#842 - one night, then another... [Ft. Hänselm]
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#842 - one night, then another... [Ft. Hänselm]
Dialogue de Harry : # 0099ff
Sa tenue : photo
Son appartement : photo
Juin 2024 ...
Je ne sais pas ce qui se passe chez moi, je ne devrais peut-être pas me laisser ainsi aller, ce n’est peut-être pas respectueux envers la femme que j’ai perdue, mais je n’arrive pas à résister. La première fois que j’ai craqué, c’est peu de temps après son décès. J’avais décidé de reprendre quelques heures de travail, afin de me changer les idées, car rester dans mon appartement, sans elle et avec Matthew qui lui ressemble tellement, j’avais besoin de reprendre un rythme de travail, une vie sociale. Un soir, j’ai suivi mes collègues dans un bar, pour passer la soirée à les écouter parler de leurs vies sentimentales, de leurs patients parfois un peu loufoques... Mais en ce qui me concerne, j’ai bu plus que de raison. Surement, que j’avais besoin de décompresser, d’oublier la solitude qui faisait désormais partie de ma vie. Mais l’alcool, le manque de contact, de plaisir... c’est pour diverse raison que j’ai osé l’approcher. Cela aurait pu être une femme, mais je n’étais attiré que par lui. Il y avait de belles jeunes femmes, mais je ne sais pas pourquoi je me suis rapproché de lui. Si bien que je lui propose de terminer la soirée avec moi. Je ne sais plus exactement les termes que j’ai formulés, mais c’était lui qui me plaisait et j’avais envie de finir ma soirée rien qu’avec lui. Chose qui arriva. Je n’aurais jamais osé faire cela, désirer un homme, mais je n’avais pas envie de me prendre la tête, pas ce soir-là. Si la nuit a été une révélation pour moi, j’ai été assez surpris à mon réveil. Trouver un homme, dans mon lit, c’était assez surprenant, mais je n’ai pas renié le plaisir ressenti. Mais l’affirmer ouvertement, je ne suis pas prêt. Je ne sais même pas si c’était qu’une pulsion éphémère, ou si cela voulait dire autre chose en ce qui me concerne. En-tout-cas, je n’ai pas honte quand je le recrois au travail. Au contraire, l’envie revient plus souvent que ce que j’aurais imaginé.
Comme aujourd’hui. Quand je l’ai croisé dans la salle de repos. On a échangé quelques mots, nos mains se sont frôlées en voulant prendre en même temps une tasse à café, et il n’a pas fallu beaucoup plus pour que je lui propose de boire un verre après le travail. Nos horaires nous permettent de se voir et j’ai passé la journée à attendre que la soirée arrive. Matthew, mon fils, reste chez une nourrice, je n’ai pas d’inquiétude à ce sujet. L’excuse du travail me permet d’avoir ce moment de libérer.
Durant la journée, je croise Hänselm, c’est fou comme je peux être pressé que la journée se termine. Il y a quelques mois, on m’aurait dit que j’aurais été ainsi attiré par un homme, je ne l’aurais pas cru. Et je l’aurais sûrement renié. Mais là, les regards qu’on échange quand on se croise, m’enflamment énormément.
J’ai proposé à Hänselm de venir boire un verre chez moi, mais lui comme moi, on sait ce que cela veut dire. On ne l’a pas dit ouvertement, mais on s’est compris. Dès la première fois, on a abordé la discrétion que je veux garder sur mon lieu de travail, sur le fait que ce n’était pas une chose que je fais, et même si c’est un plaisir que j’ai connu plus jeune, c’était autre chose, cette fois, c’est moi qui en avais envie.
Je suis chez moi, la nourrice est venue chercher Matthew, avant que l’heure du biberon arrive. J’ai mal au cœur de me séparer de ce bout de chou, mais j’ai besoin d’une vie sociale, besoin d’autre chose et je peux sentir en moi un changement. J’essaie de ne pas penser à ce que cela voudrait dire pour moi, pour le futur de ma vie privé, mais j’ai envie de réessayer, envie de plus. À voir si Hänselm en a envie aussi.
Ma tv diffuse une chaîne musicale, tandis que je sors de ma salle de bain. Une bonne douche, des vêtements propres, je marche pieds nus dans mon appartement. Mes cheveux sont encore légèrement mouillés quand je m’assois dans mon canapé. Je sais que Hänselm va arriver et si je ne le montre pas, je suis nerveux.
