Gossip is the sound of jealousy ft. Elias & Vega

(#) par **Elias Solberg** Ven 19 Juil 2024 - 21:58

Tu gémis quand Vega fond sur toi et tu enroules tes jambes autour de ses hanches spontanément, habitué à cette position. Vos corps sont faits pour se trouver, pour s’emboîter. Il est juste assez grand pour ça. Assez fort. « Ce serait déjà fait si personne ne nous avait interrompu. » Tu lui souris largement et te laisses conduire jusqu’au bureau. Tu trouves ça très sexy, la façon dont Vega balaie tout ce qui le dérange pour t’y poser ensuite. Il se glisse entre tes jambes et tu sens son érection énorme contre la tienne. Tu soupires d’aise.

— Oh, chéri… Quoi, tu m'aurais pris dans les toilettes, comme un sauvage ?
« On devrait... » Ton cœur rate un battement… Mais Vega retire sa chemise, il te déshabille aussi. « Plus tard. » Tu acquiesces.

Plus tard.
Ou jamais.

Vous baisez tellement ces derniers temps que t’as même plus besoin de préparation. Un peu de salive sur sa queue suffit à lui permettre de glisser en toi sans te provoquer la moindre douleur, la moindre gêne. Rien que du plaisir à l'état pur. Il tape au fond et tu gémis plus fort.

— Vegaaa ! J’adore quand tu me prends comme ça !

T’adores tout ce qu’il fait mais votre échange a un côté sauvage, peut-être un brin désespéré aussi, tu t’en moques. Vous noyez vos problèmes dans le sexe et c'est pas si mal. Tu prends ton pied, cambré sur le bureau de Kai tes jambes autour de ses hanches, chevilles croisées dans son dos pour le garder prisonnier contre toi, en toi. Ton érection tressaute sur ton bas ventre, claque entre vous, au même rythme que ses cuisses sur tes fesses. Tu te contractes, haletant, les lèvres entrouvertes, ton piercing à la langue visible, tentateur.

T’as l’impression d’en avoir tout le temps envie. T’es insatiable et t’as même plus besoin qu’il allume la moindre flamme. Tu les vois danser dans le moindre de ses gestes. Il t’embrase tout entier, au sens propre comme au figuré, et t’as jamais autant pris ton pied que depuis que tu le connais. Dans ces moments-là, tu te demandes comment t’as pu prendre le risque de le perdre… et tu te rappelles que Marlon a un pouvoir similaire sur toi.

Ou celui de Vega est contagieux.

Qu’importe. Tu ne veux penser à rien d’autre. Alors tu vas chercher sa bouche, pour que vos langues aussi puissent danser.

@Vega Simmons

(#) par **Vega Simmons** Ven 19 Juil 2024 - 22:51

Gossip is the sound of jealousy

13 juillet 2024 | « Oh, chéri… Quoi, tu m'aurais pris dans les toilettes, comme un sauvage ? » Il sourit et passe sa langue sur ses lèvres, ses doigts en train de déboutonner sa chemise bien qu'il soit à deux doigts de faire sauter les boutons pour plus de rapidité. « Ose me faire croire que ça t'aurais pas aimé ça ? » L'endroit est plutôt clean, ça change des bars pourris qu'on peut retrouver en ville et puis, pour être honnête, Vega le prendrait peu importe l'endroit. Quand il a envie de lui, son corps est comme incapable de patienter. Il a besoin de retrouver le sien. De se fondre contre lui. En lui. Il a arrêté de chercher pourquoi il est à ce point insatiable. Pourquoi il a faim de lui, tout entier, tout le temps. Il n'a jamais été comme ça avec ses histoires passées mais Elias... Elias est spécial. Le bon, il en est persuadé.

Son érection glisse en lui dans un mouvement fluide et ses lèvres s'entrouvrent en voyant le plaisir prendre déjà place sur les traits du blond. « Vegaaa ! J’adore quand tu me prends comme ça ! » « J'aime te prendre dans toutes les positions, chéri... » Mais pouvoir faire face à ce regard sombre de désir, à cette bouche qui laisse échapper mille et un son qui le font frissonner et frémir, c'est mieux que tout.

