you better not be late - laurie
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you better not be late - laurie
you better not be late
feat. @laurie reyes
tw: achat de drogue.
rendez-vous convenu au préalable avec ton dealer, dimanche nuageux où tu es resté chez toi jusqu'à ce soir. quelques temps, déjà, que tu te fournis auprès de laurie, même si, plus tu le vois, moins tu arrives à le cerner. il reste plutôt accommodant, et c'est surtout ce qui te plaît chez lui, la raison pour laquelle tu continues de lui envoyer des messages pour que tu puisses lui acheter ce dont tu as besoin. même si, au final, la raison principale reste que tu ne connais personne d'autre qui propose tout ce que tu cherches, en parlant de drogue.
vêtements simples que tu as enfilés, discret pour ne pas attirer l'attention, et par flemme surtout. jogging, tee-shirt, tu n'as pas besoin de t'apprêter plus que ça, en réalité. l'heure approchant, tu es sorti de chez toi pour te diriger vers le port de plaisance, là où tu le rencontres habituellement, pour ne pas changer. ponctuel, si tu ne l'es avec personne, laurie est bien l'exception qui confirme la règle. la dernière chose dont tu as envie, avec l'homme, c'est de t'attirer des ennuis.
et même en avance, pour une fois, tu te postes sous un lampadaire éclairant les bateaux et l'eau en contrebas, celui sous lequel vous vous rencontrez toujours. le port est calme, mis à part quelques badauds qui traînent et des propriétaires de péniche. tu n'as pas peur, pas du tout, tu as seulement l'appréhension que laurie te demande plus d'argent que tu n'en as, comme la dernière fois où il t'avait dit que tu lui devais plus que ce dont tu te souvenais. c'est récurrent, avec ton dealer, qu'il embrouille ton esprit déjà confus, mais tu te plies toujours à ses exigences.
dernier coup d'œil à l'écran de ton smartphone, tu ne t'impatientes pas encore. tu le remets dans ta poche, et tu te contentes d'attendre, regardant dans la direction par où laurie arrive toujours. transaction banale, en général, elles ne durent pas bien longtemps, et tu as hâte de pouvoir rentrer chez toi afin de consommer ce que tu lui auras acheté.
tu piétines un peu, en attendant, soupir qui franchit tes lèvres en même temps que tu vérifies, dans tes poches, que tu as bien les billets nécessaires. il ne devrait plus tarder, de toute façon.
(c) Niagara (fiche) ;
tw: achat de drogue.
rendez-vous convenu au préalable avec ton dealer, dimanche nuageux où tu es resté chez toi jusqu'à ce soir. quelques temps, déjà, que tu te fournis auprès de laurie, même si, plus tu le vois, moins tu arrives à le cerner. il reste plutôt accommodant, et c'est surtout ce qui te plaît chez lui, la raison pour laquelle tu continues de lui envoyer des messages pour que tu puisses lui acheter ce dont tu as besoin. même si, au final, la raison principale reste que tu ne connais personne d'autre qui propose tout ce que tu cherches, en parlant de drogue.
vêtements simples que tu as enfilés, discret pour ne pas attirer l'attention, et par flemme surtout. jogging, tee-shirt, tu n'as pas besoin de t'apprêter plus que ça, en réalité. l'heure approchant, tu es sorti de chez toi pour te diriger vers le port de plaisance, là où tu le rencontres habituellement, pour ne pas changer. ponctuel, si tu ne l'es avec personne, laurie est bien l'exception qui confirme la règle. la dernière chose dont tu as envie, avec l'homme, c'est de t'attirer des ennuis.
et même en avance, pour une fois, tu te postes sous un lampadaire éclairant les bateaux et l'eau en contrebas, celui sous lequel vous vous rencontrez toujours. le port est calme, mis à part quelques badauds qui traînent et des propriétaires de péniche. tu n'as pas peur, pas du tout, tu as seulement l'appréhension que laurie te demande plus d'argent que tu n'en as, comme la dernière fois où il t'avait dit que tu lui devais plus que ce dont tu te souvenais. c'est récurrent, avec ton dealer, qu'il embrouille ton esprit déjà confus, mais tu te plies toujours à ses exigences.