Sa tenue : photo
Son appartement : photo
" One night, then another... "
feat. @Hänselm A. Köhler et Harry M.Bradshaw
Juin 2024 ...
Je ne sais pas ce qui se passe chez moi, je ne devrais peut-être pas me laisser ainsi aller, ce n’est peut-être pas respectueux envers la femme que j’ai perdue, mais je n’arrive pas à résister. La première fois que j’ai craqué, c’est peu de temps après son décès. J’avais décidé de reprendre quelques heures de travail, afin de me changer les idées, car rester dans mon appartement, sans elle et avec Matthew qui lui ressemble tellement, j’avais besoin de reprendre un rythme de travail, une vie sociale. Un soir, j’ai suivi mes collègues dans un bar, pour passer la soirée à les écouter parler de leurs vies sentimentales, de leurs patients parfois un peu loufoques... Mais en ce qui me concerne, j’ai bu plus que de raison. Surement, que j’avais besoin de décompresser, d’oublier la solitude qui faisait désormais partie de ma vie. Mais l’alcool, le manque de contact, de plaisir... c’est pour diverse raison que j’ai osé l’approcher. Cela aurait pu être une femme, mais je n’étais attiré que par lui. Il y avait de belles jeunes femmes, mais je ne sais pas pourquoi je me suis rapproché de lui. Si bien que je lui propose de terminer la soirée avec moi. Je ne sais plus exactement les termes que j’ai formulés, mais c’était lui qui me plaisait et j’avais envie de finir ma soirée rien qu’avec lui. Chose qui arriva. Je n’aurais jamais osé faire cela, désirer un homme, mais je n’avais pas envie de me prendre la tête, pas ce soir-là. Si la nuit a été une révélation pour moi, j’ai été assez surpris à mon réveil. Trouver un homme, dans mon lit, c’était assez surprenant, mais je n’ai pas renié le plaisir ressenti. Mais l’affirmer ouvertement, je ne suis pas prêt. Je ne sais même pas si c’était qu’une pulsion éphémère, ou si cela voulait dire autre chose en ce qui me concerne. En-tout-cas, je n’ai pas honte quand je le recrois au travail. Au contraire, l’envie revient plus souvent que ce que j’aurais imaginé.
Comme aujourd’hui. Quand je l’ai croisé dans la salle de repos. On a échangé quelques mots, nos mains se sont frôlées en voulant prendre en même temps une tasse à café, et il n’a pas fallu beaucoup plus pour que je lui propose de boire un verre après le travail. Nos horaires nous permettent de se voir et j’ai passé la journée à attendre que la soirée arrive. Matthew, mon fils, reste chez une nourrice, je n’ai pas d’inquiétude à ce sujet. L’excuse du travail me permet d’avoir ce moment de libérer.
Durant la journée, je croise Hänselm, c’est fou comme je peux être pressé que la journée se termine. Il y a quelques mois, on m’aurait dit que j’aurais été ainsi attiré par un homme, je ne l’aurais pas cru. Et je l’aurais sûrement renié. Mais là, les regards qu’on échange quand on se croise, m’enflamment énormément.
J’ai proposé à Hänselm de venir boire un verre chez moi, mais lui comme moi, on sait ce que cela veut dire. On ne l’a pas dit ouvertement, mais on s’est compris. Dès la première fois, on a abordé la discrétion que je veux garder sur mon lieu de travail, sur le fait que ce n’était pas une chose que je fais, et même si c’est un plaisir que j’ai connu plus jeune, c’était autre chose, cette fois, c’est moi qui en avais envie.
Je suis chez moi, la nourrice est venue chercher Matthew, avant que l’heure du biberon arrive. J’ai mal au cœur de me séparer de ce bout de chou, mais j’ai besoin d’une vie sociale, besoin d’autre chose et je peux sentir en moi un changement. J’essaie de ne pas penser à ce que cela voudrait dire pour moi, pour le futur de ma vie privé, mais j’ai envie de réessayer, envie de plus. À voir si Hänselm en a envie aussi.