Ses hanches viennent à la rencontre de ses fesses, son regard ne sait pas où se poser, sur son visage, sur sa queue entre eux, sur son corps en général, sur ou plutôt, dans sa bouche. Il le fait toujours exprès. Et quand sa langue vient se glisser contre la sienne, danser tout contre, ses mains le serre plus fermement contre lui, le levant légèrement du bureau alors qu'il ralentit ses coups de reins pour des coups plus violents et secs. « Je vais lui retourner son bureau, il est pas prêt. » Il ne va pas le reconnaître, risque de porter plainte pour... pour avoir saccagé ses affaires mais ça lui est complètement égal.

design ϟ vocivus // ft. @Elias Solberg

(#) par **Elias Solberg** Ven 19 Juil 2024 - 23:10

« Ose me faire croire que ça t'aurais pas aimé ça ? »
— Je n’essaierai même pas chéri.

Tu ne vas pas te voiler la face, t’aimes t’envoyer en l’air avec lui, peu importe l’endroit. Vous l’avez déjà fait dans sa caserne, à l’hôpital, vous l’auriez fait dans ton bureau si tu n’étais pas en arrêt maladie. Et voilà que vous le faites dans un autre bureau, celui de Kai, qui piquera probablement une crise en voyant son état, lui qui est si maniaque. Et tu dois avouer que ça t’excite un peu, comme perspective. T’es certain qu’il ne t’en voudra pas réellement et pas longtemps. Au pire, tu trouveras un moyen de te faire pardonner…

Tes pensées s’interrompent quand Vega te pénètrent. Tes neurones grillent. « J'aime te prendre dans toutes les positions, chéri... » Tu gémis. T’adores aussi, t’essaies même pas de le cacher ni même de te montrer discret. Personne ne peut vous voir ni vous entendre, alors tu peux gémir, tu peux haleter, tu peux même crier le prénom de ton amant. T’as jamais été silencieux comme garçon mais c’est encore pire avec Vega…

Et quand ta langue vient le provoquer, il te relève pour te punir en te donnant des coups de reins plus profonds, plus violents, tu renverses la tête en arrière en criant son prénom. Les décharges de plaisir te laissent pantelant. T'aurais pu jouir. Mais tu te retiens. « Je vais lui retourner son bureau, il est pas prêt. »
— Oh chéri je t’en supplie, laisse toi aller, tu m’excites tellement quand tu perds le contrôle… J’adore, j’adore, encore !!

Et t’as pas de problèmes à le supplier, à réclamer, au contraire. Tu sens la montée violente du désir de Vega pour toi et ça ne fait que renforcer le sien. Tu t’accroches à lui mais t’as même pas besoin, il a tellement de force dans les bras, dans le corps tout entier, qu’il te manipule comme un rien alors que tu n’es pas un si petit gabarit.

Si parfait.

Vous allez démonter cette pièce. T’aurais presque de la peine pour Kai, si c’était pas aussi orgasmique.

@Vega Simmons

(#) par **Vega Simmons** Ven 19 Juil 2024 - 23:50

Gossip is the sound of jealousy

13 juillet 2024 | « Je n’essaierai même pas chéri. » Parce qu'il sait que c'est inutile. Ce n'est pas comme si ils n'avaient jamais fait ça ailleurs que chez eux. Leur liste de lieux insolites s'allongent lentement mais sûrement et c'est loin de lui déplaire. C'est loin d'être quelque chose qu'il s'était imaginé faire un jour, au cours de sa vie, mais il y a tout un tas de choses qu'il n'avait pas anticipé avant d'être avec Elias. Il a donné un coup de frais en débarquant... ou un coup de chaud. Un sacré, même. Un coup de chaud auquel il est rapidement devenu accro.

Le plaisir se décuple dès qu'il se glisse en lui et il a pour objectif de le faire gémir, crier, se tordre, de plus en plus. Peu difficile, il se cambre à chaque coup de reins, floute son propre regard de désir tant il est indécent, comme ça. Bouffé par tout ce bien-être qui le submerge. Et être raisonnable commence à lui demander un bon nombre d'effort qu'il a de moins en moins envie de faire. « Oh chéri je t’en supplie, laisse toi aller, tu m’excites tellement quand tu perds le contrôle… J’adore, j’adore, encore !! » Et Elias n'aide pas, à l'encourager de la sorte. Ou plutôt si, il aide beaucoup. Son endurance est revenue, Dieu merci et quand il le repose sur le bureau, ses mains viennent se poser sur le bureau, le maintenant en place - ou essayant de le maintenir en place - alors qu'il le pilonne rapidement, ses lèvres sur les siennes, tout en ignorant le bruit des tiroirs qui s'ouvrent sous les coups qu'il donne pour buter au fond de lui.

