Speak the truth, even if your voice shakes (Charlie)
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Speak the truth, even if your voice shakes (Charlie)
Il était tard, peut être avant minuit, mais Clyde n'avait pas jeté de coup d'oeil à sa montre depuis un bon moment déjà. Pour sa dernière enquête, il avait besoin de se rendre au domicile d'une personne afin d'y trouver des indices importants et pour cela, il fallait se faire discret. Ce qu'il s'apprêtait à faire n'était clairement pas la meilleure option, mais c'était la plus simple. Il l'avait fait plus d'une fois, comme dans les films ou les séries policières. La petite souris qui se faufilait sans être vue ni connue. Et il aimait ça, Clyde, vraiment. Il avait l'impression de vivre une aventure à chaque fois, et d'apprendre toujours plus.
Après s'être assuré que la voie était libre, Clyde s'approcha de l'immeuble sur la pointe des pieds. Il utilisa l'escalier de secours pour grimper et habile de ses doigts, il parvint à ouvrir la fenêtre de l'appartement qu'il était venu fouiller. A l'intérieur, personne. Tout était noir, avec un faible éclairage de l'extérieur. Il actionna alors sa lampe de poche qu'il avait amenée spécialement à l'occasion et commença à entreprendre ses recherches en se faisant le plus discret possible. Pas question d'attirer l'attention de quiconque et encore moins des personnes malveillantes qui pourraient être également intéressées par ce qu'il recherchait. En tout cas, l'appartement était clean mis à part un peu de bazar par ci par là, rien de plus normal chez des gens en général... En tout cas, des bordéliques. Il inspecta la grande armoire près de l'entrée, chercha dans les coussins du canapé, dans les tiroirs, jusqu'à ce que son attention se pose sur un grand tableau en face de lui. Il devait trouver des documents compromettant, à la toute base, et en s'avançant un peu trop brusquement, il fit tomber la bibliothèque qui se trouvait sur son passage qui elle même fit tomber l'étagère qui se trouvait à côté, tout cela sous un grand vacarme.
"Merde merde merde!" commença t-il ainsi à paniquer en se mettant à tourner sur lui même en panique pour chercher un abri où se planquer alors qu'il savait qu'il n'y avait personne. Soudainement, il se figea comme pour s'assurer que le vacarme causé n'avait rien déclenché et alors qu'il remontait le meuble écroulé sur le sol en se demandant comment il allait faire pour réparer ça, il entendit quelqu'un frapper à la porte d'entrée. Aussitôt, il se cacha derrière la grande commode où se trouvait le tableau qui l'intéressait. Partez, partez, partez... se répéta t-il à plusieurs reprise, tel une prière qu'il adressait.
Après s'être assuré que la voie était libre, Clyde s'approcha de l'immeuble sur la pointe des pieds. Il utilisa l'escalier de secours pour grimper et habile de ses doigts, il parvint à ouvrir la fenêtre de l'appartement qu'il était venu fouiller. A l'intérieur, personne. Tout était noir, avec un faible éclairage de l'extérieur. Il actionna alors sa lampe de poche qu'il avait amenée spécialement à l'occasion et commença à entreprendre ses recherches en se faisant le plus discret possible. Pas question d'attirer l'attention de quiconque et encore moins des personnes malveillantes qui pourraient être également intéressées par ce qu'il recherchait. En tout cas, l'appartement était clean mis à part un peu de bazar par ci par là, rien de plus normal chez des gens en général... En tout cas, des bordéliques. Il inspecta la grande armoire près de l'entrée, chercha dans les coussins du canapé, dans les tiroirs, jusqu'à ce que son attention se pose sur un grand tableau en face de lui. Il devait trouver des documents compromettant, à la toute base, et en s'avançant un peu trop brusquement, il fit tomber la bibliothèque qui se trouvait sur son passage qui elle même fit tomber l'étagère qui se trouvait à côté, tout cela sous un grand vacarme.
"Merde merde merde!" commença t-il ainsi à paniquer en se mettant à tourner sur lui même en panique pour chercher un abri où se planquer alors qu'il savait qu'il n'y avait personne. Soudainement, il se figea comme pour s'assurer que le vacarme causé n'avait rien déclenché et alors qu'il remontait le meuble écroulé sur le sol en se demandant comment il allait faire pour réparer ça, il entendit quelqu'un frapper à la porte d'entrée. Aussitôt, il se cacha derrière la grande commode où se trouvait le tableau qui l'intéressait. Partez, partez, partez... se répéta t-il à plusieurs reprise, tel une prière qu'il adressait.
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Arm yourself because no one else here will save you the odds will betray you and I will replace you You can't deny the prize it may never fulfill you, it longs to kill you, are you willing to die?, the coldest blood runs through my veins you know my name
- Clyde O'Neill
- Pseudo : null.moon
Date d'inscription : 29/05/2024
Date de naissance : 28/10/1992
Faceclaim : jack lowden
Crédit : nuit d'orage (avatar)
Multicomptes : Roxanne & Sigmund
Messages : 2575
RPs : 18
Âge : trente et un an à son compte, une vague nuance de son existence, c'est à peine s'il se souvient de sa date d'anniversaire. (28/10)
Côté coeur : Rien à déclarer, Clyde a l'esprit ailleurs, l'amour est loin d'être une priorité et si ça doit venir un jour, cela viendra.
Job : Il est détective privé spécialisé dans les enlèvements, meurtres, agressions en tout genre mais il ne rechigne pas pour des petites affaires moins importantes lorsqu'il juge cela nécessaire ou qu'elle peut aboutir à bien plus grand qu'elle ne laisse imaginer.