Ma tv diffuse une chaîne musicale, tandis que je sors de ma salle de bain. Une bonne douche, des vêtements propres, je marche pieds nus dans mon appartement. Mes cheveux sont encore légèrement mouillés quand je m’assois dans mon canapé. Je sais que Hänselm va arriver et si je ne le montre pas, je suis nerveux.
KoalaVolant
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La vie n'est pas tout rose ou tout noir, il faut savoir juste faire les bons choix. Non ?
- Harry M. Bradshaw
- Pseudo : Mikki
Date d'inscription : 29/08/2024
Date de naissance : 26/04/1986
Faceclaim : Stephen Amell
Crédit : Mikki & Tumblr
Multicomptes : //
Messages : 95
RPs : 23
Âge : 38 ans
Côté coeur : .
Depuis la perte de ma femme et mon fils, je n'ai jamais plus laisser quelqu'un entré dans ma vie privé. Je souffre de la solitude mais cela ne m'empêche pas d'avoir des relations éphémère.
Job : .
Médecin spécialisé en cardiologie. Je suis agile de mes mains et mon sang froid fait de moi un expert dans mon domaine. J'aime l'idée d'avoir la vie de mes patients entre mes mains et que sans moi, leurs destins ne serait plus pareil.
Adresse : .
BELLTOWN : Duplex - #842
Famille : .
Je suis le second fils de la fratrie. La famille Bradshaw est assez grande mais ce qui est à retenir, c'est qu'on est assez proche les uns des autres.
Trigger warning : .
Mariage forcé, décès de sa femme et son fils le jour de l'accouchement.
Bonus : .
My cat : "Nemo"
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mes RPs
~~ famille Bradshaw
~~ Hänselm
~~ rp en commun
~~ Castiel
~~ Logan
- Happily ever after
Re: #842 - one night, then another... [Ft. Hänselm]
« between wall and water »
@harry m. bradshaw & @hänselm a. köhler
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tw : du +16, +18 possibles. -
Ce soir, tu vois Harry. C'est clair depuis le départ entre vous que vous ne voulez pas mêler ça à votre travail dans le sens où vous ne montrez pas du tout que vous êtes intéressés face aux regards d'autrui. En réalité, tu n'avais pas approché Harry en premier après cette nuit-là parce que t'étais incertain de comment il prenait la chose. Vous vous êtes retrouvés au même endroit, en buvant un peu trop et si toi t'avais majoritairement tes neurones même si tu avais nettement moins d'inhibition, Harry semblait assez intoxiqué. Tu pouvais dire non, mais t'as décidé de dire oui. T'as pensé à la protection durant l'acte donc t'es passé sous Harry pour votre plaisir. Enfin, surtout le tien parce que vue la réaction de l'aîné au matin, t'as bien compris qu'il devait pas se souvenir entièrement de ce qui s'est passé. Tu ne l'as pas mal pris. Tu t'étais doucement retourné en posant la main contre son torse. Tu as rapproché ton visage du sien afin de poser doucement, lentement tes lèvres sur sa joue. Tu lui a murmuré que ce n'était vraiment pas grave. Que ce n'était pas la fin du monde de ne pas vraiment se souvenir et tu l'as rassuré en lui disant que tu étais consentant, donc qu'il n'a pas forcé quoi que ce soit sous l'alcool. Tu t'es redressé dans le lit après lui avoir embrassé la tempe en petite marque d'affection et tu es parti peu d'temps après t'être habillé. T'avais pas besoin d'être présent, plus de peur de le rendre mal à l'aise qu'autre chose. Tu as décidé de laisser le temps à Harry de penser et de reprendre ses esprits. Tu bosses majoritairement en soins palliatifs, mais parfois on te demande vers les urgences puisque ton stage a surtout été là-bas et tu sais comment ça fonctionne et tu gères bien la pression, les cas difficiles, donc tu n'as pas peur de t'y trouver. Tu es le premier qu'on laisse ''filer'' pour prêter mains fortes quand ça se produit.
