The wolf and the lamb - w/ Wolf (TW)

Tu veux le voir, ton beau loup… Tu recherches son toucher on cette belle soirée. Tu aimerais sentir son souffle chaud contre ta peau… Profiter d'un rapprochement corporel. De sa présence… C'était ta première idée lorsque tu lui as envoyé un message. Maintenant ton envie de te rapprocher de lui pour lui changer les idées ou peut être même lui remonter le moral ou encore de lui empêcher de tout noyer… Oh… Tu connais l'envie de tout brouiller. De t'échapper de tes pensées… Tu as toi-même une mauvaise relation avec l'alcool. Mais tu espères pouvoir lui donner un peu de soleil dans sa journée… Ou alors être l'éclat de la lune pour éclairer sa nuit.
Pourtant, il te demande ce que tu as en tête pour lui changer les idées. Mais toi… Ce que tu as en tête est sûrement ce que vous finissez toujours par faire lorsque vous vous voyez. Tu es incapable de lui résister. Incapable de faire taire tes envies de le toucher. Ton besoin de le toucher. Son simple regard électrique réussi à te donner chaud tellement il est intense.
Les SMS t'ont donné chaud alors que tu lui as avoué être en manque de lui. À dire vrai, tu n'as que lui comme partenaire sexuel en ce moment et tu es très bien content comme ça. De toute façon, le chanteur te satisfait amplement sur tous les points imaginables sous les draps… Que ce soit toi sur le dessus ou lui.
C'est donc avec hâte que tu t'habilles d'un simple tee shirt bleu marin et d'un jogging gris, faisant le plus simple possible pour enlever les vêtements le plus rapidement possible. Le tout enfilé, tu insères tes chaussures, ton manteau et part ensuite à ta voiture.
Ton arrivée au bloc appartement de ton amant se fait assez rapidement… Roulant quand même la limite permise. La voiture est maintenant stationnée et toi, tu pénètres dans l'établissement où se trouve le loft du chanteur… En ce moment, tu te fiches que son frère sera là ou pas, lorsque la porte s'ouvre, tu entres d'un pas, l'approchant directement de toi après avoir passé ta main contre sa nuque. Tu cherches d'abord ses lèvres, puis sa langue tout en refermant la porte à l'aide de ton pied. Tes mains serrent ses cheveux à la base de sa tête avant de se faufiler un peu plus haut pour les lui tirer, sachant très bien que c'est l'un de ses points sensibles. Tu soupires par le nez, pendant que tu fais glisser tes mains vers ses épaules avant de te décaler pour respirer.
Quelques secondes s'écoulent alors que tu as plongé tes glaciers dans ses yeux électriques… Après vous avoir fait pivoté et plaqué son dos contre le mur. Tu lui souris, admirant ses beaux yeux pendant que tes mains redécouvrent son corps. Elles glissent sur son torse atteignant son abdomen pour finalement arrêter à la limite de son boxer. Ton doigt se glisse entre l'élastique et sa peau, tirant sur l'élastique pour le faire claquer doucement... Ton sourire devient mesquin alors que ta main plonge dans le vêtement dans le but de le caresser, venant possédée ses lippes une nouvelle fois.

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La danse est entamée… Le loup se fait facilement manipuler par l'agneau que tu es. Un agneau qui se camoufle parfois en prédateur pour le dévorer… C'est un jeu entre vous pour savoir qui serait le grand méchant loup… Mais aujourd'hui, tu enfiles la peau de la bête sans demander son avis.
Ses ongles provoquent de grands frissons chez toi, alors que tu avais lâché l'élastique de son boxer contre sa peau.  Vos lippes se collent à nouveau, alors que vos langues s'unissent l'une contre l'autre pour danser cette magnifique valse sensuelle à t'en faire perdre le souffle. Ta main est toujours occupée entre ses cuisses a donné des coups de poignet après l'avoir entouré de tes doigts agiles. Tu as envie de l'entendre encore jurer… Envie de l'entendre crier son plaisir si ça peut l'aider à se changer les idées.
À ton tour de laisser un soupirer par le nez, lorsque tu sens ses mains se faufiler entre tes cheveux pour les serrer. Ce n'est peut-être pas ton point le plus sensible, mais tu adores quand même qu'il te les serres ou te les titres de temps en temps. Ça te fait tout autant réagir.
Tu sens sa main presser ta tête pour que vos bouches soient davantage unies pour vous bouffer la bouche mutuellement et putain… Ça te fait réagir dans ton pantalon. Tu bandes, Marshall… Aussi fort que lui.
Tu appuies ton bassin contre le sien après avoir retiré ta main pour venir les glisser dans ses cheveux sombres pour les tirer vers l'arrière. Tes lèvres viennent goûter le derme de son cou. Tu es doux et violent à la fois… Elles caressent sa peau alors que tes dents la mordillent pour le faire réagir. Ensuite, tu continues ta course en embrassant sa gorge, puis sa clavicule pour te laisser tomber à genoux devant lui. Son ventre se fait maintenant embrasser pendant que tes mains descendent son boxer pour libérer l'objet de tes désirs. Tu fais descendre le tissu jusqu'aux chevilles et tu tapotes sur l'une, lui demandant sans parler de lever le pied. Le vêtement maintenant enlevé, tu le laisses tomber à quelques centimètres de vous pendant que tu t'actives sur son tendu.
Tu es venu lécher la perle translucide sur son gland avant de l'embrasser et de le suçoter. Tes mains se sont glissées sur le côté de ses cuisses pour ensuite les diriger vers l'arrière où tu serres tes doigts contre sa peau… Pendant que tu l'engloutis de tout son long, jusqu'à la gorge où un réflexe de gag s'active. Tes yeux deviennent humides, tellement le réflexe t'a surprise. Tu es donc obligé de le retirer pour avaler ta bave avant de le gober à nouveau. Cette fois, tu vas moins creux dans le but de commencer des mouvements de tête sensuel tout en serrant bien les lèvres autour de son sexe.

