I like it when you take control - AliRain #1

tw : caractère narcissique, manipulateur, psychopathie, langage cru.

Tu n'aimes pas trop qu'on prenne le contrôle avec toi. C'est toi, qui le possède. Il est un pantin entre tes doigts et tu ne comprends toujours pas pourquoi tu l'autorise à dormir avec toi. Y'a très peu d'gens qui y sont autorisés, surtout avec les cauchemars qui viennent et dont l'orgueil te sied comme une seconde peau et dont tu refuses de le montrer à autrui. T'es permissif avec le plus jeune. Tu lui laisses une certaine liberté parce que c'est toi qui le décide. Dès le moment où tu auras fini de jouer avec lui, tu le renverra d'où il vient d'un claquement de doigts. Ce sont tes règles. Il n'y a que ta colère que tu n'arrives pas à maîtriser. On ne touche pas, non plus, à ce qui est à toi et Alistair est à toi. Tu surveilles quiconque met la main sur lui. Tu ne l'autorise pas à obtenir d'attention de qui que ce soit d'autres sauf toi. Si un ami pose sa main verrale sur lui, il se peut que tu te montres aisément jaloux. Tu ne le sais pas trop pourquoi, mais tu passes ce sentiment en lui disant que c'est de sa faute et qu'il s'est laissé touché. La manipulation est une seconde nature chez toi. Le plus jeune t'a fait pensé au petit chaperon rouge, hier soir. Tu es le loup, le prédateur qui veut se rapprocher de sa proie, la dévorer vivante et c'est exactement ce qui s'est passé - sans le côté cannibal, évidemment ! - Même si, parfois... Tu as de réelles pulsions meurtrières qui viennent dans tes pensées. Tu penses à bien des choses morbides quand on t'énerve, quand on te cherche et dieu sait que ça arrive assez souvent. Tu as dévoré le petit chaperon rouge directement sur ton bureau en lui soutirant quelques cris perçant qui se sont percutés sur les murs de ton bureau, mais tu t'en fiche royalement. De un, si on vous entends et de deux... Il n'y avait absolument plus personne dans les murs à part vous deux à cette heure là. Tu l'as pris jusqu'à ce qu'il en demande grâce. T'aimes pas qu'on soit encore en pleine possession de ses moyens quand t'en a terminé. Tu prends ce que tu veux, tu jettes le reste. Le brun hyperactif est toujours à tes côtés parce que tu le désire. Parce qu'il te satisfait, pour le moment. T'es loin d'pouvoir développer des sentiments pour lui et s'il te lançait une seule phrase sentimentale, il prendrait directement la porte ! Déjà que tu lui a offert quelque chose de très précieux pour toi... Il a intérêt à ne pas briser ta confiance et penser que tu lui appartiens corps et âme. Tu n'appartiens à personne, Mais lui... Lui il t'appartient et tu es très possessif sur ce détail. Tu es un excellent comédien et manipulateur. Tu peux aisément lui faire croire qu'il est important pour toi, qu'il est le centre de ton univers et c'est tout ce qu'il a besoin de croire. Psychopathe, sociopathe... Faîtes vos choix, mais tu résusirais à éprouver de l'amour contrairement à un pur sociopathe, donc penchons sur l'autre option ? Tu te détâches sans réelle douceur le lendemain matin. Tu n'aimes pas ça. Ses chansons japonaises te calme, ça tu lui accorde. Ça t'apaise. Tu le prends, tu gobes ça... Mais tu n'aimes pas que ton égo soit dépouillé le lendemain dans un tendre étreinte. T'es pas encore rendu là. Tu décides de quitter les draps le lendemain matin pour une douche chaude et d'enfiler un boxer pour te rendre dans la cuisine. Tu décides de faire à manger. Ça va sûrement te vider un peu la tête de toutes ces idées plutôt sombres qui commencent à émerger. Alistair fait naître les deux pôles chez toi : une part plus tendre, mais aussi des idées assez morbides et contradictoires parce que le laisser pénétrer dans ton intimité... Oh, t'aimes pas beaucoup. Il va t'en falloir du temps, pour en laisser encore plus te percer. Tu décides de faire des crêpes suédoises. Tu décides de mettre ça dans le réchaud une fois que c'est fait afin d'aller courir sur le tapis roulant dans ta salle de sport, les écouteurs sur les oreilles. T'aurais pu aller baiser le plus jeune sans aucune tendresse, surtout que son derrière t'es pleinement offert, mais tu as choisi le tapis parce que tu sais que tu pourrais le blesser dans l'état où tes pensées t'ont mis.