Adresse : Dans un appartement à Belltown, au n°74.
Famille : Il reste en contact avec sa grand mère, restée en Ecosse, seule famille qui lui reste. Il n'a pas du tout de contact avec les autres membres, ne cherche pas à en avoir pas plus qu'eux ne cherche à en avoir avec lui.
Trigger warning : triggers: On pourra en discuter entre nous si besoin (=
warnings : Clyde ne devrait pas en avoir, mais si besoin est, n'hésitez pas à venir me le communiquer.
Bonus :
- Happily ever after
Re: Speak the truth, even if your voice shakes (Charlie)
Speak the truth, even if your voice shakes
feat. @Clyde O'Neill
tw : juron.
tu en connais du monde, charlie, surtout lorsqu'il s'agit d'aller traîner le soir chez tes amis. entourage étendu, tu as de nombreuses connexions, et même quand tu sais que tu dois te coucher tôt, tu en profites pour sortir avec tes connaissances, tes potes. comme ce soir-là, où tu avais un rendez-vous amical avec quelqu'un de ton quartier, immeuble que tu commences à connaître, maintenant. électron libre, tu es volatil, tu te disperses un peu trop, comportement qui reflète bien ton état d'esprit.
quelques bières que vous avez bu, sorte d'apéro, où tu n'étais pas censé rester trop tard. mais tu as été pris dans vos discussions, sans queue ni tête, que tu as animé avec joie. au final, tu as perdu la notion du temps, impression des secondes qui ont défilé plus vite que d'habitude. vous n'étiez déjà plus très nombreux, lorsque les douze coups de minuit ont retenti, et tu as su qu'il était le moment de partir lorsque tu as étrangement senti tes paupières un peu trop lourdes.
tes affaires que tu as rassemblées, veste légère sur le dos pour faire face aux températures qui deviennent de plus en plus automnales, en plus de la fine pluie qui s'est abattue tout au long de la journée. tu t'es dirigé dans le couloir de l'immeuble en direction de l'ascenseur, lorsque tu t'es arrêté à la recherche d'une cigarette, dans tes poches. c'est là que tu l'as entendu, ce bruit sourd qui t'a fait sursauté, dans le calme de la nuit. faible lumière qui t'éclaire, il n'y a que la signalétique d'urgence qui s'illumine, dans la pénombre de l'immeuble. tu n'as pas pensé à appuyer sur l'interrupteur, puisque de toute façon, tu ne faisais que passer rapidement.
coup d'œil intrigué, tu remarques que le son qui t'a fait peur ne se trouve pas loin de toi. porte entrouverte à tes côtés, il n'y a pas non plus de lumière à l'intérieur. instinctivement, tu sors ton smartphone de ta poche, au cas où tu aurais besoin d'appeler des secours. doucement, tu t'approches, charlie, tu ne sais pas de quoi tu te mêles, mais tu le fais quand-même. trois petits coups sur la porte, ça ne te coûte rien de vérifier s'il n'y a personn en danger, et tu penses surtout à un cambrioleur infiltré.
- y'a quelqu'un ?
appel lancé comme une bouteille à la mer, tu n'entends plus aucun son provenant de l'appartement plongé dans le noir. pourtant, tes pieds te guident sans que tu ne le veuilles vraiment, et tu pousses la porte un peu plus grand. de là où tu es, tu distingues un long corridor qui donne sur une plus grand pièce. et de là, un meuble qui semble renversé... ainsi que la lumière cachée d'une lampe torche.
coincé, que tu penses en même temps que tu t'avances. tu ne te poses pas la question de ta propre sécurité, agissant impulsivement comme à ton habitude. smartphone à la main, prêt à taper le numéro d'urgence de la police, tu continues de t'enfoncer dans l'appartement bordélique.
- je vais appeler la police.
tu préviens, tout de même, voix qui s'élève dans le silence, sans savoir si ça sera nécessaire à effrayer l'intru. tu t'arrêtes quelques secondes, pour activer la fonctionnalité lampe torche de ton mobile, pour y voir plus clair. grande pièce sens dessus-dessous, étagères complètement renversées, tu comprends que c'est le bruit sourd que tu as entendu depuis le couloir. pourtant, tu ne vois plus personne, la lumière que tu as aperçue maintenant disparue. un peu déçu, de trouver l'appartement vide. tu fais volteface, pour t'en retourner de là où tu es venu, lorsque tu le vois enfin, silhouette noire et élancée dans la pénombre.
- put..!
grand sursaut, charlie, tu ne t'attendais pas à finalement trouver quelqu'un ici. tu retiens pourtant ton juron, voix qui se perd dans l'espace, alors que tu lâches ton portable par instinct, trop surpris, le cœur tambourinant dans ta poitrine.
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“you wish to be a poet; you wish to be a lover. but the splendid clarity of your intelligence, and the remorseless honestly of your intellect bring you to a halt.”
the waves
sagelie forever
rare mais ridicule
- Charlie Collins
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Date de naissance : 21/04/2001
Faceclaim : Landon Barker
Crédit : (av)nao + (gif)pinterest
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RPs : 77
Âge : 23 printemps maintenant fêtés, 21 avril 2001
Côté coeur : pas de chance de ce côté là, relations qui ne durent pas, tu as pourtant le cœur et la tête occupés à penser à Sage
Job : simple vendeur, tu passes ton temps libre à travailler au h&m de la ville, passion pour la mode qui te poursuit, avec tes études dans ce même domaine.