dernier coup d'œil à l'écran de ton smartphone, tu ne t'impatientes pas encore. tu le remets dans ta poche, et tu te contentes d'attendre, regardant dans la direction par où laurie arrive toujours. transaction banale, en général, elles ne durent pas bien longtemps, et tu as hâte de pouvoir rentrer chez toi afin de consommer ce que tu lui auras acheté.
tu piétines un peu, en attendant, soupir qui franchit tes lèvres en même temps que tu vérifies, dans tes poches, que tu as bien les billets nécessaires. il ne devrait plus tarder, de toute façon.
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“you wish to be a poet; you wish to be a lover. but the splendid clarity of your intelligence, and the remorseless honestly of your intellect bring you to a halt.”
the waves
sagelie forever
rare mais ridicule
- Charlie Collins
- Pseudo : princesse
Date d'inscription : 27/08/2024
Date de naissance : 21/04/2001
Faceclaim : Landon Barker
Crédit : (av)nao + (gif)pinterest
Messages : 433
RPs : 45
Âge : 23 printemps maintenant fêtés, 21 avril 2001
Côté coeur : pas de chance de ce côté là, relations qui ne durent pas, tu as pourtant le cœur et la tête occupés à penser à Sage
Job : simple vendeur, tu passes ton temps libre à travailler au h&m de la ville, passion pour la mode qui te poursuit, avec tes études dans ce même domaine.
Adresse : 07, fremont. toujours chez ton père et ta belle-mère, tu espères pouvoir leur soutirer un peu d'argent pour te prendre un studio pas loin de ton boulot.
Famille : parents divorcés, tu as décidé d'habiter avec ton père, ta sœur et ta belle-mère. ce n'est que maintenant que tu as découvert que tu avais une demi-sœur, cissy, fruit d'une relation adultérine entre ton père et une mystérieuse femme.
Trigger warning : trigger : à discuter ; warning : divorce, tromperie, adhd, drogues, alcool, relation toxique
- silent waves, loud thoughts
Re: you better not be late - laurie
you better not be late
8 SEPTEMBRE 2024 | « Tu n'es rien d'autre qu'un sale enfoiré ! » Ses yeux s'ouvrent plus grand sous la
L'un d'eux vient s'adresser à lui pour des informations, savoir ce qu'il s'est passé. Comprendre cette agression. Il n'a aucune idée de pourquoi tout le monde semble si naïf à chaque fois qu'il est question de sa propre personne mais il ne s'en plaindra jamais, au contraire. « Je suis un peu choqué, il est sorti de nulle part et... demandez à la dame, juste là, elle a tout vu. » C'est faux, elle n'a même probablement pas entendu ce qu'ils se sont racontés. « Je pense que je suis encore sous le coup de l'émotion mais... écoutez, il a vraisemblablement trop bu ou fumé... » Il le murmure, comme si il s'agissait d'un secret d'état. « Je ne désire pas porter plainte, d'autant plus que j'ai des choses à faire. Ma femme m'attends pour dîner, on a notre anniversaire à fêter. » Il n'a ni femme, ni repas de prévu. Il pourrait retrouver Billie et en faire son dîner mais... peut-être plus tard. Là, les affaires l'attendent et pas n'importe lesquelles.
_____
La faible luminosité du port l'accueille et il sourit face au calme qui l'entoure, au léger bruit de l'eau qui vient frapper contre les quelques bateaux qui se trouvent à quai. Il pourrait voguer ici et là pour les observer, rêver. Il pourrait s'en offrir un, même. Être dans l'excès, encore et toujours. Céder à sa folie, dilapider de l'argent comme s'il jetait des miettes de pain à des pigeons affamés au parc, mais non.