« Regarde-toi... » Il ne peut pas se regarder mais s'il se voyait. Il est encore plus bandant qu'à la caserne, quand il l'a prit face au miroir. Encore plus bandant que d'habitude, et c'est pourtant difficile de dépasser toutes les stades par lesquels il est déjà passé. Il écarte les quelques mèches qui lui collent au front avant de poser la main dans sa nuque pour l'embrasser langoureusement, gémissant son plaisir dans sa bouche tandis qu'il sent qu'il approche. Même avec toute la bonne volonté du monde, il est incapable de tenir des heures, et Dieu sait qu'il aimerait.

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(#) par **Elias Solberg** Sam 20 Juil 2024 - 0:23

Et de fait, vous démontez la pièce à commencer par le bureau. Les coups de reins violents de Vega, qui te tirent des cris d’extase, font bouger le meuble retenu par le pompier et donc, ouvrent les tiroirs dont le contenu saute en partie au sol. Règle numéro 1 : des tiroirs fermés à clé. T’aimerais presque que le bois cède sous toi, même si tu risques de te faire mal dans le processus, rien que pour la fierté d’être parvenu à démonter ce bureau qui a du en voir passer, des parties de jambe en l’air. « Regarde-toi... »

— Regarde moi chéri, regarde ce que tu me fais…

Tu halètes cette phrase, tu la gémis et tu te sens jouir sur la dernière syllabe. T'as insisté sur le tu, presque désespérément. Tu gicles férocement entre vous, tu salis ton ventre et le sien, alors que lui se laisse aller entre tes fesses après t’avoir embrassé langoureusement. Baiser que tu lui rends. T’aimes qu’il finisse toujours après toi -sauf à l’hôpital- parce qu’il accompagne ton orgasme et le prolonge avec une telle intensité…

Tu te laisses tomber en arrière sur le bureau, ton cœur tambourine dans ta poitrine et tu souris largement, haletant.

— Ah chéri, je pourrais faire ça toute la journée, toute la nuit, toute la journée suivante… Tu me rends insatiable.

Et toi aussi. Vega te l’a déjà soufflé quelques fois pendant vos échanges endiablés. Tu transformes ce gentil garçon en bête. T’es le pire. Tu soupçonnes un peu qu’inconsciemment, Vega ait tout le temps envie de toi par crainte que, s’il ne te satisfait pas suffisamment, tu risques encore de le tromper mais tu essaies de ne pas y penser sous ce prisme. Tu ne veux tellement pas avoir cette discussion… T’es heureux dans ton déni.

— Je t’aime.

Et ça suffit. Ça suffit. On s’aime et tout va bien.

@Vega Simmons

(#) par **Vega Simmons** Sam 20 Juil 2024 - 1:39

Gossip is the sound of jealousy

13 juillet 2024 | Il ne fait pas attention aux papiers qui s'échappent des tiroirs, ne fait attention à rien si ce n'est Elias, pantelant, gémissant et au bord de l'orgasme. Elias qui le rend fou. Fou de tout, fou d'amour et pour qui il n'a pas envie de ralentir le rythme, pour qui il ferait bien trop de chose, pour qui il accepterait un tas d'autres choses, aussi, si c'est pour le voir heureux et le sentir aussi bien.

« Regarde moi chéri, regarde ce que tu me fais… » Il gémit et se penche pour embrasser - ou plutôt dévorer - son cou, se délectant des gémissements qui lui échappe et de son corps qui se tend contre le sien alors qu'il se met à gicler sur leurs torses, juste avant qu'il n'en fasse de même, en lui. « Ce qu'on se fait. » Parce qu'il n'est pas en reste non plus. Ils fonctionnent si bien, tous les deux...

Vega sourit en le voyant s'allonger sur le bureau et ses mains remontent sur ses cuisses. « Ah chéri, je pourrais faire ça toute la journée, toute la nuit, toute la journée suivante… Tu me rends insatiable. » Le pompier se penche sur son torse pour y laisser traîner la langue, récupérant sa semence sur celle-ci en soupirant. « C'est pas ton anniversaire mais je peux quand même te faire ta fête toute la nuit, et toute la journée, et... ainsi de suite. » Ce sera toujours l'anniversaire de quelqu'un à fêter dans le monde, après tout. Pas comme si ils avaient besoin de cette excuse là pour se faire du bien, cela dit.