Adresse : 07, fremont. toujours chez ton père et ta belle-mère, tu espères pouvoir leur soutirer un peu d'argent pour te prendre un studio pas loin de ton boulot.
Famille : parents divorcés, tu as décidé d'habiter avec ton père, ta sœur et ta belle-mère. ce n'est que maintenant que tu as découvert que tu avais une demi-sœur, cissy, fruit d'une relation adultérine entre ton père et une mystérieuse femme.
Trigger warning : trigger : à discuter ; warning : divorce, tromperie, adhd, drogues, alcool, relation toxique
- silent waves, loud thoughts
Re: Speak the truth, even if your voice shakes (Charlie)
Clyde était un détective doué dans bien des domaines mais parfaitement nul dans beaucoup d'autres... Et savoir se cacher en faisait parti. En même temps, vu sa position, il aurait difficilement fait mieux. Il aurait pourtant du prévoir un plan B, au cas où les propriétaires de l'appartement seraient amenés à revenir soudainement et de façon imprévisible... Pourtant, la personne qui était entrée là n'en faisait pas parti. D'ailleurs, Clyde ne l'avait même jamais vue. Il tenta au mieux de se faire tout petit, recroquevillé comme un nourrisson dans le ventre de sa mère dans un creux près du mur... Pour finalement se faire surprendre.
La réaction du jeune homme -car à premier vu d'oeil, c'en était un- ne se fit pas attendre. En peu de temps, Clyde aura fait l'exploit d'effrayer au moins deux personnes en l'espace de quelques jours. Mais dans l'histoire et avant toute chose, c'était lui qui était certainement le plus effrayé. Il ne connaissait pas cet inconnu et Clyde n'était pas connu pour faire preuve de bravoure à tout épreuve. Il savait au fond, que sa fin n'était pas proche, il l'aurait senti autrement, mais il y avait des choses pire que la Mort qu'il était susceptible de traverser malgré tout. La torture par exemple, des sévices redoutable qui laissaient des cicatrices à vie...
Le téléphone, qui faisait office de lampe torche à cette jeune personne, était tombé à terre et Clyde releva la tête. Il regardait avec intérêt la porte de sortie encore ouverte et sortit de sa cachette pour pouvoir s'y faufiler et courir à toute vitesse. Il commença à le faire d'ailleurs, mais il tomba sur une des carpettes au sol, exactement comme dans les films Hollywoodiens comiques ou dans les dessins animé tel Tom et Jerry. "Bordel de..."
Il sentit un légère blessure à la jambe qui s'était révélée suite à sa chute et il craignait de s'être foulé la cheville. Au fond, il savait qu'il faisait mauvaise impression, mais si les services de police étaient amenés à se présenter, il savait qu'il ne serait pas inquiété. Non, ce qu'il redoutait le plus à cet instant, c'était l'autre personne. Même si à priori, cet inconnu ne semblait pas des plus menaçants.
La réaction du jeune homme -car à premier vu d'oeil, c'en était un- ne se fit pas attendre. En peu de temps, Clyde aura fait l'exploit d'effrayer au moins deux personnes en l'espace de quelques jours. Mais dans l'histoire et avant toute chose, c'était lui qui était certainement le plus effrayé. Il ne connaissait pas cet inconnu et Clyde n'était pas connu pour faire preuve de bravoure à tout épreuve. Il savait au fond, que sa fin n'était pas proche, il l'aurait senti autrement, mais il y avait des choses pire que la Mort qu'il était susceptible de traverser malgré tout. La torture par exemple, des sévices redoutable qui laissaient des cicatrices à vie...
Le téléphone, qui faisait office de lampe torche à cette jeune personne, était tombé à terre et Clyde releva la tête. Il regardait avec intérêt la porte de sortie encore ouverte et sortit de sa cachette pour pouvoir s'y faufiler et courir à toute vitesse. Il commença à le faire d'ailleurs, mais il tomba sur une des carpettes au sol, exactement comme dans les films Hollywoodiens comiques ou dans les dessins animé tel Tom et Jerry. "Bordel de..."
Il sentit un légère blessure à la jambe qui s'était révélée suite à sa chute et il craignait de s'être foulé la cheville. Au fond, il savait qu'il faisait mauvaise impression, mais si les services de police étaient amenés à se présenter, il savait qu'il ne serait pas inquiété. Non, ce qu'il redoutait le plus à cet instant, c'était l'autre personne. Même si à priori, cet inconnu ne semblait pas des plus menaçants.
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Côté coeur : Rien à déclarer, Clyde a l'esprit ailleurs, l'amour est loin d'être une priorité et si ça doit venir un jour, cela viendra.
Job : Il est détective privé spécialisé dans les enlèvements, meurtres, agressions en tout genre mais il ne rechigne pas pour des petites affaires moins importantes lorsqu'il juge cela nécessaire ou qu'elle peut aboutir à bien plus grand qu'elle ne laisse imaginer.
Adresse : Dans un appartement à Belltown, au n°74.
Famille : Il reste en contact avec sa grand mère, restée en Ecosse, seule famille qui lui reste. Il n'a pas du tout de contact avec les autres membres, ne cherche pas à en avoir pas plus qu'eux ne cherche à en avoir avec lui.
