites.) lgbtophobie, sexe explicite, inceste et violence sur animaux/enfants.
sage; consommation d'alcool, tabagisme, sexualité, pensées noires, mention possible d'une agression, blessure, accident & bipolarité non diagnostiquée.
Bonus :
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