« Je t’aime. » Ses lèvres s'étirent et il remonte jusqu'à son visage pour l'embrasser plus tendrement. « Je t'aime encore plus. » Son nez se frotte contre le sien et il doit se résoudre à se retirer, même si l'idée de lui faire passer un second moment charnel tout de suite soit des plus tentantes. « Cette soirée est super et j'adore la façon dont on la rendu encore meilleure mais j'avoue que j'adorerai pouvoir être au lit avec toi. » Pouvoir le serrer dans ses bras de façon confortable après tout ça, le câliner, que leurs mains viennent se titiller innocemment jusqu'à faire remonter lentement mais sûrement la température. Remettre le couvert, encore, encore et encore, jusqu'à ne plus en pouvoir.

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(#) par **Elias Solberg** Sam 20 Juil 2024 - 8:20

« Ce qu'on se fait. » Oui, ce que vous vous faites. Parce que tu as une influence sur ce si gentil garçon. Tu le rends affamé, tu le rends jaloux, tu profites ~~malgré toi~~ de son bon fond. Et au lit, tu le dépraves un peu plus chaque fois, depuis la toute première…

Allongé sur le bureau, tu te mordilles la lèvre en le voyant se pencher pour lécher la semence égarée sur ton torse. Tu soupires d’aise. « C'est pas ton anniversaire mais je peux quand même te faire ta fête toute la nuit, et toute la journée, et... ainsi de suite. » Et cette proposition récolte un « je t’aime », parce que c’est ce qu’elle mérite, en plus d’un oui bon sang oui. Tu le laisserais faire, tu finirais incapable de marcher, cloué dans votre lit comme ça t’es arrivé une fois ou deux depuis ta sortie d’hôpital. Et ce serait merveilleux, parce que vous n'auriez toujours pas besoin de parler. Juste de profiter.

« Je t'aime encore plus. » Tu geins de frustration en le sentant se retirer après cette réponse. C’est d’une cruauté sans nom. « Cette soirée est super et j'adore la façon dont on la rendu encore meilleure mais j'avoue que j'adorerai pouvoir être au lit avec toi. »

— Tu veux dire exactement comme ces deux dernières semaines, hormis pendant tes gardes ? Tu pouffes. Et encore, je suis certain que tu pensais à moi en intervention.

Oups, te voilà en train de dériver un peu trop loin. Tu te mordilles la lèvre pour revenir dans le présent, loin des incendies ravageurs, loin des palpitations provoquées par autre chose que Vega. Vega qui n’est qu’une personnification de ton obsession.

— Je suis certain qu’on peut foutre encore un peu le bazar dans ce bureau. Je lui laisserai un mot pour lui dire de prendre ça comme un avertissement s’il fait du mal à Darcy. Il ne pourra pas m’en vouloir. Je suis machiavélique.

Tu imites un faux rire de méchant puis viens suçoter la lèvre inférieure de Vega, en tirant gentiment dessus avant d’y passer ta langue, de laisser ton piercing la toucher.

— Chéri, je suis tout sale… Si tu veux qu’on rentre il faudrait que tu me nettoies un peu…

Et tu le regardes, brûlant.
Insatiable.

@Vega Simmons

(#) par **Vega Simmons** Sam 20 Juil 2024 - 12:25

Gossip is the sound of jealousy

13 juillet 2024 | « Tu veux dire exactement comme ces deux dernières semaines, hormis pendant tes gardes ? Et encore, je suis certain que tu pensais à moi en intervention. » Le regard de Vega se fait appuyé, parce qu’il sait ce qu’il se passe dans sa tête et que son obsession déteint légèrement sur le pompier. Parce qu’il pense à lui dès qu’il entrevoit une flamme, il pense au fait que ça l’excite dangereusement et à quel point, lui, ça l’excite de le voir aussi demandeur. « Je pense toujours à toi, chéri. » Et c’est une réalité, il ne quitte jamais ses pensées. Il est amoureux, totalement accro à Elias et à tout ce qu’ils partagent, même si certaines de ses propres paroles lui reviennent parfois inlassablement en mémoire, malgré les je t’aime du blond. Mais il se refuse à y penser. Pas maintenant. Plus tard. Toujours plus tard.

« Je suis certain qu’on peut foutre encore un peu le bazar dans ce bureau. Je lui laisserai un mot pour lui dire de prendre ça comme un avertissement s’il fait du mal à Darcy. Il ne pourra pas m’en vouloir. Je suis machiavélique. » Son regard se pare d’un amusement qu’il peine à cacher, suivi d’un rire face à celui qu’Elias laisse entendre. « Ce serait crédible si tu n’étais pas totalement nu, allongé sur ce bureau. » Mais cette vision lui plaît. Lui fait un bien fou et il fond contre sa bouche, se laissant torturer la lèvre en frissonnant.