Trigger warning : triggers: On pourra en discuter entre nous si besoin (=
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Re: Speak the truth, even if your voice shakes (Charlie)
Speak the truth, even if your voice shakes
feat. @Clyde O'Neill
tw : aucun.
menace qui s'envole dans les airs. tu n'es qu'à demi sérieux lorsque tu le dis, dans cet appartement que tu espères vide de cambrioleurs. tu ne te fais pas trop d'illusion, vu l'état de la pièce dans laquelle tu te trouves, pourtant. tout est sens dessus dessous, preuve que quelqu'un est venu illégalement mettre la pagaille. ta lampe torche éclaire devant toi, pas suffisamment pour voir correctement, mais tu continues de t'avancer, esquivant les feuilles volantes, maintenant au sol.
évidemment, que tu as peur, surtout lorsque tu te retournes pour t'en aller et que tu aperçois dans un coin une silhouette recroquevillée, mise en évidence par la faible lumière que produit ton smartphone. sursaut qui te fait tout lâcher, juron à moitié prononcé et cœur qui se met à battre à toute allure, l'homme – semble-t-il – se relève brusquement. tu n'as pas vraiment le temps de réfléchir, âme de justicier de pacotille qui se réveille, et tu tentes dans un premier temps de récupérer ton portable au sol, que tu localises facilement grâce à la lumière qu'il émane.
les évènements s'enchaînent plus vite que tu n'arrives à penser. téléphone maintenant en main, tu t'élances vers la silhouette qui prend la fuite. pénombre environnante, il n'a pourtant pas le temps d'aller très loin, puisqu'il chute pour une raison qui t'est inconnue. toi, charlie, tu profites de cette faute d'inattention pour te jeter sur l'étrange homme au sol, de façon à le maîtriser. tu ne sais pas si ça sera suffisant pour l'arrêter, poids plume qu'il n'est pas difficile à repousser.
- ah ! je t'ai eu !!
exclamation évidente, tout en essayant de le garder au sol, tu essaies d'éclairer son visage découvert. les voleurs ne sont-ils pas cagoulés, en général ? tu ne sais pas qu'il y a erreur sur la personne.
- oh crois-moi, tu vas pas aller plus loin. je vais appeler les flics.
quelle bravoure ! quel courage ! il en faudrait pourtant peu pour qu'il se dégage et te sème. tu essaies de te convaincre que l'homme ne se sauvera pas avant l'arrivée de la police, incompétence de ces derniers que tu ignores. tu relâches un peu ta prise, essayant de trouver la stabilité nécessaire pour taper le numéro sur ton clavier numérique. d'une main, ce n'est pas évident, et ton attention se reporte sur tes mouvements, plus que sur l'homme toujours en dessous de toi.
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Côté coeur : pas de chance de ce côté là, relations qui ne durent pas, tu as pourtant le cœur et la tête occupés à penser à Sage
Job : simple vendeur, tu passes ton temps libre à travailler au h&m de la ville, passion pour la mode qui te poursuit, avec tes études dans ce même domaine.
Adresse : 07, fremont. toujours chez ton père et ta belle-mère, tu espères pouvoir leur soutirer un peu d'argent pour te prendre un studio pas loin de ton boulot.
Famille : parents divorcés, tu as décidé d'habiter avec ton père, ta sœur et ta belle-mère. ce n'est que maintenant que tu as découvert que tu avais une demi-sœur, cissy, fruit d'une relation adultérine entre ton père et une mystérieuse femme.
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Re: Speak the truth, even if your voice shakes (Charlie)
Qu'avait-il bien pu faire pour en arriver là, le pauvre Clyde? Son combat acharné contre l'étagère ne l'avait pas réussi et à présent, le voilà à vouloir fuir ce sombre personnage inconnu provenant de la cavité lumineuse exercée par le couloir de l'immeuble par la grande porte colorée d'entrée. Ses tristes yeux n'y voyaient qu'à peine, ses sens n'étaient pas des plus nobles dans cette sombre obscurité diabolique. Sa maladresse légendaire l'avait trahie, il était tombé et son adversaire en avait profité pour le tenir comme un lapin. Là, couché sur le sol inerte, Clyde levait les bras comme un minable voleur pris sur le fait. C'était certainement ce que devait penser cet individu dont la carrure était moins imposante que la sienne. Il sentait à peine son poids sur sa personne et pourtant, Clyde se résignait à bouger plus que cela. Il affichait une expression apeurée mais pas affolée. A vrai dire, ce malheureux détective se retrouvait épuisé. Epuisé de vouloir fuir il ne savait qui. Quelqu'un qui ne semblait pas représenter une menace pour lui, en tout cas. Quelqu'un qui, de toute évidence, devait le confondre avec un affreux personnage.
- Fait juste, je dois le reconnaître. Me voilà bel et bien piégé par vous...!
L'individu poursuivit en le menaçant d'appeler la police, réaction typique mais inévitable suite à cet affrontement dont il sortait victorieux. L'espace d'un instant, Clyde se mit à songer. Que se passerait-il s'il voyait la tribut du commissariat se ramener pour pouvoir l'emmener? Encore faudrait il qu'ils soient assez rapide. La dernière fois, ils ont mis plus de quarante minutes avant d'intervenir, ce qui était assez ironique en soi.
- Oh, mais faites donc jeune homme. Dites lui que vous avez là un certain Clyde O'Neill entre vos mains, ils comprendront.
Il guetta sa réaction dans un calme des plus serein. L'Ecossais, dont le fort accent ne le quittait décidément pas chaque fois que sa voix se faisait entendre, se mit à pianoter ses doigts sur le sol sur lequel jonchait encore les livres renversés. Il n'avait plus peur, Clyde, mais l'envie de partir le tenaillait encore. "Si vous pouviez faire vite, j'ai à faire et la police est d'une lenteur à faire mourir les escargots" avait-il ainsi renchérit d'un ton poli, d'une expression qu'il venait tout juste d'inventer, avant d'échapper là un soupir las.