Tu as revu un temps après Harry dans la salle de pause. Quelques oeillades. Tu as commencé à vite comprendre qu'il te regardait d'une autre façon que comme collègue. Finalement, quand il a lancé cette histoire de verre, tu as tout d'suite compris ''quel genre de verre'' il faisait allusion. Tu as accepté. Cette fois, Harry va être majoritairement sobre, donc les choses seront différentes. Tu n'as absolument pas cherché toi-même à le draguer au travail (ce qui serait totalement non professionnel et t'es pas tellement de ce genre) mais en plus tu préférais qu'il vienne te voir en premier, plutôt que le contraire. Lui laisser le temps de se remettre et surtout de savoir vraiment ce qu'il veut même si à tout moment il peut te dire non. Qu'il peut te dire que ce n'est plus ce qu'il veut. Tu as pris une douche chaude, finissant par te sécher et t'habiller. Tu viens d'la prendre à l'hôpital. Tu finis par une touche de parfum plutôt délicat avant de mettre un t-shirt foncé et un jogging gris. Rien de bien beau parce que ce n'est pas un rendez-vous. Tu préfères te montrer décontracter que lui mettre une quelconque pression. Tu finis par partir et prendre ta voiture pour te rendre à l'adresse indiquée par Harry avec le GPS. Quand tu arrives, t'en coupe le moteur et tu sors. Tu marches jusqu'à la porte et tu cognes. Plutôt fort pour te faire entendre si jamais il est loin dans la résidence. T'es pas anxieux. Il t'en faut plus que ça pour l'être.
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@harry m. bradshaw & @hänselm a. köhler
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tw : du +16, +18 possibles. -
Ce soir, tu vois Harry. C'est clair depuis le départ entre vous que vous ne voulez pas mêler ça à votre travail dans le sens où vous ne montrez pas du tout que vous êtes intéressés face aux regards d'autrui. En réalité, tu n'avais pas approché Harry en premier après cette nuit-là parce que t'étais incertain de comment il prenait la chose. Vous vous êtes retrouvés au même endroit, en buvant un peu trop et si toi t'avais majoritairement tes neurones même si tu avais nettement moins d'inhibition, Harry semblait assez intoxiqué. Tu pouvais dire non, mais t'as décidé de dire oui. T'as pensé à la protection durant l'acte donc t'es passé sous Harry pour votre plaisir. Enfin, surtout le tien parce que vue la réaction de l'aîné au matin, t'as bien compris qu'il devait pas se souvenir entièrement de ce qui s'est passé. Tu ne l'as pas mal pris. Tu t'étais doucement retourné en posant la main contre son torse. Tu as rapproché ton visage du sien afin de poser doucement, lentement tes lèvres sur sa joue. Tu lui a murmuré que ce n'était vraiment pas grave. Que ce n'était pas la fin du monde de ne pas vraiment se souvenir et tu l'as rassuré en lui disant que tu étais consentant, donc qu'il n'a pas forcé quoi que ce soit sous l'alcool. Tu t'es redressé dans le lit après lui avoir embrassé la tempe en petite marque d'affection et tu es parti peu d'temps après t'être habillé. T'avais pas besoin d'être présent, plus de peur de le rendre mal à l'aise qu'autre chose. Tu as décidé de laisser le temps à Harry de penser et de reprendre ses esprits. Tu bosses majoritairement en soins palliatifs, mais parfois on te demande vers les urgences puisque ton stage a surtout été là-bas et tu sais comment ça fonctionne et tu gères bien la pression, les cas difficiles, donc tu n'as pas peur de t'y trouver. Tu es le premier qu'on laisse ''filer'' pour prêter mains fortes quand ça se produit.
Tu as revu un temps après Harry dans la salle de pause. Quelques oeillades. Tu as commencé à vite comprendre qu'il te regardait d'une autre façon que comme collègue. Finalement, quand il a lancé cette histoire de verre, tu as tout d'suite compris ''quel genre de verre'' il faisait allusion. Tu as accepté. Cette fois, Harry va être majoritairement sobre, donc les choses seront différentes. Tu n'as absolument pas cherché toi-même à le draguer au travail (ce qui serait totalement non professionnel et t'es pas tellement de ce genre) mais en plus tu préférais qu'il vienne te voir en premier, plutôt que le contraire. Lui laisser le temps de se remettre et surtout de savoir vraiment ce qu'il veut même si à tout moment il peut te dire non. Qu'il peut te dire que ce n'est plus ce qu'il veut. Tu as pris une douche chaude, finissant par te sécher et t'habiller. Tu viens d'la prendre à l'hôpital. Tu finis par une touche de parfum plutôt délicat avant de mettre un t-shirt foncé et un jogging gris. Rien de bien beau parce que ce n'est pas un rendez-vous. Tu préfères te montrer décontracter que lui mettre une quelconque pression. Tu finis par partir et prendre ta voiture pour te rendre à l'adresse indiquée par Harry avec le GPS. Quand tu arrives, t'en coupe le moteur et tu sors. Tu marches jusqu'à la porte et tu cognes. Plutôt fort pour te faire entendre si jamais il est loin dans la résidence. T'es pas anxieux. Il t'en faut plus que ça pour l'être.