Son regard l'intercepte alors qu'il bouge, semble peiner à rester en place. Est-ce qu'il s'impatiente ? A quoi est-ce qu'il pense ? Il adorerait être dans sa tête. Ou une petite souris pour voir s'il marmonne à son sujet. Ou juste lui faire peur en courant dans ses jambes. Oh, il adorerait ça. Il ricane aux images qui se dessinent dans son esprit et, les mains dans les poches, les doigts qui palpent ce qu'il est venu à l'intérieur de son pantalon, il s'approche, l'air sérieux. « Hé bien, heureusement que j'ai décidé de faire le tour du port, j'aurais pu attendre encore longtemps de l'autre côté. Je te l'ai dit, l'autre jour : ne pas toujours se retrouver au même endroit est important. C'est suspect. Des gens vivent dans ces bateaux, ils peuvent alerter les autorités s'ils voient toujours les mêmes personnes au même endroit. » Il n'a jamais rien dit de tout ça, évidemment, mais c'est la vérité et c'est pour ça que c'est plausible. « En revanche, j'espère que tu n'as pas oublié ce dont on a parlé la dernière fois. » Il penche légèrement la tête en le fixant, le regard planté dans le sien. Il attend. Il va le voir réfléchir, chercher à se souvenir de ce dont ils ont parlés... alors qu'ils n'ont parlés de rien du tout. Laurie s'est découvert un attrait pour ce garçon, s'amuser de lui. L'embrouiller, l'arnaquer. Jouer de cette peur qu'il a à son égard, sans qu'il comprenne pourquoi. Il est pourtant accueillant.
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Pâques 2024
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- Laurie Reyes
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Date de naissance : 06/09/1990
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Crédit : M-Aki (ava) all things end (gif) nuit d’orage + elitekhh (sign + gif)
Multicomptes : Sonny, Volkann, Marlon, Vega & Loïs
Messages : 1254
RPs : 80
Âge : Nouvelle bougie soufflée qui lui le rapproche toujours un peu plus de la quarantaine sans y être encore. Trente-quatre ans et toutes ses dents.
Côté coeur : Un célibat dans lequel il se plaît plus que de raison, refuse de s'enchaîner à qui que ce soit après sa dernière relation qu'il a fait voler en éclat et nage avec entrain dans l'océan de liberté qu'est sa vie, même si ça ne l'empêche pas de développer des attachements plus ou moins forts pour des personnes qui entrent dans sa vie et qu'il refuse de voir disparaître.
Job : Il est le patron du PinkParadise depuis plusieurs années, mets un point d'honneur à ne pas attirer l'attention sur la boîte, protège aussi bien ses employés que le commerce illégal qu'il fait tourner une fois les portes de son bureau fermées.
Adresse : Un duplex à Magnolia, #15.
Famille : Un géniteur qui a foutu le camp quand il a commencé à avoir du caractère, qui n'a pas su assumer son rôle de père. Il porte toujours son nom de famille mais Laurie n'a jamais cherché à en découvrir davantage sur ce lâche, n'en a jamais ressenti le besoin parce que sa mère a pris ce double rôle très à cœur, lui a tout donné, sûrement trop, s'oubliant au passage. Il lui a rendu la pareille lorsqu'il en a eu les moyens, s'est montré reconnaissant comme rarement il l'a été avec qui que ce soit. Seule personne qu'il a sincèrement respecté au cours de sa vie et qui ne fait désormais plus parti de ce monde depuis trois ans. Trois années de vide intérieur qui grignote son cœur et son esprit.
Trigger warning : Abordés en RP : Violence, sexualité, toxicité. C’est ceux auxquels je pense mais c’est susceptible de changer alors on peut en discuter au préalable.