- Fait juste, je dois le reconnaître. Me voilà bel et bien piégé par vous...!
L'individu poursuivit en le menaçant d'appeler la police, réaction typique mais inévitable suite à cet affrontement dont il sortait victorieux. L'espace d'un instant, Clyde se mit à songer. Que se passerait-il s'il voyait la tribut du commissariat se ramener pour pouvoir l'emmener? Encore faudrait il qu'ils soient assez rapide. La dernière fois, ils ont mis plus de quarante minutes avant d'intervenir, ce qui était assez ironique en soi.
- Oh, mais faites donc jeune homme. Dites lui que vous avez là un certain Clyde O'Neill entre vos mains, ils comprendront.
Il guetta sa réaction dans un calme des plus serein. L'Ecossais, dont le fort accent ne le quittait décidément pas chaque fois que sa voix se faisait entendre, se mit à pianoter ses doigts sur le sol sur lequel jonchait encore les livres renversés. Il n'avait plus peur, Clyde, mais l'envie de partir le tenaillait encore. "Si vous pouviez faire vite, j'ai à faire et la police est d'une lenteur à faire mourir les escargots" avait-il ainsi renchérit d'un ton poli, d'une expression qu'il venait tout juste d'inventer, avant d'échapper là un soupir las.
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ah, tu tiens enfin le mécréant, charlie. le seattle police department devrait te donner une médaille, à ce niveau-là. si tu es heureux de voir que le malfaiteur se laisse faire, tu n'en arrives pas pour autant à taper le numéro du spd d'une seule main. tu râles un peu, de devoir relâcher ta prise, mais ta position reste néanmoins dissuasive. tu es presque assis sur le voleur, lorsque tu parviens à taper sur ton clavier numérique, et à lancer l'appel.
- clyde o'neill ? c'est quel genre de nom, ça ?
ne te déconcentre pas, charlie. tu as une mission, et de la plus grande envergure, en plus. maintenant que tu as réussi à appeler, tu mets le haut-parleur afin de retrouver tes mains libres, pour continuer à le maintenir au sol. ta posture commence à te faire mal aux genoux, mais tu n'en démords pas, pas pour l'instant en tout cas. tu es loin de te douter de la lenteur des services de police, surtout à une heure aussi tardive. dans ta tête, tout est censé aller très vite, et tu déchantes un peu lorsque tu tombes sur une première boîte vocale.
- bonjour au seattle police department. afin de témoigner de la qualité des services proposés, cet appel est susceptible d'être enregistré.
un soupir quitte tes lèvres alors que tes yeux roulent vers le plafond. tu n'as jamais appelé la police de ta vie, et tu te questionnes vraiment sur tes décisions. et si l'homme avait raison, lorsqu'il disait que la police était lente ? tu chasses sa réflexion de ton esprit, et tu te concentres sur la boîte vocale.
- si vous souhaitez avoir des renseignements sur une plainte en cours, tapez 1. si vous souhaitez parler à un officier afin de déposer une plainte, tapez 2. si vous souhaitez signaler un crime, tapez 3.
vite, tu t'empresses d'appuyer sur le bon numéro. ton doigt dérape un peu, et tu retiens ton souffle quelques secondes, mais tu as réussi à appuyer sur la bonne touche. après un ne quittez pas sonore, une musique d'ambiance au son saturé commence à sortir de ton téléphone. tu commences à désespérer un petit peu.
- c'est de la merde. c'est toujours comme ça ?
tu poses la question à l'homme, et tu te permets même de desserrer ta prise sur lui, loin d'être installé confortablement. les secondes s'écoulent lentement, trop lentement pour toi. le fond sonore est insupportable, alors quand enfin elle s'arrête, tu penses que c'est pour laisser place à ton interlocuteur de la police. le cœur battant, tu te prépares à sortir ton meilleur discours, à te lancer des fleurs parce que tu es trop fort, tu as réussi à choper un cambrioleur. mais c'était sans compter que personne n'est à l'autre bout du fil, et que l'appel raccroche automatiquement.
- c'est une blague ?
tu regardes l'écran d'un air hébété. tu comprends bien trop vite que la police t'a juste laissé tomber, avec un méchant dans les pattes. tu hésites, longuement, avant de te dire que, même si la police s'en fout, pourquoi tu les aiderais ? douloureusement, tu te relèves. ton acte héroïque n'aura finalement rien d'héroïque, tu le crains bien. une fois sur tes deux jambes, tu tends ta main à l'homme étrange que tu écrasais jusqu'alors.
- j'imagine que si je te demande de me suivre jusqu'au commissariat, tu vas pas venir ?
tu poses la question, dans le doute, même si tu n'as pas trop d'espoir. tu as épuisé toutes tes solutions, et la seule qu'il te reste, c'est de repartir la queue entre les jambes.
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- silent waves, loud thoughts
Re: Speak the truth, even if your voice shakes (Charlie)
Clyde avait pris la décision de ne pas bouger. Il pourrait pourtant sans nul peine prendre la poudre d'escampette et fuir de là une bonne fois pour toute. Néanmoins, il n'en fit rien. Allongé sur le sol, parmi les livres et sous le genoux de son adversaire, il n'avait pas la volonté physique ni morale de juste se redresser et de trainer sa carcasse jusqu'à l'extérieur et rentrer chez lui. En plus, il n'avait même pas obtenu ce qu'il était venu chercher ici, ce qui aurait valu un échec monumental de A à Z. Il observa ainsi l'individu chercher à joindre directement la police, et cela avait son sens, et l'entendre faire une remarque curieuse sur son nom. Clyde en fut sincèrement surpris. Bon, peut être qu'il avait à faire là à un novice, ou quelqu'un venant tout droit d'une grotte -et c'était une possibilité à ne pas écarter, il le savait que trop bien- mais ça avait toujours don de le surprendre les rares fois où ce fut arrivé. Non en vérité, c'était même la première fois.