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Twisted & damaged soul
'Cause I'm only one drink away from the devil I'm only one call away from home. Yeah, I'm somewhere in the middle. I guess I'm just a little right and wrong. All of this drinkin' and smokin' is hopeless, but feel like it's all that I need. Somethin' inside of me's broken, I hold on to anything that sets me free. I'm a lost cause. Baby, don't waste your time on me. I'm so damaged beyond repair. Life has shattered my hopes and my dreams.
- Hänselm A. Köhler
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Âge : 26 (28 mars 1998)
Côté coeur : (Célibataire) La clef est restée coincée, brisée et jetée. Une nouvelle serrure doit être installée, une nouvelle clef forgée. Tu n'es pas prêt à ouvrir ton coeur pour quelqu'un d'autre avec cette dernière histoire qui t'a profondément marquée. Aimer quelqu'un jusqu'à la fin est une chance de vie, mais aussi une malédiction.
Job : La danse a toujours été ta première passion et elle t'a menée à devenir un réel concurrent dans le style contemporain, remportant plusieurs prix et médailles. D'une autre part, tu as fait des études pour devenir infirmier pour pouvoir prendre soin d'un membre de ta famille jusqu'à sa mort. Depuis ce jour, tu n'as pas cessé ce métier. Tu es infirmier dans les soins palliatifs, même si c'est très dur... Mais tu y tiens. Ça fait partie de toi.
Adresse :
(69) dans un appartement 2 chambres à Fremont.
Famille : Être élevé par une mère monoparentale n'est jamais quelque chose d'aisé, mais elle y est parvenue avec toi et ta soeur. Si ta mère est décédée trop subitement, trop jeune... C'est la perte de ta petite soeur qui a tout chamboulée dans ta vie parce que tu as été avec elle jusqu'à la fin. Tu es aujourd'hui bien seul.
Trigger warning : Warnings pour Hänselm : domaine médical, décès, maladie.
Mes triggers : viol (décrit), agressions sexuelles (décrites), inceste, pédophilie et violence envers les enfants (excessive) et violence envers les animaux.
- Home is where friends are
Re: #842 - one night, then another... [Ft. Hänselm]
Dialogue de Harry : # 0099ff
Sa tenue : photo
Son appartement : photo
Je n’ai pas l’habitude de ce genre de rendez-vous, mais je ne suis pas chaste pour autant. Cependant, donner rendez-vous à un homme, le désirer, c’est nouveau et je ne suis pas encore sûr de moi. Mon corps sait ce qu’il aime, ce qu’il veut, mais mon esprit, il résiste. Quelque part, j’ai encore l’esprit qui n’arrive pas à envisager un avenir avec un homme, comme si ce n’était pas logique. Et pourtant, autour de moi, j’ai la preuve que l’amour peut aller à l’encontre de ce que j’ai appris. Mes parents sont ouverts d’esprit, ma famille aussi, mais je n'ai jamais été vraiment en dehors des “normes”. J’ai toujours été le bon petit mouton, le fils Bradshaw qui suit ce qu’on veut de lui, professionnellement et personnellement. Mais la perte de ma femme, de mon fils à tous bousculer. J’ai eu un long moment d’abstinence, de doute, de dépression. L’alcool et les pots de glace étaient mes amis. J’ai passé énormément de temps dans mon appartement, à me promener nu, ou peu vêtu, à ne pas me prendre la tête sur mes devoirs. En même temps, côté professionnel, on avait compris que je n’étais pas en état. Jusqu’au jour où j’ai eu un déclic. Sans raison apparente, il m’a fallu soudainement reprendre le travail, quitter cet appartement que j’avais démolie en partie, par rage, par tristesse. Et très vite, ma vie a repris son cours. Du moins, côté professionnel, c’était facile, j’exerce un métier qui est une passion, donc je n’ai aucun mal à reprendre des dossiers, des patients, et même à opérer quand cela est nécessaire.