- STAFF
Re: you better not be late - laurie
you better not be late
feat. @laurie reyes
tw: achat de drogue.
longues minutes qui s'écoulent, alors que tu attends en piétinant sur place. c'est dans ta nature, charlie, tu ne sais pas rester statique. la nervosité joue aussi un peu, transaction illégale que tu t'apprêtes à effectuer. tu es finalement occupé à répondre rapidement à l'un de tes nombreux messages non lus, lorsque tu t'aperçois de laurie, arrivé à ta hauteur. tu sursautes légèrement, parce que seul depuis une quinzaine de minutes, tu ne t'attendais pas à le voir débarquer à ce moment-là. la pénombre du port ne te rassure par vraiment, et tu jettes un coup d'œil autour de vous pour voir s'il est bien venu seul.
tu fronces cependant les sourcils à ses paroles. tu es arrivé en avance, non ? tu l'attendais au point de rendez-vous que vous utilisez quelques fois, et tu n'as pas le souvenir qu'il t'ait un jour dit de changer d'endroit. cependant, tu ne fais pas de commentaire, face à ça. tu te contentes de hocher la tête, dans un premier temps, même si tu restes perplexe.
tu as une relation étrange, avec laurie. tu ne suis pas toujours ce qu'il te dit, et tu es bien souvent surpris par ses propos, comme maintenant d'ailleurs. si tes sourcils étaient froncés l'instant d'avant, tu les hausses à présent, bouche entrouverte, les yeux ronds. ton sang se glace, ne fait qu'un tour, parce que tu ne sais pas que ce n'est que du bluff. parce que dans ton quotidien, il t'arrive d'oublier beaucoup de choses, presque systématiquement. trop pris dans ton monde, trop occupé à faire mille choses à la fois, tu ne te rends pas compte que laurie se joue de toi.
- oh, euh... tu m'avais demandé un truc ?
un peu gêné, tu viens te gratter la tête d'un mouvement embarrassé. néanmoins, tu reconnais avec facilité que tu ne te souviens pas de ce qu'il aurait pu vouloir, loin de t'imaginer qu'il invente complètement. ton regard se perd sur lui, qui te fait face, et tu le détailles quelques secondes, prêt à changer de sujet.
- t'as passé une bonne journée, ça va ? il a fait encore beau aujourd'hui, t'as profité, j'espère.
question que tu viens poser pour détourner son attention. stratagème flagrant qui ne marchera sans doute pas, tu arbores un sourire qui se veut amical, alors qu'au loin les aboiements d'un chien se font entendre. tu observes, au loin, la provenance de ce son, en t'efforçant de prendre une posture naturelle pour n'éveiller aucun soupçon de la part des éventuels passants.
- tu veux qu'on se mette un peu plus loin, du coup ?
tu ranges ton téléphone dans ta poche, et en profites pour tâter à nouveau les billets que tu lui devras bientôt lui donner, lorsque vous procèderez à la transaction. tu constates qu'ils sont bien à leur place, et intimes, dans tes gestes, laurie de se décaler pour tenter d'échapper à la lumière du lampadaire sous lequel vous vous trouvez. au passage, tu attrapes ton paquet de cigarettes à moitié vide, que tu viens présenter à ton dealer.
- tu veux une clope ?
toi, tu en prends une que tu viens glisser entre tes lèvres. dans tous les cas, tu comptais fumer avant qu'il n'arrive, alors, mieux vaut tard que jamais, après tout.
(c) Niagara (fiche) ;
tw: achat de drogue.
longues minutes qui s'écoulent, alors que tu attends en piétinant sur place. c'est dans ta nature, charlie, tu ne sais pas rester statique. la nervosité joue aussi un peu, transaction illégale que tu t'apprêtes à effectuer. tu es finalement occupé à répondre rapidement à l'un de tes nombreux messages non lus, lorsque tu t'aperçois de laurie, arrivé à ta hauteur. tu sursautes légèrement, parce que seul depuis une quinzaine de minutes, tu ne t'attendais pas à le voir débarquer à ce moment-là. la pénombre du port ne te rassure par vraiment, et tu jettes un coup d'œil autour de vous pour voir s'il est bien venu seul.