« Chéri, je suis tout sale… Si tu veux qu’on rentre il faudrait que tu me nettoies un peu… » Il gronde un peu contre lui, attrapant un violent coup de chaud alors que sa langue se met à glisser sur sa peau, même là où ce n’est pas nécessaire. Il récupère tout le foutre pèsent sur son abdomen, continuant de descendre pour sucer son érection légèrement moins dure mais pas moins délicieuse. « Je ferai des sessions ménage comme ça tous les jours. » Et c’est un peu ce qui se passe, en ce moment. Il lappe une dernière fois son gland et s’accroupit pour lui relever les jambes, embrassant ses fesses. « J’ai pas eu le temps de lui dire qu’on allait pas avoir besoin de ses mouchoirs… » Parce que sa propre langue suffit. Il vient la faire traîner contre son entrée, récupérant sa semence qui s’est déjà mise à couler, son souffle se mettant à accélérer rapidement.

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(#) par **Elias Solberg** Sam 20 Juil 2024 - 21:05

« Je pense toujours à toi, chéri. » Tu souris, heureux, comblé. Tu aimes lui provoquer un tel effet, ça t’enivre autant que ça te culpabilise parce que tu sens qu’il pense toujours à toi dans tous les sens du terme… Et tu ne mérites pas un tel dévouement. Peu importe tes propres sentiments.

Alors tu proposes de foutre le bazar dans le bureau, d’empirer la situation, déjà amusé par la réaction de Kai. Au moins, vous laisserez une trace mémorable dans certains esprits.

« Ce serait crédible si tu n’étais pas totalement nu, allongé sur ce bureau. »
— Je ne vois pas en quoi c’est incompatible.

Tu sembles presque innocent, tu l’aurais été si tu n’étais pas occupé à l’allumer en lui demandant de te nettoyer. Tu frissonnes en l’entendant gronder, t’es accro à ce son, presque autant qu’à cette langue qui vient lécher le foutre égaré, qui vient sucer ton érection dans laquelle le sang se précipite sous le coup du plaisir. Tu serais capable de repartir tout de suite tellement t'es sous tension perpétuelle.

« Je ferai des sessions ménage comme ça tous les jours. »
— J’aime ton sens de la propreté chéri.

Tu te mordilles la lèvre, en haletant et tu gémis carrément quand il vient te nettoyer entre les fesses.

« J’ai pas eu le temps de lui dire qu’on allait pas avoir besoin de ses mouchoirs… »
— Pour un homme qui baise autant, il manque d’imagination…

S’il pensait que vous auriez besoin de mouchoirs. Mais on ne lèche pas le foutre des inconnus, quand on a deux sous de jugeotte… Quoi qu’il en soit, tu lèves tes hanches pour faciliter le passage de Vega entre tes fesses et te laisses aller en arrière, appuyé sur tes coudes, avant d’enrouler tes jambes autour de sa tête, finalement.

— Oh chériiii insiste bien là, c’est tellement sale avec tout ce que tu lui mets…

Et tout ce que tu prends, même si tu ne devrais pas te laisser parasiter par cette pensée. Elle est là, insidieuse, et tu te demandes si Vega y pense aussi ou s'il ne se prend pas autant la tête que toi. Dans le doute, tu rajoutes :

— T'as envie que je vienne te nettoyer aussi ?

Tu sors ta langue et en agite la pointe, ton piercing visible, pour le tenter.

@Vega Simmons

(#) par **Vega Simmons** Sam 20 Juil 2024 - 21:52

Gossip is the sound of jealousy

13 juillet 2024 | « Je ne vois pas en quoi c’est incompatible. » Ca ne l'est pas, c'est vrai, mais Vega n'est pas en position de chercher quelle farce faire, ni à quel meuble déranger pour titiller la maniaquerie de l'hôte de ce soir. Il prend bien plus de plaisir à faire traîner sa langue sur son corps, insistant du bout de celle-ci sur des zones qui n'ont même pas été impactées par sa jouissance, simplement pour le plaisir de pouvoir sentir la saveur de sa peau titiller ses papilles.

« J’aime ton sens de la propreté chéri. » Et il s'applique tout particulièrement quand il vient s'occuper de son entrée, soupirant à l'entente de son gémissement. Ou comment lui donner envie de continuer, plus rapidement, plus longtemps... « Pour un homme qui baise autant, il manque d’imagination… » Vega s'arrête deux secondes pour pouffer et lui mordre la cuisse, relevant les yeux vers lui. « Tout le monde ne peut pas être à ta hauteur, chéri. » Il manque cruellement d'objectivité mais il trouve quand même qu'ils n'en manquent pas, quand ils le veulent.