Par contre, côté sentimental, c’est le néant. Je ne sais pas pourquoi, mais je me protège. Je ne cherche pas à remplacer ma femme, ni à combler ce vide qui m’entoure. Mais si j’en écoute mon grand frère, je renferme trop mon cœur et je devrais me détendre, laisser la place à l’imprévu.
Et quand on parle d’imprévu, je peux parler de Hans. Sexuellement, l’abstinence va de pair avec mon cœur que je protégeais peut-être un peu trop. Ma main était ma partenaire idéale durant de longs mois, année... Et c’est avec ce jeune homme, un collègue, que j’ai passé la nuit. Je connaissais chastement le toucher d’un homme, mais ce soir-là, l’alcool m’a totalement permis de passer la gêne, le stresse d’un moment intime avec un homme. C’était ma première fois. La première fois que j’ai possédé un homme et dois-je dire la vérité ? J’ai adoré. Troublé le matin, car l’alcool a embrouillé mes souvenirs, mais ce n’était pas contre Hans. Je ne suis pas le genre d’homme à regretter quoi que ce soit, et cette nuit-là, m’a ouvert l’esprit. Où devrais-je dire qu’il m’a permis de me confronter à ce que je savais intérieurement, mais que j’avais essayé de me le cacher ? En-tout-cas, j’ai peut-être mis du temps, à oser faire le premier pas, mais j’en avais envie. Envie de renouveler ce moment, envie de voir où je peux aller, mais tout ceci si Hans en avait envie. Je n’ai pas encore pris l’initiative de m’inscrire sur des applis de rencontre, car je ne sais pas si je serais capable de dire que je ne recherche que le contact d’homme. Je sais ce qu’est être avec une femme, mais j’ai bien compris ce soir-là, que ce que j'aimais était le toucher d’un homme, dans tous les sens du terme. Même si y a encore des inconnus dans ce domaine, je suis sûr de moi.
Je me retrouve un peu nerveux, assis dans mon canapé, à regarder la TV, sans vraiment être attentif. Je n’ai jamais fait venir quelqu’un chez moi, et je me retrouve comme un gamin, à stresser comme pour un premier date. Or, ce n’est pas le cas. Enfin, je n’ai pas l’impression que j’ai montré un signe qui parle d’amour. Je me dis que je devrais peut-être clarifier les choses, car je ne veux pas blesser Hans, je n’ai pas envie qu’il se fasse des idées sur des attentes qui ne sont pas les miennes.
On frappe à ma porte. Pas de doute, je sais qui est là et je l’attendais. Je baisse le son de ma TV et je vais directement vers ma porte. Cependant, juste avant d’ouvrir, je passe ma main dans mes cheveux, comme pour me recoiffer. Après tout, j’ai envie de plaire sans pour autant en faire trop. J’ai parlé de venir boire un verre, mais j’avais d’autres idées en tête et je pense que Hans l’a aussi compris. Mais la soirée peut totalement être différente de ce à quoi je me suis imaginé.
Quand j’ouvre la porte, je vois le jeune homme et je ne peux m’empêcher de sourire. Il est beau, et même quelque part, je me demande pourquoi je ne l’ai pas remarqué avant. Le sourire aux lèvres, je le salue un bref instant, avant de m’écarter, ouvrant plus la porte pour l’invité à entrer.
- “Salut Hänselm ! Vas-y, entre ! Ça a été, mon appart n’est pas trop difficile à trouver ?”
Mon appartement est un duplex assez grand et luxueux. Une chambre est fermée à clé, c’était celle prévue pour mon fils. Je n’ai pas eu le courage de retirer le lit, ainsi que tout ce qui avait été acheté. Et elle est restée ainsi, comme si le temps n’était pas passé. Cependant, j’envisage de déménager. Depuis la nuit avec Hans, j’ai besoin de nouveau, de changement. En quelques sortes, j’ai besoin de voir si je suis capable de laisser mes désirs, me permettre de changer de style de vie. Je ne suis pas encore sûr d’oser montrer ouvertement mon attirance pour les hommes et quelque part, cette soirée pourrait me permettre de comprendre ce que je veux ou non.