- Britannique. Plus particulièrement Ecossais, dans mon cas de figure. Je viens de Glawgow si vous voulez tout savoir, une ville pas très loin de Edimbourg, cela vous parle t-il? Le temps ne change pas beaucoup d'ici je dois l'admettre, mais on y fais un très bon Whisky et nous sommes équipés d'une excellente équipe de Rugby. Vous aimez le rugby?
Il parlait d'une voix neutre et naturelle, quoiqu'un peu rapide, mais cela était son rythme de parole normale. Alala, ça faisait si longtemps qu'il avait pas eu l'occasion de parler un peu de lui! Mais Clyde avait cette habitude de parler assez rapidement mais avec une articulation parfaite, comme le lui avait souvent loué sa grand mère lorsqu'elle s'était chargée à son tour de faire son éducation. Il coupa court lorsqu'il entendit la voix automatique du répondeur de la police parler, avant de couper net. L'individu abandonna, lui demandant si cela était toujours ainsi. Toujours allongé, Clyde haussa les épaules.
- Si vous voulez un conseil, j'appellerais directement le 911 plutôt que le commissariat, ils ont tendance à être plus réactif là. Bon, vous risquez d'être un peu baladé, mais une voiture devrait être envoyée. Le temps d'arrivée dépend de la façon abracadantesque de votre récit. Je peux appeler directement si vous voulez et me livrer moi même, mais je doute qu'ils me prennent au sérieux. Ils ont l'habitude, avec moi.
Et lorsqu'Il lui demanda son opinion sur la suggestion de le suivre jusqu'au commissariat, Clyde se mit sincèrement à réfléchir à la chose.
"Je pourrais. Mais très honnêtement, cela risque d'être une sacré perte de temps pour vous. Ais-je autant l'air d'une menace que cela?"
Cette question le tarauda plus qu'elle ne le devrait. Il savait qu'il pouvait surprendre, très souvent surprendre même, mais l'idée même d'être un criminel le surprenait à chaque fois. C'était pourtant déjà arrivé, fallait dire qu'il n'était pas très discret par moment. Assez confiant pour assurer sa survie, mais il ne s'était encore jamais trouvé derrière les barreaux, malgré les efforts de certaines personnes pour cela.
- Britannique. Plus particulièrement Ecossais, dans mon cas de figure. Je viens de Glawgow si vous voulez tout savoir, une ville pas très loin de Edimbourg, cela vous parle t-il? Le temps ne change pas beaucoup d'ici je dois l'admettre, mais on y fais un très bon Whisky et nous sommes équipés d'une excellente équipe de Rugby. Vous aimez le rugby?
Il parlait d'une voix neutre et naturelle, quoiqu'un peu rapide, mais cela était son rythme de parole normale. Alala, ça faisait si longtemps qu'il avait pas eu l'occasion de parler un peu de lui! Mais Clyde avait cette habitude de parler assez rapidement mais avec une articulation parfaite, comme le lui avait souvent loué sa grand mère lorsqu'elle s'était chargée à son tour de faire son éducation. Il coupa court lorsqu'il entendit la voix automatique du répondeur de la police parler, avant de couper net. L'individu abandonna, lui demandant si cela était toujours ainsi. Toujours allongé, Clyde haussa les épaules.
- Si vous voulez un conseil, j'appellerais directement le 911 plutôt que le commissariat, ils ont tendance à être plus réactif là. Bon, vous risquez d'être un peu baladé, mais une voiture devrait être envoyée. Le temps d'arrivée dépend de la façon abracadantesque de votre récit. Je peux appeler directement si vous voulez et me livrer moi même, mais je doute qu'ils me prennent au sérieux. Ils ont l'habitude, avec moi.
Et lorsqu'Il lui demanda son opinion sur la suggestion de le suivre jusqu'au commissariat, Clyde se mit sincèrement à réfléchir à la chose.
"Je pourrais. Mais très honnêtement, cela risque d'être une sacré perte de temps pour vous. Ais-je autant l'air d'une menace que cela?"
Cette question le tarauda plus qu'elle ne le devrait. Il savait qu'il pouvait surprendre, très souvent surprendre même, mais l'idée même d'être un criminel le surprenait à chaque fois. C'était pourtant déjà arrivé, fallait dire qu'il n'était pas très discret par moment. Assez confiant pour assurer sa survie, mais il ne s'était encore jamais trouvé derrière les barreaux, malgré les efforts de certaines personnes pour cela.
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Arm yourself because no one else here will save you the odds will betray you and I will replace you You can't deny the prize it may never fulfill you, it longs to kill you, are you willing to die?, the coldest blood runs through my veins you know my name
- Clyde O'Neill
- Pseudo : null.moon
Date d'inscription : 29/05/2024
Date de naissance : 28/10/1992
Faceclaim : jack lowden
Crédit : nuit d'orage (avatar)
Multicomptes : Roxanne & Sigmund
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RPs : 18
Âge : trente et un an à son compte, une vague nuance de son existence, c'est à peine s'il se souvient de sa date d'anniversaire. (28/10)
Côté coeur : Rien à déclarer, Clyde a l'esprit ailleurs, l'amour est loin d'être une priorité et si ça doit venir un jour, cela viendra.