Bref. Le pompier reprend ce qu'il était en train de faire, grognant quand il sent ses jambes s'enrouler autour de sa tête et ses mains viennent se refermer sur ses cuisses, y plantant les doigts pour l'empêcher de bouger. « Oh chériiii insiste bien là, c’est tellement sale avec tout ce que tu lui mets… » Sa langue se veut plus rapide et il se retrouve littéralement à le dévorer, ni plus ni moins. « On est pas prêts de rentrer... » Il souffle ça contre lui mais il sait qu'il l'a entendu. En même temps, c'est loin d'être un secret. Ils sont difficilement arrêtables quand ils s'y mettent.

« T'as envie que je vienne te nettoyer aussi ? » Est-ce qu'il est capable de la voir, la flamme de désir qui fait scintiller son regard dès qu'il sort la langue, comme ça ? Dès qu'il l'aguiche avec son piercing, parce qu'il sait à quel point il peut y être sensible ? « Laisse moi juste... » Il le lâche d'une main pour glisser deux doigts en lui en se relevant, approchant son visage du sien pour venir entourer sa langue de ses lèvres. « Terminer ça. Te terminer, encore une fois... » De toutes les personnes présentes, aucun doute qu'ils sont ceux qui s'amusent le plus.

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(#) par **Elias Solberg** Sam 20 Juil 2024 - 22:10

« Tout le monde ne peut pas être à ta hauteur, chéri. »
— Flatteur va.

Et généreux avec ça… T’en viens à le supplier d’insister entre tes fesses et quand il te dévore tu commences à gémir bien plus fort, presque à crier. « On est pas prêts de rentrer... » Ça, tu l’entends.

— On est très bien ici.

Tu sens le plaisir monter, ton érection est bien revenue. T’es de nouveau excité comme s’il ne venait pas de te tirer un orgasme monstrueux en te baisant sur ce bureau. T’as si faim que tu ne peux pas t’empêcher de l’aguicher. « Laisse moi juste... » Tu te cambres en sentant ses doigts en toi, sa bouche sur ta langue. « Terminer ça. Te terminer, encore une fois... » T’essaies de le supplier d’y aller, de ne surtout pas arrêter, mais il tient ta langue et tu peux juste couiner pendant qu’il s’occupe de toi avec ses doigts, en venant caresser directement ta prostate, te laissant pantelant, brulant, offert et magnifique dans le plaisir que tu prends. L’orgasme te balaie si rapidement… Tu cries son prénom.

— Oh Vegaaaaa j’adore quand tu fais ça chéri… T’es… merveilleux…

Si doué avec toutes les parties de son corps. T’en bave presque. Il te met dans un tel état, c'est indécent...

— Laisse moi te rendre la pareille.

Même si t’as du mal à bouger, tellement ton orgasme a été violent. En fait, t’as pas envie qu’il retire ses doigts de toi alors tu l’attires et le guide pour qu’il se couche sur le bureau, toi au-dessus de lui, tes fesses et ta queue tournés vers son visage pendant que tu viens t’emparer de son érection. T'es parvenu à faire tout ça sans que ses doigts ne quittent tes fesses et tu t'en réjouis. Certes, dans cette position, tu ne peux pas le provoquer du regard mais il sent bien ton piercing caresser toute sa longueur et toi, tu peux encore profiter de ses doigts, de sa bouche, tout le monde y gagne.

Tout en le suçant avec des mouvements de va et vient gourmands, tu masses ses bourses d’une main et caresse l’intérieur de ses cuisses de l’autre.

@Vega Simmons

(#) par **Vega Simmons** Sam 20 Juil 2024 - 22:48

Gossip is the sound of jealousy

13 juillet 2024 | « Flatteur va. » Vega secoue la tête négativement. « Réaliste. » Mais il se tait quand Elias le supplie d'insister sur ce qu'il fait et il ne peut que lui donner ce qu'il veut quand il gémit de cette façon, quand il en a besoin. Quand il le sent aussi demandeur entre ses mains, contre sa langue. « On est très bien ici. » Il ne va pas le contredire, pas même s'il rêvait d'être dans leur lit il y a à peine quelques minutes. Non, là, il n'y pense plus, ne pense qu'à le bouffer et ses réactions lui provoquent un nombre incalculable de sensations, autant au creux du ventre qu'entre les jambes où son érection est revenue, prête.