Laissant entrer Hans, je ne peux m’empêcher de poser mon regard sur son dos, ses fesses, car j’aime ce que je vois et cette fois-ci, je ne suis pas au travail et je n’ai pas à me cacher. Je ferme la porte et quand je passe à ses côtés, ma main se pose sur sa hanche, comme pour l’invité à me suivre.
- “Fais comme chez toi. Ça a été la journée ?”
Je sais, on n'est pas forcément là pour parler boulot, mais je n’ai pas envie qu’il se sente gêné en ma présence. Je ne suis pas le docteur ici, juste un homme comme un autre et je veux montrer que je suis plus cool que ce que je peux paraître au travail.
Sa tenue : photo
Son appartement : photo
" One night, then another... "
feat. @Hänselm A. Köhler et Harry M.Bradshaw
Je n’ai pas l’habitude de ce genre de rendez-vous, mais je ne suis pas chaste pour autant. Cependant, donner rendez-vous à un homme, le désirer, c’est nouveau et je ne suis pas encore sûr de moi. Mon corps sait ce qu’il aime, ce qu’il veut, mais mon esprit, il résiste. Quelque part, j’ai encore l’esprit qui n’arrive pas à envisager un avenir avec un homme, comme si ce n’était pas logique. Et pourtant, autour de moi, j’ai la preuve que l’amour peut aller à l’encontre de ce que j’ai appris. Mes parents sont ouverts d’esprit, ma famille aussi, mais je n'ai jamais été vraiment en dehors des “normes”. J’ai toujours été le bon petit mouton, le fils Bradshaw qui suit ce qu’on veut de lui, professionnellement et personnellement. Mais la perte de ma femme, de mon fils à tous bousculer. J’ai eu un long moment d’abstinence, de doute, de dépression. L’alcool et les pots de glace étaient mes amis. J’ai passé énormément de temps dans mon appartement, à me promener nu, ou peu vêtu, à ne pas me prendre la tête sur mes devoirs. En même temps, côté professionnel, on avait compris que je n’étais pas en état. Jusqu’au jour où j’ai eu un déclic. Sans raison apparente, il m’a fallu soudainement reprendre le travail, quitter cet appartement que j’avais démolie en partie, par rage, par tristesse. Et très vite, ma vie a repris son cours. Du moins, côté professionnel, c’était facile, j’exerce un métier qui est une passion, donc je n’ai aucun mal à reprendre des dossiers, des patients, et même à opérer quand cela est nécessaire.
Par contre, côté sentimental, c’est le néant. Je ne sais pas pourquoi, mais je me protège. Je ne cherche pas à remplacer ma femme, ni à combler ce vide qui m’entoure. Mais si j’en écoute mon grand frère, je renferme trop mon cœur et je devrais me détendre, laisser la place à l’imprévu.
Et quand on parle d’imprévu, je peux parler de Hans. Sexuellement, l’abstinence va de pair avec mon cœur que je protégeais peut-être un peu trop. Ma main était ma partenaire idéale durant de longs mois, année... Et c’est avec ce jeune homme, un collègue, que j’ai passé la nuit. Je connaissais chastement le toucher d’un homme, mais ce soir-là, l’alcool m’a totalement permis de passer la gêne, le stresse d’un moment intime avec un homme. C’était ma première fois. La première fois que j’ai possédé un homme et dois-je dire la vérité ? J’ai adoré. Troublé le matin, car l’alcool a embrouillé mes souvenirs, mais ce n’était pas contre Hans. Je ne suis pas le genre d’homme à regretter quoi que ce soit, et cette nuit-là, m’a ouvert l’esprit. Où devrais-je dire qu’il m’a permis de me confronter à ce que je savais intérieurement, mais que j’avais essayé de me le cacher ? En-tout-cas, j’ai peut-être mis du temps, à oser faire le premier pas, mais j’en avais envie. Envie de renouveler ce moment, envie de voir où je peux aller, mais tout ceci si Hans en avait envie. Je n’ai pas encore pris l’initiative de m’inscrire sur des applis de rencontre, car je ne sais pas si je serais capable de dire que je ne recherche que le contact d’homme. Je sais ce qu’est être avec une femme, mais j’ai bien compris ce soir-là, que ce que j'aimais était le toucher d’un homme, dans tous les sens du terme. Même si y a encore des inconnus dans ce domaine, je suis sûr de moi.