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Il réagit si joliment à ton contact. Ça t'en fait baver tellement ça t'excite de le sentir se mouvoir entre tes lèvres alors que le réflexe de gag revient une deuxième fois lorsqu'il se laisse glisser jusqu'à sa limite. Tu es accro à son corps. À lui. Accro au désir et à l'envie. L'envie de le toucher. D'être proche de lui. Ô douce dépendance corporelle. Douce dépendance émotionnelle. Peu importe la raison, tu serais prêt à te mettre à genoux pour lui n'importe quand. Pantin de ses mains qui viennent serrer ta chevelure sombre pendant qu'il se mouvait entre tes lèvres jusqu'à te maintenir en place. Les larmes coulent sur ton visage. Elle glisse contre ton derme, laissant une trace humide qui prouve le plaisir du moment alors que la bave coule sur ton menton. Tu frémis, le corps tremblant par sa possession.
Tu le sens impatient, au fil des minutes qui passent. Oh, tu sais… Tu comprends son désir de te sentir glissé entre ses chaires. Puisque tu partages le même désir, toi qui as pris les devants sans demander son avis. Mais tu sais, tu observes le chanteur chaque fois que tu es près de lui pour voir ce dont il a besoin. Sans oublier les tiens. "- Ne me fait plus attendre... Je suis impatient de te sentir glissé…” qu'il te dit… Oh oui, tu comprends le signal.
Tu lèves les yeux vers son visage, alors que tu lèches tout son long une dernière fois, tes lippes viennent quand même embrasser son bas-ventre, mordiller sa peau avec le regard qui sourit. Malgré l'envie qui presse, tu te sens malgré tout joueur avec lui… Sans trop t'attarder sur l'envie, tu te redresses devant lui, le regard qui en dit long sur ton état d'esprit. Oh… Tu brûles pour lui, Marshall, tel un soleil au solstice d'été. Un brasier intense qui peut se lire à travers tes yeux.
Toujours habillé de ton uniforme de travail, tu te recules d'un pas en le regardant avant de commencer à enlever ton haut. Tu n'es pas lent ni rapide. Le premier morceau tombe au sol alors que tu défais ta ceinture… La retirant de ton pantalon et d'un pas, tu t'es rapprochée pour venir la placer contre sa nuque. Tu tires sur le cuir pour le faire pencher alors que ton sourire s'agrandit pour l'embrasser. Tu fais glisser la ceinture contre sa peau avant de le retourner et de le plaquer contre le mur. “— Est-ce que tu veux que je te baise dans mon uniforme ? Du moins… Ce qui en reste” que tu demandes en entourant la ceinture autour de ses poignets. Tu l'attaches de façon à ce qu'il ne se libère pas, sans lui faire de mal.

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Il fait son petit con, mais ça te fait sourire… “Même si tu voudrais m’échapper… Tu ne pourrais pas, bel ange.” Dis-tu, sûr de toi. Tu crois en tes capacités, sans pour autant être narcissique.
Tu as décidé de l'attacher pour t'amuser… Voulant lui retirer le contrôle pour être le seul à l'avoir pendant cette séance de baise.
Tu baisses donc le devant de ton pantalon et ton caleçon, juste assez pour qu'ils ne tombent pas, libérant ton sexe bien tendu. Au nombre de fois où vous avez eu des séances de sexe cette semaine, tu sais que tu n'as pas vraiment besoin de le préparer. Tu craches dans ta main à quelques reprises pour bien te lubrifier avant de passer tes doigts contre sa fente pour en étaler un peu. Ensuite, tu t'enlignes d'une main, alors que l'autre se pose sur son épaule, pour te glisser entre ses chaires. Tu lui donnes le temps de s'habituer à ta présence pour commencer. Le plaisir se fait ressentir, enveloppé par cette chaleur humide. Chaleur qui te fait râler au fur et à mesure que tu as avancé avant de donner ce coup brusque sur les derniers centimètres.
C'est un mélange de douceur et de brutalité pour débuter… Mais il sait, oh, il sait que ta patience est mince dans ce genre d'interaction. Il sait qu'il va subir ton envie. Bien que ce soit le chanteur qui t'a demandé de venir le délivrer de son humeur.
Tes coups commencent de façon brutale… Tu le pilonnes à en faire claquer vos peaux, bruit qui s'abat facilement contre les murs de l'entrée pour revenir caresser vos oreilles. Un autre bruit caresse les tiennes, ses gémissements et ses cris. Plaisir exprimé si joliment par le chanteur que ça te fait frémir contre lui. Oh… Tu gémis toi aussi ton plaisir. Au bout de quelques minutes, tu fais glisser ta main droite contre son bras droit, atteignant son épaule pour ensuite monter jusqu'à ses cheveux. Tu les serres, ses cheveux, avant de tirer pour lui faire cambrer le dos. Mais soudain, tu te retires de lui. “On va trouver un endroit un peu plus confortable” que tu lui dis avec un sourire. Tu sais que ça va le frustrer.
Tu tires sur ta ceinture pour le faire bouger et tu l'emportes sur le canapé sur lequel tu le pousses pour l'y faire tomber. Ensuite, tu grimpes et reprends ta place entre ses chaires, après l'avoir positionné de façon à avoir une meilleure emprise. Tu commences tes coups de rein qui se veulent plus forts que tout à l'heure.