Job : Il est détective privé spécialisé dans les enlèvements, meurtres, agressions en tout genre mais il ne rechigne pas pour des petites affaires moins importantes lorsqu'il juge cela nécessaire ou qu'elle peut aboutir à bien plus grand qu'elle ne laisse imaginer.
Adresse : Dans un appartement à Belltown, au n°74.
Famille : Il reste en contact avec sa grand mère, restée en Ecosse, seule famille qui lui reste. Il n'a pas du tout de contact avec les autres membres, ne cherche pas à en avoir pas plus qu'eux ne cherche à en avoir avec lui.
Trigger warning : triggers: On pourra en discuter entre nous si besoin (=
warnings : Clyde ne devrait pas en avoir, mais si besoin est, n'hésitez pas à venir me le communiquer.
Bonus :
- Happily ever after
Re: Speak the truth, even if your voice shakes (Charlie)
Speak the truth, even if your voice shakes
feat. @Clyde O'Neill
tw : aucun.
question rhétorique à laquelle il te répond. tu comprends mieux d'où lui vient cet accent, que tu décèles à présent. mais toi, tu es trop occupé à taper le numéro du commissariat pour lui répondre, position douloureuse dans laquelle tu te trouves, que tu as hâte de changer. pourtant, ton appel se résulte par un échec cuisant, qui te fait soupirer lourdement. d'abord, une boîte vocale, puis un fond sonore grésillant, tout simplement insupportable.
tu perds espoir, plus les secondes passent, et ta prise sur ce fameux clyde se desserre. finalement, lorsque même la police te laisser livré à toi-même, tu mets quelques instants de plus avant de t'en rendre compte. finalement, au vu de leur réaction, tu n'as plus très envie de leur venir en aide. t'appuyant sur le corps allongé du voleur, tu te redresses difficilement, légères courbatures qui te font grimacer, à cause de votre position. tu hausses légèrement les sourcils face à sa réponse sans queue ni tête, et tu le regardes avec un drôle d'air.
- c'est pas grave. franchement, s'ils sont injoignables, c'est plus mon problème. on va dire que j'aurais essayé... je serais pas le batman de la ville, ce soir. et tu parles vraiment comme un anglais. on te l'a déjà dit ?
main toujours tendue vers lui, tu attends qu'il la prenne afin de l'aider à se relever. une fois fait, tu gardes sa main prisonnière dans la tienne, comme s'il allait s'enfuir en courant, maintenant qu'il s'est relevé.
- sans rancune, hein ? mais en fait, t'étais venu voler quoi, ici ? parce qu'on dirait que t'as pas trop réussi...
toujours en le maintenant, tu jettes un regard vers les étagères renversées, les nombreux ouvrages au sol. tu te sens légèrement gêné, à l'idée de repartir en laissant derrière vous un bordel pareil, mais après tout, ce n'est pas vraiment de ton ressort.
- tu vas juste partir, en laissant tout ça comme ça ? oh merde, y'a pas de caméras dans l'appart, au moins ?? j'ai pas envie qu'on pense que je bosse avec toi...
panique qui se lit sur ton visage. tu resserres ta prise sur sa main, en même temps que tu regardes les alentours, mais tu ne vois rien. la pénombre vous envahit, dans ce capharnaüm, simplement éclairé par la lumière du couloir. lumière du couloir, automatique, qui ne devrait pas tarder à s'éteindre d'ailleurs. et justement, c'est à ce moment-là que les ampoules cessent de briller, vous plongeant tous les deux dans une obscurité presque totale, si les lampadaire n'éclairait pas au travers des fenêtres.
- c'est super glauque...
et maintenant, ce n'est plus de panique ou de surprise que tu le tiens par la main, mais plutôt pour ta rassurer intérieurement. là, tous les deux seuls dans cet appartement inconnu, tu ressens une légère peur à l'idée de croiser quelqu'un d'autre sans le voir.
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Côté coeur : pas de chance de ce côté là, relations qui ne durent pas, tu as pourtant le cœur et la tête occupés à penser à Sage
Job : simple vendeur, tu passes ton temps libre à travailler au h&m de la ville, passion pour la mode qui te poursuit, avec tes études dans ce même domaine.
Adresse : 07, fremont. toujours chez ton père et ta belle-mère, tu espères pouvoir leur soutirer un peu d'argent pour te prendre un studio pas loin de ton boulot.
Famille : parents divorcés, tu as décidé d'habiter avec ton père, ta sœur et ta belle-mère. ce n'est que maintenant que tu as découvert que tu avais une demi-sœur, cissy, fruit d'une relation adultérine entre ton père et une mystérieuse femme.
Trigger warning : trigger : à discuter ; warning : divorce, tromperie, adhd, drogues, alcool, relation toxique
- silent waves, loud thoughts
Re: Speak the truth, even if your voice shakes (Charlie)
Le détective ne put qu'arquer un sourcil lorsqu'il entendit une remarque sur son accent, soi disant anglais, chose qui aurait pu le vexer s'il était bougon. Fort heureusement, ce n'était pas le cas, pas ce soir. Il était plus effrayé et apeuré qu'une véritable envie de se mettre en colère. Et puis, ça ne lui ressemblait pas, d'être furieux. Il pouvait l'être, comme chaque être humain sur cette planète mais il avait une maitrise de la colère bien maintenue, ce qui l'empêchait de perdre son sang froid au moindre prétexte.