Il glisse ses doigts en lui et lui chope la langue, la suçant alors que son regard ne quitte pas le sien quand son plaisir grimpe au point de le faire jouir une nouvelle fois. Elias en plein orgasme fait parti de ses images préférés. « Oh Vegaaaaa j’adore quand tu fais ça chéri… T’es… merveilleux… » Et lui, il adore quand il prononce son prénom de cette façon, quand son corps répond au sien exactement comme il vient de le faire. « Laisse moi te rendre la pareille. » Et il se laisse manipuler pour grimper avec lui sur le bureau, s'allongeant sous son corps et un sourire étire ses lèvres quand il comprends ce qu'il fait.

Un profond gémissement lui fait rejeter la tête en arrière quand sa langue glisse sur sa queue et il continue de faire bouger ses doigts en lui, redescendant légèrement de sorte à pouvoir laper son érection, récupérant la moindre trace de foutre qui pourrait y rester encore. « J'aime quand t'es affamé comme ça, chéri... » Il relève les hanches de temps en temps, venant buter au fond de sa gorge alors que sa main libre vient claquer ses fesses, l'empoignant légèrement pour attirer son cul jusqu'à sa bouche après avoir retiré ses doigts. Il a jouit il y a à peine quelques minutes, ne s'attends pas à ce qu'il le refasse dans la seconde mais qu'il lui rende la pareille ne doit pas l'empêcher de continuer à le goûter de sa langue, même si il peine de plus en plus à rester concentré sur ce qu'il fait. « Putain, Eliaaas... » Son prénom se veut plus rauque quand il s'enfonce une nouvelle fois dans sa bouche, giclant à l'intérieur de celle-ci après seulement plusieurs minutes de fellation mais merde, il est beaucoup trop doué pour qu'il résiste. Surtout qu'il le connaît, sait où insister, sait quand il approche de l'orgasme, sait... Sait, tout simplement. « Tu me suces si bien. » Si seulement il n'y avait que ça, qu'il faisait aussi bien.

design ϟ vocivus // ft. @Elias Solberg

(#) par **Elias Solberg** Sam 20 Juil 2024 - 23:06

« J'aime quand t'es affamé comme ça, chéri... » Une chance pour toi parce que tu l’es tout le temps, sans arrêt, depuis deux semaines et déjà avant ça… Tu devrais en parler au psy avec lequel tu as rendez-vous la semaine suivante pour la première fois, parce que ça ne doit pas être normal un tel pic de libido pour quelqu’un qui n’y est pas habitué… Mais franchement, tu ne te plains pas. Tu adores être dans cet état, tu adores susciter le désir chez Vega, tu adores absolument chaque seconde de cet échange.

Et tu adores le sucer, bien sûr, tu t’appliques et tu aimes qu’il vienne buter de lui-même au fond de ta gorge. C’est délicieux. « Putain, Eliaaas... » Ça aussi, ça l’est. L’entendre gémir ton prénom, juste avant de gicler en toi au bout de plusieurs minutes de ce traitement. C’est vrai que t’es doué et surtout, que tu commences à connaître son corps par cœur, à savoir de quelle manière le faire décoller, comment ralentir le rythme pour entretenir la chaleur…. « Tu me suces si bien. »

Tu te redresses après avoir avalé le fruit de sa jouissance. Tu tournes la tête pour le regarder avec un sourire brûlant.

— Je sais chéri, je m’applique. J’ai encore le cul brûlant pour toi… Tu veux bien me finir avec ta bouche ?

Tu demandes avec une petite moue suppliante, en te mordillant la lèvre, et tu obtiens ce que tu veux. Vous êtes l’un comme l’autre obsédé par l’idée de donner du plaisir, alors ça peut durer longtemps pour que les compteurs soient « à égalité » même si, objectivement, t’es souvent le grand gagnant dans l’histoire parce que Vega est plus obstiné que toi sur la question. À califourchon sur sa bouche, tu laisses sa langue agir entre tes fesses jusqu’à jouir encore. T’as presque plus rien à gicler mais peu importe. Tu prends ton pied, c’est ce qui compte.

Et là, seulement là, tu te laisses aller, languissant, en t’allongeant près de lui sur le bureau ravagé.

— Qu’est-ce que ce sera quand on sera vraiment à mon anniversaire ?