tu fronces cependant les sourcils à ses paroles. tu es arrivé en avance, non ? tu l'attendais au point de rendez-vous que vous utilisez quelques fois, et tu n'as pas le souvenir qu'il t'ait un jour dit de changer d'endroit. cependant, tu ne fais pas de commentaire, face à ça. tu te contentes de hocher la tête, dans un premier temps, même si tu restes perplexe.
tu as une relation étrange, avec laurie. tu ne suis pas toujours ce qu'il te dit, et tu es bien souvent surpris par ses propos, comme maintenant d'ailleurs. si tes sourcils étaient froncés l'instant d'avant, tu les hausses à présent, bouche entrouverte, les yeux ronds. ton sang se glace, ne fait qu'un tour, parce que tu ne sais pas que ce n'est que du bluff. parce que dans ton quotidien, il t'arrive d'oublier beaucoup de choses, presque systématiquement. trop pris dans ton monde, trop occupé à faire mille choses à la fois, tu ne te rends pas compte que laurie se joue de toi.
- oh, euh... tu m'avais demandé un truc ?
un peu gêné, tu viens te gratter la tête d'un mouvement embarrassé. néanmoins, tu reconnais avec facilité que tu ne te souviens pas de ce qu'il aurait pu vouloir, loin de t'imaginer qu'il invente complètement. ton regard se perd sur lui, qui te fait face, et tu le détailles quelques secondes, prêt à changer de sujet.
- t'as passé une bonne journée, ça va ? il a fait encore beau aujourd'hui, t'as profité, j'espère.
question que tu viens poser pour détourner son attention. stratagème flagrant qui ne marchera sans doute pas, tu arbores un sourire qui se veut amical, alors qu'au loin les aboiements d'un chien se font entendre. tu observes, au loin, la provenance de ce son, en t'efforçant de prendre une posture naturelle pour n'éveiller aucun soupçon de la part des éventuels passants.
- tu veux qu'on se mette un peu plus loin, du coup ?
tu ranges ton téléphone dans ta poche, et en profites pour tâter à nouveau les billets que tu lui devras bientôt lui donner, lorsque vous procèderez à la transaction. tu constates qu'ils sont bien à leur place, et intimes, dans tes gestes, laurie de se décaler pour tenter d'échapper à la lumière du lampadaire sous lequel vous vous trouvez. au passage, tu attrapes ton paquet de cigarettes à moitié vide, que tu viens présenter à ton dealer.
- tu veux une clope ?
toi, tu en prends une que tu viens glisser entre tes lèvres. dans tous les cas, tu comptais fumer avant qu'il n'arrive, alors, mieux vaut tard que jamais, après tout.
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Job : simple vendeur, tu passes ton temps libre à travailler au h&m de la ville, passion pour la mode qui te poursuit, avec tes études dans ce même domaine.
Adresse : 07, fremont. toujours chez ton père et ta belle-mère, tu espères pouvoir leur soutirer un peu d'argent pour te prendre un studio pas loin de ton boulot.
Famille : parents divorcés, tu as décidé d'habiter avec ton père, ta sœur et ta belle-mère. ce n'est que maintenant que tu as découvert que tu avais une demi-sœur, cissy, fruit d'une relation adultérine entre ton père et une mystérieuse femme.
Trigger warning : trigger : à discuter ; warning : divorce, tromperie, adhd, drogues, alcool, relation toxique
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Re: you better not be late - laurie
you better not be late
«
«
«
« Bon, qu'est-ce qu'il t'arrives ? T'es pas aussi bavard d'habitude. On dirait que t'es à deux doigts de te faire dessus. Si c'est ça, préviens moi que je m'éloigne. Les odeurs, c'est pas mon dada. » Ca le dégoûte rien que d'y penser, pour être honnête.
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Côté coeur : Un célibat dans lequel il se plaît plus que de raison, refuse de s'enchaîner à qui que ce soit après sa dernière relation qu'il a fait voler en éclat et nage avec entrain dans l'océan de liberté qu'est sa vie, même si ça ne l'empêche pas de développer des attachements plus ou moins forts pour des personnes qui entrent dans sa vie et qu'il refuse de voir disparaître.
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