Je me retrouve un peu nerveux, assis dans mon canapé, à regarder la TV, sans vraiment être attentif. Je n’ai jamais fait venir quelqu’un chez moi, et je me retrouve comme un gamin, à stresser comme pour un premier date. Or, ce n’est pas le cas. Enfin, je n’ai pas l’impression que j’ai montré un signe qui parle d’amour. Je me dis que je devrais peut-être clarifier les choses, car je ne veux pas blesser Hans, je n’ai pas envie qu’il se fasse des idées sur des attentes qui ne sont pas les miennes.
On frappe à ma porte. Pas de doute, je sais qui est là et je l’attendais. Je baisse le son de ma TV et je vais directement vers ma porte. Cependant, juste avant d’ouvrir, je passe ma main dans mes cheveux, comme pour me recoiffer. Après tout, j’ai envie de plaire sans pour autant en faire trop. J’ai parlé de venir boire un verre, mais j’avais d’autres idées en tête et je pense que Hans l’a aussi compris. Mais la soirée peut totalement être différente de ce à quoi je me suis imaginé.
Quand j’ouvre la porte, je vois le jeune homme et je ne peux m’empêcher de sourire. Il est beau, et même quelque part, je me demande pourquoi je ne l’ai pas remarqué avant. Le sourire aux lèvres, je le salue un bref instant, avant de m’écarter, ouvrant plus la porte pour l’invité à entrer.
- “Salut Hänselm ! Vas-y, entre ! Ça a été, mon appart n’est pas trop difficile à trouver ?”
Mon appartement est un duplex assez grand et luxueux. Une chambre est fermée à clé, c’était celle prévue pour mon fils. Je n’ai pas eu le courage de retirer le lit, ainsi que tout ce qui avait été acheté. Et elle est restée ainsi, comme si le temps n’était pas passé. Cependant, j’envisage de déménager. Depuis la nuit avec Hans, j’ai besoin de nouveau, de changement. En quelques sortes, j’ai besoin de voir si je suis capable de laisser mes désirs, me permettre de changer de style de vie. Je ne suis pas encore sûr d’oser montrer ouvertement mon attirance pour les hommes et quelque part, cette soirée pourrait me permettre de comprendre ce que je veux ou non.
Laissant entrer Hans, je ne peux m’empêcher de poser mon regard sur son dos, ses fesses, car j’aime ce que je vois et cette fois-ci, je ne suis pas au travail et je n’ai pas à me cacher. Je ferme la porte et quand je passe à ses côtés, ma main se pose sur sa hanche, comme pour l’invité à me suivre.
- “Fais comme chez toi. Ça a été la journée ?”
Je sais, on n'est pas forcément là pour parler boulot, mais je n’ai pas envie qu’il se sente gêné en ma présence. Je ne suis pas le docteur ici, juste un homme comme un autre et je veux montrer que je suis plus cool que ce que je peux paraître au travail.
KoalaVolant
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La vie n'est pas tout rose ou tout noir, il faut savoir juste faire les bons choix. Non ?
- Harry M. Bradshaw
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Date d'inscription : 29/08/2024
Date de naissance : 26/04/1986
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Âge : 38 ans
Côté coeur : .
Depuis la perte de ma femme et mon fils, je n'ai jamais plus laisser quelqu'un entré dans ma vie privé. Je souffre de la solitude mais cela ne m'empêche pas d'avoir des relations éphémère.
Job : .
Médecin spécialisé en cardiologie. Je suis agile de mes mains et mon sang froid fait de moi un expert dans mon domaine. J'aime l'idée d'avoir la vie de mes patients entre mes mains et que sans moi, leurs destins ne serait plus pareil.
Adresse : .
BELLTOWN : Duplex - #842
Famille : .
Je suis le second fils de la fratrie. La famille Bradshaw est assez grande mais ce qui est à retenir, c'est qu'on est assez proche les uns des autres.
Trigger warning : .
Mariage forcé, décès de sa femme et son fils le jour de l'accouchement.
Bonus : .
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