Tu ris doucement et ferme les yeux contre son torse. Voilà pourquoi c’est mieux dans un lit…

@Vega Simmons

(#) par **Vega Simmons** Sam 20 Juil 2024 - 23:36

Gossip is the sound of jealousy

13 juillet 2024 | Voir son visage, cet air à semi-rassasié sur ses traits, ça n’a pas de prix et ça le fait sourire, alors qu'il est encore dans les vapes de l'orgasme qui vient de le frapper. « Je sais chéri, je m’applique. J’ai encore le cul brûlant pour toi… Tu veux bien me finir avec ta bouche ? » Et il le sent, brûlant. Il sent à quel point il a encore chaud sous ses gestes. Il sent comme son cul le réclame et il n’a pas besoin de lui répondre verbalement, parce que sa langue est déjà dehors, en action, à glisser entre ses fesses pour le faire gicler une enieme fois. Comment ce bureau tient ? Comme se fait-il qu’il n’a pas pris feu sous eux ? Sous la chaleur ambiante de cette pièce qui doit sentir le sexe à plein nez. Vega ne s’arrête pas jusqu’à le sentir se contracter contre sa langue et ses mains remontent dans son dos durant toute la durée de sa jouissance.

Ça devrait être puni, interdit même, d’être aussi excitant. D’être aussi beau après voir pris son pied mais il se sent chanceux, encore plus quand Elias vient se glisser contre lui sur ce lit de fortune et que son bras vient entourer son corps pour le coller au sien, se fichant bien du fait qu’ils soient moites de leurs ébats. « Qu’est-ce que ce sera quand on sera vraiment à mon anniversaire ? » Son torse est secoué d’un rire et il fixe le plafond, pensif. Ils ont le temps avant que ce jour arrive mais ce n’est pas un mal, ça lui laisse l’occasion de planifier ça de la meilleure des façons, excluant le fait qu’il puisse y avoir de possibles obstacles. Ce sera pour plus tard. « Je te promet de faire encore mieux ce jour là. Une soirée… non, une journée, où je ne ferai que m’occuper de toi. Des orgasmes à répétitions. » Et probablement plusieurs jours de repos par la suite pour se remettre de tout ça mais ça en vaudra la peine. Dans sa tête, en tout cas, ça vaut le coup.

Mais là… il s’endormirait bien. Juste une petite sieste, micro sieste, sauf que… « Je me déteste de casser l’ambiance mais je nous sens à deux doigts de sombrer alors je te propose de rentrer histoire de ne pas avoir mal au dos en plus d’avoir mal à la queue et au cul. » Cette pièce manque clairement de confort pour les invités. Il ira mettre une note sur la page Google du Witness. ~~Ou pas~~.

design ϟ vocivus // ft. @Elias Solberg

(#) par **Elias Solberg** Dim 21 Juil 2024 - 0:11

Vous êtes là, à envisager des projets d’avenir sur plusieurs mois. À parler de ton prochain anniversaire, dans plus de neuf mois, comme si… comme si rien ne risquait d’obscurcir le tableau. Comme si aucune ombre ne planait sur vous. Mais t’as envie de continuer à te voiler la face alors tu le laisses te parler de ses projets et tu te mets à rêver qu’il puisse les réaliser. « Je te promet de faire encore mieux ce jour là. Une soirée… non, une journée, où je ne ferai que m’occuper de toi. Des orgasmes à répétitions. » Tu soupires d’aise contre lui, ton imagination dérive et tu sens que tu es parti pour faire de beaux rêves. T’es tout languissant contre lui, tu geins quand il essaie encore de te faire bouger : « Je me déteste de casser l’ambiance mais je nous sens à deux doigts de sombrer alors je te propose de rentrer histoire de ne pas avoir mal au dos en plus d’avoir mal à la queue et au cul. » Tu pouffes de rire.

— D’ici à ce qu’on rentre, le coup de fatigue sera passé chéri… Par contre on peut dormir dans son canapé, un peu ? Il va piquer une crise si on le tache. Ou s’il nous retrouve à poil dedans.

Et tu ricanerais bien, diabolique, si t’étais pas aussi… vidé de toute énergie. Dans le bon sens du terme. Tu adores cette sensation, dans ce cadre-là. Le bruit blanc dans ton cerveau, l’impression d’avoir été soulagé de la moindre tension.

— Je ne me lasse pas de ça…

Tu murmures en te blottissant davantage contre son corps plaqué de sueur et de vos fluides, un bras en travers de son ventre musclé. T’es accro et dans ces moments-là, tu ne peux pas t’empêcher de te demander comment tu as pu tromper un homme pareil.

Mais vous n’en parlerez pas.
Pas ici.
Jamais.

@Vega Simmons

(#) par Contenu sponsorisé

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