- Anglais? répéta t-il tout de même, avec une petite grimace de dégoût, avant de se rappeler qu'il avait probablement un américain en face de lui et que ces derniers avaient des facilités incroyables à faire des raccourcis, comme beaucoup de monde qui ne venaient pas du Royaume Unis. Le fait d'avoir emménager dans ce pays hostile un peu comme cela, du jour au lendemain, l'avait empêché une bonne adaptation. En tout cas, Clyde s'estimait heureux de ne pas avoir à faire aux poulets ce soir. Non pas que cela aurait posé un réel problème, mais il pouvait entendre leurs remarques exacerbées à son encontre s'ils étaient venus.
Cela dit, cet inconnu semble s'être fait à l'idée qu'après tout, ainsi allaient les choses et que le possible voleur qu'était Clyde n'allait probablement plus voler, si tant était qu'il soit venu voler. Il lui demanda d'ailleurs ce qu'il était venu voler en observant judicieusement que c'était fichu. Clyde soupira.
- Croyez le ou non, je suis venu récupérer des papiers, non pas les voler. Ou peut être bien que si, un peu, mais c'est pour une bonne cause. Est ce qu'on peut toujours parler de vol lorsque c'est pour la bonne cause?, dit il penaud, à côté de lui. "Mais j'ai honte de moi, j'ai été un bien piètre amateur pour ce coup ci."
Clyde marmonnait dans sa barbe mais dans le fond, il se comprenait lui-même. Il lâchait son flot de parole comme si l'autre allait être sur la même longueur d'onde que lui, oubliant comme toujours que ça n'était pas le cas. L'autre qui réalisait que possiblement, il y avait des caméras pour filmer.
- Non aucune, j'ai bien veillé à cela avant de venir.
Les lumières qui pouvaient les éclairer finirent par s'éteindre d'elles même, ce qui provoqua une remarque de la part de L'autre qui trouva la situation glauque. Clyde lui, échappa une petite onomatopée telle qu'un "Mhhh." avant de poursuivre :
"Je trouve cela plus intimiste personnellement. Cela dit, j'ai à faire."
Il alluma la lampe torche de son téléphone avant de la lui tendre. "Vous pouvez me la tenir s'il vous plait? En la pointant là, droit devant, sur le tableau en face."
Clyde patienta jusqu'à la réponse du jeune homme.
- Anglais? répéta t-il tout de même, avec une petite grimace de dégoût, avant de se rappeler qu'il avait probablement un américain en face de lui et que ces derniers avaient des facilités incroyables à faire des raccourcis, comme beaucoup de monde qui ne venaient pas du Royaume Unis. Le fait d'avoir emménager dans ce pays hostile un peu comme cela, du jour au lendemain, l'avait empêché une bonne adaptation. En tout cas, Clyde s'estimait heureux de ne pas avoir à faire aux poulets ce soir. Non pas que cela aurait posé un réel problème, mais il pouvait entendre leurs remarques exacerbées à son encontre s'ils étaient venus.
Cela dit, cet inconnu semble s'être fait à l'idée qu'après tout, ainsi allaient les choses et que le possible voleur qu'était Clyde n'allait probablement plus voler, si tant était qu'il soit venu voler. Il lui demanda d'ailleurs ce qu'il était venu voler en observant judicieusement que c'était fichu. Clyde soupira.
- Croyez le ou non, je suis venu récupérer des papiers, non pas les voler. Ou peut être bien que si, un peu, mais c'est pour une bonne cause. Est ce qu'on peut toujours parler de vol lorsque c'est pour la bonne cause?, dit il penaud, à côté de lui. "Mais j'ai honte de moi, j'ai été un bien piètre amateur pour ce coup ci."
Clyde marmonnait dans sa barbe mais dans le fond, il se comprenait lui-même. Il lâchait son flot de parole comme si l'autre allait être sur la même longueur d'onde que lui, oubliant comme toujours que ça n'était pas le cas. L'autre qui réalisait que possiblement, il y avait des caméras pour filmer.
- Non aucune, j'ai bien veillé à cela avant de venir.
Les lumières qui pouvaient les éclairer finirent par s'éteindre d'elles même, ce qui provoqua une remarque de la part de L'autre qui trouva la situation glauque. Clyde lui, échappa une petite onomatopée telle qu'un "Mhhh." avant de poursuivre :
"Je trouve cela plus intimiste personnellement. Cela dit, j'ai à faire."
Il alluma la lampe torche de son téléphone avant de la lui tendre. "Vous pouvez me la tenir s'il vous plait? En la pointant là, droit devant, sur le tableau en face."
Clyde patienta jusqu'à la réponse du jeune homme.
@Charlie Collins
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Côté coeur : Rien à déclarer, Clyde a l'esprit ailleurs, l'amour est loin d'être une priorité et si ça doit venir un jour, cela viendra.
Job : Il est détective privé spécialisé dans les enlèvements, meurtres, agressions en tout genre mais il ne rechigne pas pour des petites affaires moins importantes lorsqu'il juge cela nécessaire ou qu'elle peut aboutir à bien plus grand qu'elle ne laisse imaginer.
Adresse : Dans un appartement à Belltown, au n°74.
Famille : Il reste en contact avec sa grand mère, restée en Ecosse, seule famille qui lui reste. Il n'a pas du tout de contact avec les autres membres, ne cherche pas à en avoir pas plus qu'eux ne cherche à en avoir avec lui.
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